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SIGNEZ ET DIFFUSEZ

Pétitions AID 2022-22

Période jusqu’au samedi 19 Novembre 2022

samedi 5 novembre 2022, par JMT

Nous vous suggérons de suivre :

a) les pétitions du site CYBERACTEURS avec qui nous sommes en contact depuis plus de 21 ans, pour adhérer ou faire un don .

b) les pétitions du site AVAAZ qui à l’usage s’est avéré plus ouvert que ne le laissaient supposer ses bailleurs de fonds US initiaux. Allez sur les sites et inscrivez-vous pour signer plus facilement les pétitions quand vous en recevez l’avis directement par mél

c) les autres textes à signer particulièrement recommandés se trouvent ci-après

* SOMMAIRE

- AID et RET pour le HOBBIT BAR

- Les pétitions nouvelles

- Collectes de dons (soutenues par AID)

- Initiatives Citoyennes Européennes

- Les pétitions en cours

- Les pétitions stagnantes

- Les pétitions vouées à disparaître

- Les pétitions fermées

* AID et RET pour le HOBBIT BAR de Vintimille

DERNIERE HEURE :

* Voir l’article : Les migrants en Italie sont confrontés à une recrudescence d’hostilité avec les élections Par Angela Giuffrida, traduction par Jocelyne Boulicaut. Cet article nous a été signalé par Sharon Ciaramitaro.

PRECEDEMMENT :

* Notre amie Delia jointe le 28 Juillet 2022 par téléphone nous informe que sa santé est toujours précaire et qu’elle doit subir encore trois gros examens de contrôle avant de décider si les médecins l’autorisent à reprendre le travail. Elle a trouvé un nouveau local pour le nouveau Hobbit Bar mais elle ne veut pas le lancer tant qu’elle n’est pas sûre de pouvoir le faire tourner. En attendant depuis avril, elle accueille à son domicile des femmes migrantes de passage avec enfants et participe aussi à des distributions de nourriture. Nous continuons donc à l’aider financièrement chaque mois.

* Notre amie Delia nous a téléphoné le 14 Mai pour annoncer quelle allait envoyer les documents d’une nouvelle structure, associative cette fois qui remplacera le Hobbit Bar.

* Notre amie Delia jointe le 27 Mars 2022 par téléphone nous informe que sa santé se rétablit avec retard. Elle attend des fonds pour ré-ouvrir un nouveau Hobbit Bar car pour l’instant elle n’a eu aucune aide officielle de celles auxquelles elle peut prétendre, tant personnellement puisqu’elle n’a plus de revenu, que pour l’ancien Hobbit Bar. Nous avons décidé de continuer à la soutenir de la même manière.

Notre amie Delia jointe le 18 Décembre 2021 par téléphone annonce qu’elle ferme le Hobbit Bar dans son emplacement actuel car :

a) les frais fixes sont trop importants, vu la surface, pour le faible chiffre d’affaires qu’elle en tire.

b) du fait de la pandémie de la covid-19 et de l’instauration du "Green pass" dont la plupart des migrants sont dépourvus, la fréquentation est devenue encore plus faible.

c) Delia a quelques soucis de santé qui ont justifié une opération en Octobre et une nouvelle est programmée en Janvier 2022 qui la rendra indisponible pour convalescence en Février

Mais la bonne nouvelle est que le Hobbit Bar renaîtra en plus petit dans un nouveau local

Nous continuerons à l’accompagner et tous les coups de main sont les bienvenus.

Donc si vous êtes imposables en France, AID vous propose de faire un virement sur le compte bancaire de l’Association Roya en Transition, de Tende, avec un mel à son trésorier pour le reçu-don
IBAN : FR76 1910 6006 2543 6820 5923 148 BIC : AGRIFRPP891 .
Nous avons le plaisir d’annoncer que grâce à la générosité de quelques donateurs, nous avons déjà pu assurer 1000€ par mois d’Août 2020 à Novembre 2022 inclus, plus 1000€ pour les dépenses supplémentaires induites par la crue du 2 Octobre 2020

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Le cyclone du 2 Octobre 2020 qui a dévasté la Roya a également inondé la ville basse de Vintimille jusqu’à côté du Hobbit et a chassé les migrants des bords du fleuve et de la plage de l’embouchure où ils avaient leurs précaires refuges et leurs maigres biens. Certaines maraudes ne viennent plus ou difficilement et le Hobbit est d’autant plus indispensable. Nous ne pouvons être insensibles à la détresse des migrants, dont certains viennent d’Afrique de l’ouest, qui se retrouvent à Vintimille, tentant de franchir la frontière française à une dizaine de kilomètres d’où ils sont durement refoulés et renvoyés en centre ville de Vintimille.

La sortie du confinement de la covid-19 des deux côtés de la frontière a rejeté sur les routes des migrants présents en Italie qui cherchent toujours à gagner la France pour aller en Allemagne et surtout au Royaume-Uni. Les associations qui oeuvrent à la frontière annoncent une recrudescence du nombre des migrants et une arrivée majoritaire de migrants issus des Balkans. Et le reconfinement a désorganisé plus encore . A Vintimille, il n’existe plus guère qu’un lieu accueillant, notamment pour les femmes et enfants, le bar Le Hobbit situé près de la gare ferroviaire par où souvent les migrants arrivent, bar tenu par Delia Buonomo, surnommée par eux "Mama Africa"..

Boycotté par les clients de Vintimille, le bar ne tourne plus que par les migrants et par les militants associatifs qui y vont chaque fois qu’ils le peuvent. Cela ne couvre malheureusement plus les frais fixes et il faut donc trouver 2000€ par mois. Le challenge minimal pour nous est d’amener mensuellement 1000€ (en espérant que le reste sera apporté directement par les donateurs , italiens mais aussi allemands, qui l’ont alimenté la première année). Le crowdfunding qui a servi pendant 730 jours étant fermé, nous virons désormais directement notre collecte sur le compte bancaire du bar.
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* (E) Pétition : Protégez notre santé. Nous voulons de l’air pur, maintenant !

101.919 signatures sur 125.000 lien pour signer

À la Commission européenne, au Conseil européen, au Parlement européen et aux dirigeants nationaux : nous appelons l’Union européenne à aligner pleinement, de toute urgence et de façon définitive les normes européennes relatives à la qualité de l’air sur les dernières données scientifiques disponibles, afin de protéger notre santé.

Les limites fixées par la réglementation de l’UE pour les polluants atmosphériques doivent s’appuyer sur des données scientifiques et être au moins aussi strictes que les lignes directrices de l’Organisation mondiale de la santé, régulièrement mises à jour.
Pourquoi est-ce important ?

Des milliers d’enfants marseillais ou d’Île-de-France sont en danger. La cause : leurs écoles et crèches sont situées dans des zones dont l’air est fortement pollué. Jouer dehors présente un grand risque pour leur santé [1].

La pollution atmosphérique cause de l’asthme, des cancers pédiatriques et des maladies infantiles chroniques [2]. Et elle entraîne des centaines de milliers de décès en Europe chaque année [3].

Les normes de qualité de l’air de l’UE sont censées nous protéger. Mais ne se fondant pas entièrement sur des données scientifiques, les seuils d’alerte en place sont beaucoup trop élevés . Nous pensons donc que notre air est pur alors qu’il n’en est rien. Signez !

Références :
1- https://www.greenpeace.fr/espace-presse/marseille-58-ecoles-creches-cernees-pollution-de-lair
2- https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/ambient-(outdoor)-air-quality-and-health
3- https://www.euro.who.int/__data/assets/pdf_file/0006/189051/Health-effects-of-particulate-matter-final-Eng.pdf

* (C) Pétition : Stoppons les banques

36.839 signatures sur 50.000 lien pour signer

Nous nous dirigeons vers le chaos climatique. À pleine vitesse. Mais il y a un secret que les banques ne veulent pas que vous sachiez : il existe en fait un frein d’urgence. Il y a une règle qui à elle-seule pourrait transformer les projets à énergies fossiles en un investissement cauchemardesque, et empêcher réellement le financement de nouveaux projets de combustibles fossiles.

Avec cette règle, chaque euro investi dans un projet à énergies fossiles devra être couvert par un autre euro, qui en cas de problème servira à couvrir les éventuelles pertes futures. Un “filet de sécurité”, qui double les coûts, assuré par ces géants de la finance eux-mêmes, qui ne pourront plus compter sur les renflouements d’argent public de l’État, autrement dit votre argent.

La bonne nouvelle ? Il y a une VRAIE chance que les législateurs adoptent la proposition : le vote des députés européens est pour bientôt, et il faut impérativement leur faire entendre un autre son de cloche que celui des lobbies de la finance ! Pouvez-vous dire aux députés européens de modifier ces règles d’investissements dans les énergies fossiles pour empêcher les banques de littéralement brûler la planète ?

Les grands groupes pétroliers et gaziers engrangent des bénéfices historiques grâce à la hausse des prix de l’énergie et ce, après avoir bénéficié d’énormes renflouements d’argent public, à vos frais donc. Et devinez qui d’autre se frotte les mains ? Les banques et les assureurs ! Sans leur soutien, aucun projet à énergie fossile ne pourrait voir le jour. Mais dans leur course cupide et égoïste, ils se moquent de mettre en danger la survie de notre économie et de notre planète.

Non seulement il faut les arrêter mais en plus, ce n’est pas aux gens, comme vous et moi, de payer pour les dégâts, malheureusement inévitables. C’est aux banques et assureurs d’assumer l’entièreté de leurs pertes, pas aux citoyens qui en sont déjà victimes. En changeant les règles pour les banques et les assureurs, le Parlement européen a le pouvoir de rendre la finance responsable de la crise climatique trop coûteuse et trop risquée à financer.

La règle est déjà là, nous demandons aujourd’hui aux députés européens d’intégrer les projets à énergies fossiles dans la liste des investissements à “haut-risque". Le vote est pour bientôt, nous devons agir vite : Dites aux députés européens : Pas avec notre argent ! Changez les règles sur les investissements pour contraindre les banques et les assureurs à abandonner les énergies fossiles.

Avec des centaines de milliers d’Européens, d’ONG partenaires, de scientifiques et de responsables politiques, vous vous êtes battus pour une Europe plus verte - et nous en avons fait du chemin. Nous avons poussé l’UE à adopter des lois plus strictes sur les investissements verts, et forcé la BCE à revoir ses investissements les plus polluants au sein de sa politique monétaire. Aujourd’hui, la règle du "Un pour Un" peut mettre un terme au comportement criminel des banques et assureurs.

Unissons à nouveau nos forces et poussons les élus qui sont là pour nous représenter à mettre au pas les banques et les institutions financières, une fois pour toutes : Dites aux députés européens d’adopter la règle du "Un pour Un" et de faire assumer aux banques et aux assureurs leur responsabilité face au chaos climatique.

* (C) Pétition : Meta doit accorder des réparations aux Rohingyas

6.204signatures sur 125.000 lien pour signer

À l’attention de Mark Zuckerberg, PDG de Meta. Monsieur Zuckerberg, la communauté des réfugié⋅es rohingyas de Cox’s Bazar a déposé une plainte pour violation des droits humains contre Meta et demande des réparations pour son rôle dans les abus perpétrés contre leur communauté.

Je suis très préoccupé⋅e par le refus de Meta de s’engager de manière significative avec la communauté rohingya. Meta doit assumer la responsabilité de l’amplification algorithmique par Facebook de la haine anti-Rohingya sur la plateforme dans la période qui a précédé la campagne de nettoyage ethnique menée en 2017 par l’armée du Myanmar.

Les réparations aideront la communauté rohingya à aller de l’avant et à reconstruire sa vie. Je vous demande d’offrir une réparation effective à la communauté rohingya, notamment en finançant les projets éducatifs d’un million de dollars américains, en présentant des excuses à la communauté et en apportant des changements adéquats à la plateforme Facebook afin qu’elle ne contribue plus jamais à des atteintes aussi graves aux droits humains.

Veuillez agréer, Monsieur Mark Zuckerberg, l’expression de ma haute considération.
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* COLLECTES SOUTENUES PAR AID

* Soutenir la Grèce

* Le 27/07/2022 à 09:55, Maud et Yannis ont écrit :Depuis deux jours, le drapeau noir remplace le drapeau grec à l’entrée de la mairie d’Héraklion occupée

* Précédemment :

Depuis quelques semaines, nous sommes à nouveau très pris par l’aide aux réfugiés (principalement afghans) et la création de lieux sous plusieurs formes. Nous vivons des moments extraordinaires aux côtés de gens également extraordinaires. Ces exilés qui sont devenus nos amis, au fil des jours, ont un courage communicatif, des désirs, des rêves, des sourires, plein d’affection et de générosité, des secrets, des blessures. Le plus souvent, ils ont tout perdu. Leur logement, bien sûr, mais parfois aussi leurs proches : parents, enfants, conjoint… Merci à toutes celles et ceux qui nous ont transmis des choses pour eux, pour elles : des aliments, des vêtements, des couches, des jouets, des produits d’hygiène et même de l’électroménager. Merci particulièrement à celles et ceux qui sont venus aider sur place, en provenance de Grenoble, Saillans, Marseille, Lyon, Bruxelles, Genève, Nantes et Bordeaux, durant les derniers mois. Cet élan est magnifique. Vraiment un grand « taschakor » (merci en afghan) à tou-tes ! Si vous voulez participez, c’est ici

ou par virement à ANEPOS :
IBAN : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU
Objet : « Action Solidarité Grèce Philoxenia »

Philoxenia signifie hospitalité en grec, et littéralement « amis des étrangers » (philos : ami, xenos : étranger). C’est le nom que nous donnons en ce moment à nos actions aux côtés des réfugiés dont la majorité actuellement sont afghans.

Pour participer via PAYPAL, suivre le lien

Pour envoyer un chèque à l’ordre de ANEPOS
Adresse postale : ANEPOS – Action Solidarité Grèce Philoxenia – 6 allée Hernando – 13500 Martigues
Ordre : ANEPOS / Objet : « Action Solidarité Grèce Philoxenia »

Pour en savoir plus et notamment pour les dons en nature lisez le dernier message du 09/09/2021

* APPEL POUR EXARCHEIA ET POUR SOUTENIR LE QUATRIÈME FILM (DEPUIS AUTOMNE 2019) )

POUR SOUTENIR EXARCHEIA ET LA PRÉPARATION DU 4ÈME FILM C’EST ICI

Si vous voulez soutenir nos actions à Exarcheia et/ou la préparation du 4ème film, "Nous n’avons pas peur des ruines", trois possibilités s’offrent à vous :

1) PAR VIREMENT

IBAN de ANEPOS : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU

Merci de mentionner en objet du virement : Appel Exarcheia et/ou 4e film

2) PAR PAYPAL

3) PAR CHÈQUE

Ordre : ANEPOS (uniquement). N’ajoutez rien sur l’ordre, mais mentionnez au dos du chèque ou en pièce jointe : Appel Exarcheia et/ou 4e film

À envoyer à :
ANEPOS, Action Solidarité Grèce, BP 10 - 81540 SORÈZE - FRANCE

Vous pouvez aussi ajouter des messages de soutien qui seront transmis au collectif de votre choix ou à l’assemblée principale des collectifs du quartier.

Vous trouverez la suite des infos comme toujours sur mon blog : http://blogyy.net

Yannis Youlountas

voir une vidéo

NB : Si vous voulez participer via AID (et bénéficier des 66% de déduction fiscale) contactez jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr

Plus d’infos sur le site

* Appel à soutien financier pour Delia Buonomo et le "Bar des Migrants" de Vintimille voir au début de la page

* Appel pour une collecte PERMANENTE de nourriture pour Roya Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour Roya-Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour l’association HABITAT & CITOYENNETE de NICE

* Dons (défiscalisables à 66%) pour les victimes de l’Agent Orange (permanent) et le procès intenté par Madame Tran To Nga aux fournisseurs de ce produit

* Dons (défiscalisables à 75% dans la limite de 1000€ par an et par donateur, 66% ensuite) pour l’association RIVE de Saint-Denis de la Réunion

Chers amis, Chers donateurs, chers partenaires, nous lançons une récolte permanente de fonds. Pour nous aider, vous pouvez faire vos dons :

  • sur la cagnotte Leetchi
  • par Paypal
  • par virement bancaire – IBAN : FR76 1871 9000 8000 8060 4210 034 – BIC : BFCORERXXXX
  • par chèque à l’ordre de Rive et à envoyer au : 21 rue Malartic – 97400 SAINT DENIS DE LA REUNION
    Nous vous rappelons que les dons faits aux associations d’intérêt général ouvrent droit à une réduction égale à 66% des versements effectués dans la limite de 20% du revenu imposable pour les particuliers et de 60% dans la limite de 5/1000 du chiffre d’affaires des entreprises.
    Je compte sur vous ! Solidairement, Catherine Gaud, présidente de RIVE

* Et bien évidemment les dons (défiscalisables à 66%) à AID que vous pouvez flécher ensuite sur les collectes non défiscalisables (renseignements ici )
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Voir le site officiel des INITIATIVES CITOYENNES EUROPEENNES
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* (C) Pétition : Les vélos doivent passer sur la NRL

294 signatures sur 500 lien pour signer

Les usagers du vélo sont interdits de passer sur la NRL :

  • les velotafeurs
  • les cyclotouristes
  • les cyclistes de compétition
  • les usagers vélo lambdas
    Ils doivent utiliser d’autres moyens motorisés soit l’inverse de ce que demande notre président de la République, pour le développement durable et l’empreinte carbone
    Un aménagement vélo sécurisé à été mise en œuvre sur la NRL. On y est plus en sécurité que sur l’ancienne RL

On ne comprend pas cette interdiction injuste, arbitraire et non notifiée.Les usagers du vélo réclament l’autorisation immédiate de passer sur l’aménagement cyclable réalisé

* (C) Pétition : Rendons la réparation moins chère !

7.627 signatures sur 10.000 lien pour signer

Nous voulons des appareils faciles à réparer et bon marché. L’Europe doit intervenir.
Les entreprises ont rendu la réparation des appareils difficile et coûteuse. Et nous, consommateurs, en payons le prix. Pourquoi est-il moins cher d’acheter un nouveau téléphone que de remplacer un écran fissuré ? Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement changer la batterie au lieu d’acheter une nouvelle tablette ? Cela doit changer. La réparation devrait être l’option la plus facile et la moins chère... Cela représenterait une victoire pour votre porte-monnaie et pour l’environnement !
Notre solution pour votre droit à la réparation : un indicateur sur la façon dont les Européens peuvent mieux économiser !

La Commission européenne s’apprête à présenter un indice de réparabilité. Un label obligatoire à l’échelle européenne qui notera un produit en fonction de sa réparabilité. C’est un bon début, mais une information cruciale manquera toujours sur l’étiquette : le prix des pièces détachées. Nous devons savoir combien une réparation est susceptible de nous coûter. Si la réparation est facile, mais que les pièces sont coûteuses, nous avons le droit d’en être informé avant d’acheter.

L’indice ne classera les produits que sur la base de :

  • la disponibilité des pièces de rechange
  • les outils nécessaires pour effectuer la réparation
  • l’éco-conception du produit (guide sur la façon de réparer les appareils)

Si la Commission européenne n’inclut pas le prix des pièces de rechange, l’indice de réparabilité risque de devenir un label inutile. Rejoignez-nous pour demander à la Commission européenne d’inclure le prix dans l’indice de réparabilité !

Pourquoi l’indice de réparabilité est-il si important ? C’est bon pour votre porte-monnaie : Il permettra aux consommateurs d’économiser des millions d’euros.

  • C’est bon pour la planète : il permettra de réduire des millions de tonnes d’émissions de CO2, de limiter la perte de ressources précieuses et de biodiversité, et de prévenir la dégradation de l’environnement - il vous offre la transparence grâce à des informations fiables.
  • Il accroît la protection des consommateurs et leur confiance dans les produits et les marchés, ce qui se traduit en fin de compte par une consommation durable et une concurrence loyale entre les entreprises.
  • Il vous oriente vers les meilleurs produits en vous donnant un classement impartial.

Les consommateurs européens ne devraient pas avoir de mal à comprendre quels objets ménagers et électroniques peuvent être facilement réparés et lesquels ne le peuvent pas. C’est notre chance de mettre fin à la culture du jetable et de faire passer les droits des consommateurs et l’action climatique avant les profits des entreprises.
Montrez votre soutien en signant la pétition !

* (C) Pétition : NON A LA FERMETURE > LIGNE NICE BREIL DURANT LES TRAVAUX DU TUNNEL DE BRAUS .... OUI A LA CREATION DE NAVETTE NICE L’ESCARENE

984 signatures sur 2.500 lien pour signer

Destinataire(s) : Prefet des Alpes Maritimes, Président de la Région Sud PACA, Directeur SNCF Réseau Marseille
SNCF Réseau va entreprendre en 2023 le chantier de restauration du tunnel du col de Braus situé entre les gares de TOUET DE L’ESCARENE et SOSPEL. Durant les travaux sur 2 ans, la SNCF fermera la section NICE > BREIL

La circulation routière aux heures de pointe est paralysée pendantplus de 4 heures entre CONTES, DRAP et NICE et retour. Le maintien des circulations TER entre NICE-VILLE et L’ESCARENE est indispensable pour les déplacements quotidiens de toutes les populations des vallées des Paillons y compris le lycée de FONTANIL-DRAP.

Quelques aménagements techniques permettent de faire de la gare de L’ESCARENE une gare terminus et origine pour la circulation des TER NICE > L’ESCARENE. Populations, élus et associations exigent la création de navettes NICE > L’ESCARENE pendant la durée des travaux du tunnel de Braus, et, la signature de la convention France/Italie qui pérennisera la ligne.

Auteur : NALLINO Germain

PS : Cette pétition est totalement à côté de la plaque ! La réparation du tunnel peut parfaitement se faire sous circulation, de diverses manières d’ailleurs, puisqu’il est en profil en long en toit et au gabarit double voie (qui était indispensable pour l’aération des locomotives à vapeur sur tous les ouvrages longs) sur toute sa longueur.

Il est donc possible avant de réparer la voûte, puisque le gabarit de plateforme existe, de mettre à double voie tout ou partie du tronçon entre les gares de Touet et de Sospel, ce qui ultérieurement fera un beau tronçon de croisement/déplacement sur plus de 8km .

Car la SNCF décide de fermer la circulation pour faire des économies de bouts de chandelle (refuser de faire maintenant un investissement qui lui coûtera plus cher plus tard et emmerdera les usagers deux fois plus longtemps !). Elle explique qu’elle ne peut pas faire les travaux en maintenant la circulation car elle doit stationner les trains de travaux sur la seule voie PARCE QU’ELLE A STUPIDEMENT VENDU LES ESPACES FERROVIAIRES A SOSPEL ET A L’ESCARENE SANS AVERTIR PERSONNE DES PROBLEMES QUE CELA CREERAIT ULTERIEUREMENT !

Si on maintient la disponibilité d’une voie à certaines heures, vu le faible trafic actuel, on n’aura nul besoin de compliquer l’exploitation de la ligne, que la SNCF actuellement n’est même pas capable d’assurer correctement !

Ce qui est nécessaire, comme sur toutes les lignes ferroviaires de voyageurs qui fonctionnent bien, c’est d’une exploitation cadencée à 1 train par heure, à la même heure dans chaque sens entre Nice et Tende (voire Limone pour la correspondance avec la ligne électrifiée italienne), en retrouvant la vitesse normale de construction de 80km/h. Une fois l’offre stabilisée, les clients reviendront s’ils savent pouvoir compter sur un service efficace et suffisamment confortable (wifi à bord !) pour leur permettre de choisir du temps rentable sur le train plutôt que du temps perdu en voiture !

* (C) Pétition : Revel Castelnaudary : des trains ET des vélos !

7.627 signatures sur 10.000 lien pour signer

« Evaluer correctement l’avenir ferroviaire possible d’une emprise aujourd’hui inutilisée (..) doit se faire de manière transparente et démocratique, et tenir compte plus particulièrement des perspectives de raréfaction des ressources pétrolières et d’aggravation du changement climatique ». Il n’y a pas un mot à retirer de la charte signée en mars 2006 entre des associations cyclistes et la FNAUT : depuis 16 ans, les perspectives évoquées dans cette charte se sont sérieusement aggravées !

Dans ce contexte, à Revel, le conseil municipal vote à l’unanimité pour la requalification de l’ancienne voie ferrée en voie verte. Une idée écologique ? Non ! Il y a un potentiel voyageurs important pour cette ville à la démographie dynamique, avec des flux domicile-travail ou domicile-études vers et depuis Toulouse et Castelnaudary, et un accès à la zone d’emploi de Labege Innopole. Le trajet Revel Toulouse en bus dure actuellement entre 75 à 90 minutes environ alors qu’en train il se ferait en 45 minutes, soit 15 minutes de moins qu’en voiture, et en plus de centre-ville à centre-ville !

Il y a également un véritable potentiel fret pour cette ligne qui aboutit à une zone industrielle, avec quelques fleurons de l’activité économique départementale. Enfin, rien ne justifie le déferrement de la ligne, dont la demande de réouverture était à l’ordre du jour des Etats Généraux du rail en 2016 (EGRIM) : classée dans les lignes dont le foncier est maîtrisé, et prévue pour une double voie, il est possible d’y concilier train et vélo : et donc d’appliquer la charte entre AF3V et la FNAUT.

Si le maire de Revel déplore que la SNCF ne vende pas le foncier sous prétexte qu’ « il pourrait y avoir une guerre », nous disons que la guerre est déclarée contre le dérèglement climatique. Quant à nous, nous regrettons vivement le soutien de l’Etat et du Département qui ne prennent pas la mesure des enjeux. Si la ville de Revel veut promouvoir le vélo, ce qui est très louable, plusieurs possibilités s’offrent à elle :

Pour aller en vélo vers la zone industrielle, il y a largement de quoi faire une piste cyclable notamment chemin de la Pomme. Pour aller plus loin, il y a déjà une voie verte le long de la rigole du canal du Midi jusqu’à Castelnaudary. Enfin, pour créer une voie Verte sur une voie ferrée, le tronçon entre Revel et Castres est déjà déferré : un tronçon qui est en train de disparaître, dont le PLU a réservé les emprises et qui serait beaucoup plus utile d’un point de vue touristique mais également pour des vélotafeurs.

Le vélo et le ferroviaire sont complémentaires et ne doivent pas entrer en concurrence, ou pire, le vélo ne doit pas devenir l’outil du démantèlement d’un réseau ferré secondaire fragile mais indispensable à toute reprise d’un futur trafic, fret ou voyageurs, à la hauteur des enjeux de transition écologique. Considérant tous ces arguments, nous demandons à la ville de Revel d’orienter ses ambitions pour le vélo vers d’autres tracés et à l’État et au Département de reconsidérer leur position de soutien à ce projet.

* (E) Pétition : L’Europe doit cesser de financer les refoulements aux frontières

14.466 signatures sur 15.000 lien pour signer

Exhortez la Commission européenne à agir maintenant. Toute personne fuyant la guerre ou les persécutions, a le droit de demander l’asile au sein de l’Union européenne. Cependant, ces dernières années, des dizaines de milliers de demandeurs d’asile ont été brutalement repoussés aux frontières de l’Europe. Parfois même avec l’aide de l’agence européenne de garde-frontières et des garde-côtes, Frontex.

Ces actions illégales, imputables à des pays de l’UE comme la Croatie, l’Espagne, la Grèce, la Hongrie, l’Italie, la Lituanie, Malte, la Pologne et la Slovénie impliquent des menaces, des violences physiques, des agressions et des abus lors de la détention ou du transport des exilés. Les exilés sont laissés à l’abandon sur leurs bateaux ou jetés à la mer, menottés. Des milliers d’entre eux en sont morts et beaucoup d’autres se sont vus refuser l’accès à une procédure d’asile, en l’absence de tout examen sérieux de leurs motifs de demande de protection.

La Commission européenne ferme les yeux sur ces terribles actes qui se déroulent à nos frontières communes. Au lieu d’initier des poursuites contre ces États membres devant la Cour de justice de l’UE, la Commission soutient financièrement les pays qui se livrent à ces pratiques inhumaines en utilisant les fonds européens pour l’asile et les migrations. L’objet de ces fonds, assurer le respect du droit de l’Union et des valeurs européennes, est donc complètement détourné.

Il faut que cela cesse. Aucun fonds européen ne doit être utilisé pour financer des violations des droits humains à nos frontières. Les Verts/ALE demandent de toute urgence à la Commission, en particulier au Vice-président Margaritis Schinas, et à la Commissaire aux affaires intérieures, Ylva Johansson, de geler les fonds destinés aux pays impliqués dans des refoulements aux frontières et de conditionner l’octroi de nouveaux financements en matière d’asile et de migration au respect des droits humains.

La Commission européenne peut utiliser la boîte à outils fournie par l’étude commandée par le groupe des Verts/ALE, pour instaurer de telles conditions au déblocage des fonds. (lire notre étude ici...). Aidez-nous à faire pression sur la Commission européenne, signez la pétition

* (E) Pétition : Doctolib n’est pas très sérieux sur le secret médical...

32.621 signatures sur 50.000 lien pour signer

Pétition adressée à : Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Enquêtez sur Doctolib et assurez-vous que l’entreprise respecte la loi sur la protection de nos données.

Vous avez peut-être déjà utilisé Doctolib, ce service en ligne qui vous permet de programmer un rendez-vous médical sans avoir à appeler le cabinet de votre médecin. Pratique. Mais Doctolib prend un peu trop ses aises avec nos données médicales qui sont pourtant extrêmement sensibles !

Même si vous ne prenez pas de rendez-vous, Doctolib enregistre chaque clic et chaque interaction faite sur le site ou sur l’application mobile. Tout l’historique des pages visitées est collecté. Et certaines de ces données sont envoyées directement aux États-Unis sans être anonymisées, ce qui pourrait être contraire au règlement général sur la protection des données (RGPD).

Pourquoi Doctolib collecte autant de données ? Que fait Doctolib de ces données très sensibles ? Sont-elles revendues ? Nos données médicales ne sont pas à traiter avec autant de légèreté. L’entreprise doit se plier au droit et faire preuve de transparence. Dites à la CNIL d’enquêter sur Doctolib et de forcer l’entreprise et à respecter la loi sur nos données privées. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a le devoir de s’assurer que l’humain passe avant le profit sur internet.

Nos données médicales personnelles sont plus que sensibles, il en va du secret médical, de notre vie privée, de nos droits et libertés. Comment les protéger si n’importe quelle entreprise peut y accéder pour les utiliser à des fins commerciales. Doctolib a déjà été sollicité sur ce sujet, notamment par le chercheur David Libeau. Mais l’entreprise n’a que très partiellement répondu à ses questions, ce qui l’a poussé à saisir une nouvelle fois la CNIL. Il l’avait déjà saisie en juillet 2021 mais la CNIL n’avait pas répondu.

Si des milliers d’entre vous le rejoignent pour demander à la CNIL de faire appliquer le droit, nous pouvons mettre fin à ce qui pourrait bien être une violation flagrante de nos vies privées. C’est aussi l’occasion d’envoyer un message fort aux géants de la tech : nos données sont à nous et à personne d’autre. Dites à la CNIL que Doctolib n’est pas au-dessus des lois !

Il y a un peu plus d’un an, la mobilisation massive de membres de SumOfUs comme vous, avait déjà poussé la CNIL à ouvrir une enquête sur le réseau social Clubhouse, qui aspirait nos données personnelles même si vous n’étiez pas inscrits sur l’application.
Votre mobilisation paye. Alors encore une fois : Demandez à la CNIL d’ouvrir une enquête sur Doctolib.

* (C) Pétition : Rétablissons l’accès piétonnier au Domaine privé du Cap Martin

676 signatures sur 1.000 lien pour signer

Depuis 1912, soit plus d’un siècle, les promeneurs pouvaient profiter des allées du Domaine privé du Cap Martin mais depuis 3 ans, par décision unilatérale, l’accès leur en est interdit. L’ASPONA a écrit plusieurs fois sans recevoir de réponse.
- Sachant que c’est un lieu idéal de promenade pour profiter de la nature et du calme, particulièrement appréciable en période de confinement et de canicule
- Sachant qu’il constitue une aménité touristique
- Sachant que la collectivité a pris en charge pendant des décennies de nombreux aménagements (goudronnage, éclairage) sur le site et ses abords
- Sachant que la collectivité assure sa protection au titre des sites et des paysages depuis son classement en 1974
- Sachant qu’il est possible pour éviter tout dérangement de prévoir des plages-horaire d’ouverture adaptées.
Il est demandé à l’association des propriétaires, au Maire et au Préfet de rouvrir l’accès pédestre sans délai au Domaine.

* (C) Pétition : Sauvons le stade des Eucalyptus

840 signatures sur 1.000 lien pour signer

Stade EUCALYPTUS a lancé cette pétition : Le stade des Eucalyptus est menacé ! JPM alimentation, qui détient le supermarché U Express de l’Araucaria, prévoit de détruire le stade des Eucalyptus pour y construire un centre commercial sur 5 niveaux. Avec une hauteur de bâtiment de plus de 16 m et près de 5.000 m2 de surface, ce projet prévoit l’implantation d’un supermarché et d’un drive. Nous riverains, ne voulons pas d’une nouvelle surface commerciale qui va générer trafic automobile supplémentaire et nuisances pour tout le quartier.

Ce stade est un lieu de vie et de loisirs, utilisé par les scolaires du lycée des Eucalyptus, les jeunes et les familles du quartier. Non à la destruction d’un équipement utile à tous - surtout à l’heure où l’accès à un espace public, gratuit et en plein air devient une denrée précieuse. Ce projet semble anachronique à l’heure où ce type d’équipements fait déjà défaut à Nice et où la priorité affichée par la Ville est à la qualité de vie et au verdissement de l’espace public. Mobilisons-nous pour éviter le pire !

* (C) Pétition : Cerné par les affaires, le numéro 2 de l’Élysée doit démissionner

61.082 signatures sur 75.000 lien pour signer

Il décide de tout et ne répond de rien. Il choisit la direction économique du pays, comment nos impôts sont dépensés et quelle entreprise va en profiter (souvent celle de sa famille et de ses amis). Emmanuel Macron ? Oui mais pas que. Laissez-moi vous parler de son homme de main : Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée et véritable chef du gouvernement.

Dans le gouvernement Macron, Kohler pèse plus que le Premier ministre (désolé Jean Castex) mais il fuit la lumière. Peut-être parce qu’il souhaite à tout prix éviter qu’on apprenne qu’il utiliserait nos impôts afin de garantir des milliards d’euros d’argent public pour l’entreprise de sa famille ou qu’il aurait ruiné les géants français Suez, Veolia et Engie pour arranger ses petits amis.

Kohler, visé par plusieurs enquêtes judiciaires et convoqué par l’Assemblée nationale, se fait champion du monde de l’esquive quand il n’est pas directement protégé par Emmanuel Macron. Personne n’a élu Alexis Kohler, son immunité présidentielle doit prendre fin maintenant !

Les frasques de Kohler sont tellement nombreuses et compliquées à expliquer qu’elle font l’objet d’un documentaire du média Off Investigation, de plusieurs articles d’une dizaine de pages sur Mediapart et de plusieurs ouvrages du journaliste d’investigation Marc Endeweld. Pour simplifier, deux gros scandales entourent Alexis Kohler.

Le premier, est une sombre histoire d’argent public qu’il a directement réorienté vers MSC, le géant du transport maritime (et de la fraude fiscale), propriété de Gianluigi Aponte, qui est le cousin d’Alexis Kohler. Le secrétaire général de l’Élysée a passé des vacances sur le yacht de la famille Aponte et a même été directeur financier de MSC alors même qu’il travaillait sur la campagne d’Emmanuel Macron en 2017. À chaque fois qu’il prenait des décisions favorisant MSC, au sein du ministère des Finances, à l’Élysée, ou encore comme administrateur de l’État au port du Havre, Kohler prenait soin de dissimuler ses liens avec MSC et la famille Aponte. On parle "de centaines de millions, voire de milliards" d’euros selon la journaliste Martine Orange.

Le second scandale concerne l’OPA (Offre Publique d’Achat) de Veolia sur Suez. Écartant Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, d’un revers de la main, Alexis Kohler est intervenu plusieurs fois pour aider ses amis de Veolia à écraser leur concurrent direct Suez. Kohler, qui n’est même pas censé s’occuper de ce dossier, aurait utilisé le pouvoir que lui confère la fonction publique pour pousser ses propres intérêts ou ceux de sa clique. Mais c’est aussi un problème parce que depuis, les trois entreprises françaises impliquées dans cette OPA, les géants de l’eau Suez et Veolia ainsi que le géant de l’énergie Engie, sont dans la tourmente. À terme, cela pourrait se traduire par une augmentation des prix de l’énergie et de l’eau ainsi que par de possibles licenciements. ​​Kohler ne peut continuer à jouer impunément avec notre argent.

À quelques mois des élections présidentielles, Emmanuel Macron veut à tout prix éviter d’être éclaboussé par l’affaire Kohler. C’est pourquoi il est indispensable de mettre la pression maintenant. Ensemble, vous pouvez le faire, parce que vous l’avez déjà fait auparavant. Il y a à peine deux semaines, la mobilisation de milliers de membres de SumOfUs comme vous avait participé à faire renvoyer le directeur général d’Orpéa qui organisait la maltraitance des personnes âgées dans ses Ehpad. Il y a quelques mois, les membres de SumOfUs forçaient le gouvernement Macron à abandonner l’octroi de garanties financières à Total pour un forage désastreux dans l’Arctique.

Vous pouvez mettre fin aux magouilles de Kohler une bonne fois pour toutes ! Demandez qu’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, quitte ses fonctions sans plus attendre.

* (E) Pétition:Non aux abattages près des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan en Malaisie !

93.681 signatures sur 100.000 lien pour signer

Les forêts tropicales de Bornéo jouent un rôle important pour la préservation du climat et de la biodiversité. Sur place, les Autochtones agissent à leur conservation. Aujourd’hui, le peuple Iban souhaite empêcher l’exploitation de sa forêt encore intacte près des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan. Il fait appel à notre soutien.

La rivière s’écoule paisiblement au cœur de la forêt tropicale et de ses arbres imposants. Aux sons du cours d’eau s’entremêlent le bourdonnement des insectes et le chant des oiseaux. « Ce sont les voix de la jungle » écrit Matek Geram à propos d’une vidéo qu’il nous a envoyé sur WhatsApp depuis la Malaisie. Muni de son GPS, l’écologiste de l’organisation SADIA cartographie le territoire du peuple Iban. La forêt des communautés riveraines de l’Ulu Lioh et de l’Ulu Lijan est en danger et sa cartographie doit aider à la protéger. Contrairement à de nombreuses régions déjà détruites à cause des plantations et de l’exploitation forestière dans l’État du Sarawak, la nature y est ici encore intacte.

Mais aujourd’hui, une entreprise forestière est apparemment sur le point d’obtenir une concession d’exploitation. D’après Matek, les habitants n’en ont été informés qu’officieusement et n’ont pas été consultés. Ils pourraient perdre leur forêt, c’est-à-dire leur foyer et la source de leurs moyens de subsistance depuis les temps ancestraux. C’est pourquoi les habitants ont demandé l’aide de Matek, car il est devenu urgent de garantir les droits forestiers traditionnels des Iban devant les tribunaux.

Matek est un partenaire de Sauvons la forêt depuis de nombreuses années. Il est convaincu qu’une pétition internationale adressée au gouvernement et à l’administration forestière du Sarawak peut aider les Iban à préserver leur forêt. « Les forêts appartiennent aux communautés. Il ne faut pas y toucher », revendique Matek. Aidons les indigènes du peuple Iban à sauver leur forêt. Signez notre pétition !

Au gouvernement et à l’administration forestière du Sarawak, Madame, Monsieur,
les forêts tropicales jouent un rôle important dans la lutte contre la crise climatique ainsi que pour la préservation de la biodiversité. Par ailleurs, elles offrent un foyer et des moyens de subsistance à de nombreuses personnes, notamment aux populations autochtones. Malgré cela, une entreprise est apparemment sur le point d’obtenir une concession d’exploitation forestière le long des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan.

Cette zone fait pourtant partie du territoire ancestral du peuple indigène Iban.
Nous vous demandons de placer la préservation des droits fonciers traditionnels des peuples autochtones et la protection de la nature, du climat et de la biodiversité au-dessus des intérêts économiques. Merci d’empêcher l’exploitation forestière le long des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan et plus largement dans tout le Sarawak. Cela contribuera à renforcer votre réputation auprès des Autochtones, de la population en général et bien au-delà du Sarawak. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre haute considération.

* (E) Pétition : Stop à la destruction du vivant et des petits pêcheurs.Exit la senne démersale.

63.823 signatures sur 100.000 lien pour signer

M. le Président, le 30 septembre prochain, vous aurez entre vos mains le destin de centaines de pêcheurs côtiers français et de milliers d’animaux marins, ratissés quotidiennement par des pêcheurs industriels sans foi ni loi. Le 30 septembre prochain, vous devez vous assurer que la France défende à Bruxelles l’interdiction d’un engin destructeur qui transforme nos mers et nos ports de pêche en déserts : la senne démersale. La senne démersale est une technique de pêche dévastatrice, fruit de l’hyper-efficacité technologique des industriels néerlandais de la pêche. Cette méthode de capture anti-écologique consiste à déployer un câble sur les fonds marins et à le rabattre ensuite sur les poissons piégés en créant un mur de sédiments autour d’eux. Cinq senneurs ratissent en une seule journée une surface équivalente à celle de Paris.

Aujourd’hui, environ 75 senneurs sont autorisés à pêcher en Manche. Cela signifie qu’on a donné aux prédateurs industriels néerlandais un blanc-seing pour détruire l’environnement marin autour de la France et les pêcheurs côtiers du Nord de la France et de Normandie. Les petits pêcheurs ont été délaissés par des décennies de politiques publiques défaillantes et injustes. Ils ne survivront pas à cette nouvelle attaque des industriels. A Bruxelles, la France défend pourtant les industriels étrangers plutôt que les pêcheurs français. 98% des pêcheurs demandent l’interdiction de cette méthode de pêche qui vide la mer, émet des tonnes de CO2 et déloge le carbone stocké gratuitement par l’océan dans les sédiments marins.

A l’heure du changement climatique et de l’hémorragie sociale parmi les petits producteurs, vous devez interdire cette pratique. D’urgence. Le 12 juillet 2022, le Parlement européen a voté l’interdiction de la senne démersale dans les eaux côtières normandes et du Nord de la France. Mais cette victoire est fragile. Et elle est en danger. L’enjeu est énorme. Et les ennemis de l’écologie nombreux.

Monsieur le Président, si vous n’élevez pas votre voix pour sauver les pêcheurs français des pratiques destructrices des industriels néerlandais, le 30 septembre, le vote du Parlement sera remis en cause au cours du « Trilogue » (la négociation totalement opaque qui a lieu entre la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Union).

La France est la première puissance maritime au sein de l’Union. Personne n’osera remettre en cause votre volonté dans le cadre d’un vote concernant les pêcheurs français. Pour gagner, il suffit que vous le vouliez. Il suffit de donner des indications claires à vos diplomates et aux autres États européens. Sans instructions de votre part, les diplomates français défendront, comme d’habitude, la pêche industrielle. C’est à vous de prendre ce dossier en mains et d’exiger la sauvegarde du climat, des animaux marins et des pêcheurs français.

M. Le Président, il est minuit moins une pour la planète et pour l’humanité. Or l’océan est un immense puits de carbone qui absorbe près d’un tiers de nos émissions de CO2 et agit comme le principal régulateur du climat. En notre nom, le 30 septembre prochain, résistez aux pressions des lobbies, soyez à la hauteur des enjeux et défendez l’interdiction de la senne demersale destructrice du climat, de la biodiversité et des pêcheurs côtiers.

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Nous avons gagné la première manche au Parlement européen, nous devons gagner le Trilogue. Pour cela, nous avons besoin d’une énorme mobilisation citoyenne. Pour donner du poids à nos actions et mettre une pression de « dingue », signez cette pétition qui sera envoyée au Président de la République Emmanuel Macron, au Secrétaire d’État chargé de la mer Hervé Berville et au député européen du parti présidentiel Pierre Karleskind.

* (C) Pétition : Achat des vaccins Pfizer,que cache l’UE ?

163.971 signatures sur 200.000 lien pour signer

31 milliards d’euros. C’est la somme que l’UE aurait surpayé pour ses vaccins contre le Covid. Nos impôts ont donc payé 31 milliards de trop pour que Pfizer puisse engranger 1000 dollars par seconde avec ses vaccins.

Critiquée pour son manque de transparence dans ses négociations avec les laboratoires pharmaceutiques, l’UE cherche-t-elle à dissimuler la vérité ? La question fait particulièrement scandale depuis que la Présidente de la Commission Européenne, Ursula von der Leyen, a refusé de révéler le contenu de ses textos secrètement échangés avec le Directeur de labo Pfizer pendant ces négociations… Ces pratiques occultes doivent cesser immédiatement !

Les règles de l’UE sont claires : le public a le droit d’accéder aux échanges écrits réalisés - sms compris - dans le cadre de ces négociations selon la médiatrice européenne, Emily O’Reilly. Mais Ursula von der Leyen refuse de révéler ces messages secrets au public. Von der Leyen, n’en est pas à son coup d’essai. En 2019, le contenu de son téléphone avait été mystérieusement effacé alors que le parlement allemand le réclamait dans le cadre d’une enquête la ciblant. Elle était soupçonnée d’avoir fait preuve de favoritisme dans l’octroi de contrats lorsqu’elle était ministre de la défense allemande.

Von der Leyen avait affirmé que c’était le résultat d’une mauvaise manipulation faite par un collaborateur... Mais, depuis qu’elle a pris la tête de la Commission européenne, de nombreux observateurs dénoncent une institution de moins en moins transparente, responsable et démocratique.

Ursula von der Leyen doit faire toute la lumière sur ces négociations qui ont coûté 31 milliards d’euros de trop au contribuable ! Vous pouvez faire flancher Ursula von der Leyen tout comme les membres de SumOfUS l’ont déjà fait avec David Cameron. Suite aux révélations des Panama Papers, plus de 50 000 membres de SumOfUs avait forcé l’ex-Premier ministre britannique, à faire preuve de transparence au sujet d’un scandale de fraude fiscale dans lequel lui et ses proches étaient impliqués.

Plus récemment, au niveau européen, vous avez poussé les eurodéputées à adopter une régulation historique contre les géants du Web, pour protéger l’humain, partout dans le monde. Aujourd’hui encore, vous pouvez faire pencher la balance du côté de la justice ! Exigez qu’Ursula von der Leyen dévoile ses SMS secrets avec le directeur de Pfizer
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* (C) Pétition : Pas de budget pour Frontex !

38.882 signatures sur 50.000 lien pour signer

N’approuvez pas le budget de Frontex. Cela reviendrait à approuver les violations des droits humains.
Pourquoi est-ce important ?
Un rapport explosif a fuité : il détaille des violations des droits humains, une mauvaise gestion et la dissimulation de faits graves. Tout cela avec l’argent de nos impôts. Et qui se trouve au cœur du scandale ? Frontex, l’agence la mieux financée de l’UE, qui surveille nos frontières et qui est censée protéger les migrant·e·s. Mais au lieu de cela, ils ont été témoins de personnes qui se sont noyées en mer Méditerranée et ils n’ont rien fait pour les aider. Et d’autres violations des droits de l’homme s’y ajoutent.

Frontex a "pris des mesures délibérées pour s’assurer que les violations ne seraient pas documentées, qu’elles ne feraient pas l’objet d’une enquête ou qu’elles ne seraient pas comptabilisées". Frontex a réduit au silence ceux qui signalaient les abus et a mis en place un système illégal d’impunité. Les hauts fonctionnaires de l’UE étaient au courant et ont gardé le silence pendant des mois. L’affaire étant à présent publique, nos dirigeant·e·s subissent des pressions afin de mettre de l’ordre dans cette agence véreuse.

C’est une opportunité unique de faire plier cette agence en roue libre et de mettre un terme aux abus. Et nous voulons frapper là où ça fait mal : au portefeuille. Mardi prochain, les eurodéputé·e·s procéderont au vote sur le budget de Frontex. Ils et elles pourraient l’approuver. Mais si notre mouvement exerce une pression suffisante, ils pourraient choisir de rejeter le budget et de protéger les droits humains. Demandez à votre eurodéputé·e de rejeter le budget de Frontex.

* (E) Pétition : Signez l’appel des indigènes pour la sauvegarde de l’Amazonie

136.138 signatures sur 150.000 lien pour signer

À la communauté internationale, aux Nations unies, aux gouvernements des pays, des régions et des villes, aux institutions économiques, financières et scientifiques
Madame, Monsieur,l’Amazonie est, de loin, la plus grande zone forestière tropicale de la planète. Elle revêt une importance capitale pour la biodiversité, l’humanité, le climat et la Terre entière.

Pourtant, des zones toujours plus grandes de la forêt amazonienne sont déboisées et brûlées. Les défrichements et les centaines de milliers d’incendies, qui touchent ce territoire chaque année, détruisent la biodiversité, anéantissent les moyens de subsistance des populations autochtones, déséquilibrent les écosystèmes et menacent le climat mondial. Il est donc urgent de prendre des mesures efficaces pour mettre un terme aux déboisements et aux incendies, pour garantir la protection de l’Amazonie.

Les organisations indigènes d’Amazonie, réunies au sein de la COICA (Coordination des Organisations Indigènes du Bassin Amazonien), appellent la communauté internationale, les gouvernements des pays et des villes, les institutions économiques, financières et scientifiques, ainsi que toutes celles et ceux qui sont prêts à faire quelque chose pour la planète, à se joindre à elles.Ensemble, nous demandons que 80% de l’Amazonie soit protégée et conservée de manière permanente d’ici 2025. Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre respectueuse considération.

Copie à :
M. Francisco Calí Tzay, Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones des Nations Unies,
Mme Inger Andersen, Directrice exécutive du Programme des Nations unies pour l’environnement,
Mme Yoka Brandt, Présidente du Conseil exécutif du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD),
M. Guy Ryder, Directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT),
Mme Li Yanduan, Présidente du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD),
M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS),
M. Qu Dongyu, Directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO),
Mme Patricia Espinosa, Secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC),
Mme Elizabeth Maruma Mrema, Secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique des Nations unies (CDB),
Mme Audrey Azoulay, Directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

* (E) Pétition : La Belgique doit plaider pour l’adoption d’une nouvelle Convention des Nations unies sur les droits des aîné·es !

6.611 signatures sur 20.000 lien pour signer

Pétition à l’attention d’Alexander De Croo, Premier ministre de Belgique
M. le Premier ministre, je suis profondément préoccupé·e par les multiples violations des droits humains dont sont victimes les personnes âgées dans le monde entier et par les risques spécifiques auxquels elles doivent faire face. Déshumanisé·es, négligé·es ou maltraité·es, les aîné·es sont victimes de stéréotypes, de préjugés, de discrimination et d’abus.

Les aîné·es en Belgique et ailleurs font face à l’exclusion sociale, économique et politique, ainsi qu’à des obstacles en matière de soins de santé et d’accès à d’autres services essentiels. Ils·elles sont victimes de stéréotypes, de préjugés et de discrimination en raison de leur âge. Ces croyances, jugements et attitudes discriminantes envers les aîné·es, aussi appelé âgisme, ont pour conséquence grave de mettre ces personnes à l’écart du reste de la société, empêchant de les considérer comme détentrices de droits. Nombre de ces questions ont déjà été largement soulevées par la société civile en Belgique, soulignant également leur nature universelle et la nécessité de solutions mondiales.

Amnesty International a par ailleurs documenté la façon dont les conflits, les crises et la pandémie de COVID-19 ont exposé les personnes âgées à des risques particuliers. Pendant la crise sanitaire, les maisons de repos se sont retrouvées dans l’angle mort des autorités, dont la réponse adéquate est arrivée beaucoup trop tard. Comme Amnesty l’a documenté dans quatre pays européens dont la Belgique, ceci a entrainé de nombreuses violations des droits humains des personnes âgées, dont le droit à la vie, le droit à la santé et le droit à la non-discrimination.

Les aîné·es sont par ailleurs souvent des victimes invisibles lors des conflits, négligé·es aussi dans les réponses humanitaires. Les forces gouvernementales et les groupes armés non étatiques attaquent et commettent des abus graves à l’encontre de civil·es âgé·es lors de conflits dans le monde entier, comme au Nigeria où les personnes âgées sont particulièrement prises pour cibles par Boko Haram ou dans le Haut-Karabakh où le conflit qui oppose l’Arménie à l’Azerbaïdjan cause des souffrances aux personnes âgées depuis des décennies. Au Myanmar et au Bangladesh, de nombreux·euses aîné·es déplacé·es dans les camps de réfugié·es ont été oublié·es par la réponse humanitaire.

Face à cela, la protection de leurs droits fondamentaux au niveau international reste faible. Comme souligné par une étude récente du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, les cadres existants en matière de droits humains n’offrent qu’une “protection (...) parcellaire et insuffisamment systématique, en droit et dans la pratique”. En effet, bien que la plupart des cadres juridiques internationaux en matière de droits humains comportent des obligations implicites à l’égard des personnes âgées, ces derniers ne les mentionnent pas expressément, rares sont les instruments qui font explicitement référence à la question de l’âge et ces instruments sont peu clairs quant à la manière de prévenir et réparer les violations spécifiques de leurs droits.

Il n’existe par ailleurs actuellement pas de traité international cohérent, complet et intégré qui protège spécifiquement les droits de ces personnes, alors même qu’il existe des traités qui protègent les droits spécifiques d’individus appartenant à d’autres groupes de personnes, qui ont besoin d’une protection particulière, comme par exemple les enfants, les personnes en situation de handicap, les personnes victimes de discrimination raciale et de genre.

Le Groupe de travail à composition non limitée sur le vieillissement, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, ainsi que de nombreux rapports produits par Amnesty International et d’autres organisations de référence ont indiqué qu’il conviendrait donc de renforcer, sans plus tarder, le régime international de protection des personnes âgées, notamment en adoptant un nouvel instrument international spécifique, visant à promouvoir et à protéger les droits et la dignité des personnes âgées.

En 2021, plus de 20 organisations de personnes âgées, des ONG et d’autres organisations de la société civile ont adressé une lettre à la ministre des affaires étrangères Sophie Wilmès pour plaider en faveur d’une participation active de la Belgique à la réalisation d’une convention des Nations unies sur les droits des personnes âgées. Des questions parlementaires à ce sujet ont également été posées à plusieurs reprises.

En tant qu’Etat membre de l’Organisation des Nations unies et État membre du Groupe de travail à composition non limitée sur le vieillissement, et en vertu de la Résolution de l’Assemblée générale des Nations unies du 20 décembre 2012, il est grand temps pour la Belgique d’agir.

Les autorités belges doivent :
participer activement aux négociations en cours ;
collaborer aux travaux confiés au Groupe de travail des Nations unies ;
et s’exprimer publiquement en faveur d’une nouvelle Convention des Nations unies sur les droits des personnes âgées qui permettra de respecter, protéger et rendre effectifs les droits humains des personnes âgées.
Sincères salutations,

* (E) Pétition : Stop aux bombes tueuses d’otaries !

171.922 signatures sur 200.000 lien pour signer

Des otaries à fourrure, une espèce protégée, sont en train de mourir à cause de bombes sous-marines, appelées « bombes tueuses de phoques », que font exploser les producteurs industriels de saumon en Australie. Ces bombes sont conçues pour émettre des bruits perçants et des éclairs lumineux qui se répercutent dans l’océan.
Mais ces engins ne se contentent pas d’effrayer les phoques : ils provoquent également des fractures osseuses, des brûlures profondes, des sorties des yeux de leurs orbites et, dans certains cas, la mort, souvent à la suite d’un traumatisme dû à l’impact. Pouvez-vous signer la pétition qui demande aux trois grands producteurs de saumon australiens - Huon Aquaculture, Tassal et Petuna - de cesser d’utiliser les « bombes tueuses de phoques » et de déplacer leurs élevages de saumons vers les côtes ?

Les élevages de saumons flottants ne sont pas seulement un désastre écologique qui rejettent d’énormes quantités de déchets et d’antibiotiques dans des environnements marins vierges, ils attirent aussi les otaries affamées. Mais au lieu de déplacer les élevages sur les côtes, loin de l’habitat naturel des otaries, les producteurs de saumon utilisent des explosifs pour blesser les otaries dès qu’elles s’approchent. Les trois géants du saumon tasmaniens ont déclenché plus de 77 000 « bombes tueuses de phoques » en quatre ans. Et ces explosifs sous-marins ne constituent pas le seul risque pour les otaries. Les producteurs de saumon utilisent également des fusils de chasse pour tirer sur les otaries avec des balles chargées de plomb qui peuvent s’enfoncer dans leur peau et provoquer des invalidités permanentes. Allez-vous participer au mouvement de protestation mondial qui va obliger l’industrie du saumon à agir ? Signez ici pour exiger que Huon Aquaculture, Tassal et Petuna cessent dès maintenant d’utiliser des bombes et des fusils de chasse contre les otaries.

La Tasmanie, région insulaire située au large de la côte sud australienne, est une région marine sauvage et vierge. C’est l’un des derniers endroits où l’on peut toucher terre avant d’atteindre l’Antarctique. Les baleines, les dauphins, les otaries à fourrure australiennes protégées et les rares otaries à long nez de Nouvelle-Zélande partagent l’océan avec des espèces que l’on ne trouve nulle part ailleurs. Les Premières Nations de Tasmanie/lutruwita, qui protègent la terre et l’océan depuis des siècles, s’élèvent contre la présence de producteurs industriels de poisson dans leurs eaux en raison de leur impact sur l’ensemble de l’écosystème. Ils savent que l’industrie du saumon est une véritable menace ; les maladies se propagent des enclos à saumon surpeuplés aux poissons sauvages et de grands animaux marins se prennent dans les filets.

La mobilisation populaire a déjà permis de pousser l’industrie du saumon à changer. Après le mouvement massif contre les producteurs de saumon écossais qui tiraient sur les phoques, une interdiction a été mise en place pour les protéger. Et les membres de SumOfUs ont également contribué à stopper l’expansion de l’élevage de saumons de Millstone Point en Écosse. Pouvez-vous également nous aider à protéger les phoques en Tasmanie ?

* (C) Pétition : De la justice dans les affaires

78.477 signatures sur 100.000 lien pour signer

A la Commission européenne, au Parlement et au Conseil
Nous exigeons une directive européenne sur le devoir de vigilance qui :

Oblige les entreprises à respecter les droits humains, l’environnement et le climat.
Impose aux entreprises des obligations strictes et claires en matière de prévention et compensation des dommages qu’elles ont commis.
Tienne les sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre juridiquement responsables des dommages tout au long de leurs chaînes d’approvisionnement. Pas d’échappatoires !
Garantisse le droit à la négociation collective pour les syndicats et donne aux représentants des travailleur·se·s un véritable droit de regard sur la vigilance, et ce à chaque étape du processus.
S’attaque à la crise climatique en contraignant les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre tout au long de leurs chaînes de valeur.
Protège la planète en tenant les entreprises juridiquement responsables de toutes les atteintes à l’environnement qu’elles pourraient commettre.
Oblige les sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre à appliquer les exigences du devoir de vigilance à toutes leurs relations commerciales tout au long de leurs chaînes de valeur.
Donne aux personnes affectées, aux syndicats et à la société civile les moyens d’obtenir justice devant les tribunaux des pays européens.
Oblige les entreprises à consulter toutes les personnes qui sont ou peuvent être affectées par leurs activités, et obtenir leur consentement le cas échéant.
Donne aux autorités le pouvoir d’enquêter de manière approfondie et de sanctionner les entreprises fautives.

* (E) Pétition : "Maman j’ai arrêté l’avion" - L’appel des Atterristes

10.654 signatures sur 15.000 lien pour signer

Nous, Atterristes, prenons l’engagement de nous déplacer et de voyager sans avion.
Conscient·es de l’urgence climatique, nous choisissons d’aligner notre mode de vie avec ce que nous disent les scientifiques. Pourquoi faut-il agir maintenant ?

C’est un engagement nécessaire. Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l’intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2].

C’est un engagement qui nous semble profondément juste. Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ?

C’est un engagement joyeux. Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c’est le début d’un autre rapport au monde.

Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large. Ensemble, atterrissons.

[1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021
[2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone
[3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779
[4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone

* (E) Pétition : Il est temps de bannir les jets privés

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Pétition lancée par Julien Bayou, député NUPES-EELV
Bonjour, Il est temps de bannir les jets privés. C’est la mesure qui pénalise le moins de monde pour l’impact le plus grand et le plus immédiat en faveur du climat. C’est une question de justice.Comment demander des efforts à la population, si les plus riches sont exonérés de tout ?

Une fraction de la population crame dans l’atmosphère la consommation d’un Français moyen pour les 50 prochaines années. Thomas Sankara disait : « Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l’eau potable pour tout le monde. »

Depuis que j’ai proposé l’interdiction des jets privés, cette mobilisation prend de l’ampleur mais j’ai besoin de votre soutien. Signez la pétition, amplifiez la mobilisation

* (C) Tribune : « Nous voulons briser le silence sur les conséquences de l’agent orange au Vietnam »

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Lire la tribune sur Le Monde

Soixante ans après le début des épandages massifs par l’armée américaine de l’herbicide, les conséquences en sont encore présentes, souligne, dans une tribune au Monde, un collectif de personnalités mobilisées pour faire sortir ce crime de l’oubli, qui demande l’instauration d’une journée officielle de commémoration des victimes.

Tribune

Il y a des drames qui tombent dans l’oubli ; des histoires qui, à force de rester dans l’ombre, s’éteignent avec les individus qui les portent. Il y a soixante ans, le 10 août 1961, débutaient les premiers épandages d’agent orange, un puissant herbicide contenant de la dioxine, substance à l’origine de nombreux cas de cancers et de malformations à la naissance. Cet herbicide a été déversé sur la partie sud du Vietnam par l’armée des Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam, afin de détruire le couvert végétal et débusquer, ainsi, les résistants vietnamiens qui s’y réfugiaient.

Il y a soixante ans, l’histoire de cette guerre commençait à peine à s’écrire, mais que nous reste-t-il de ce récit ? Nous, citoyens d’un pays, la France, qui a colonisé le Vietnam à partir de l’année 1858, qui a recruté de force des « soldats ouvriers » (les « Linh Tho » lors de la première guerre mondiale, puis les « Cong Binh », durant la seconde) ; qui, au sortir de la deuxième guerre mondiale, lui a refusé l’indépendance en combattant celles et ceux qui luttaient pour ce droit inaliénable, et qui depuis 1975, a accueilli des centaines de milliers de Vietnamiens sur son sol, que savons-nous de leur histoire ?

Dans les livres d’histoire-géographie, au collège et au lycée, la guerre du Vietnam est évoquée. On y apprend qu’elle débute en 1955 et oppose, d’une part, la République démocratique du Vietnam (Nord Vietnam) avec son armée populaire vietnamienne – soutenue matériellement par l’Union soviétique et la Chine – alliée au Front national de libération du Sud (appelé Vietcong par ses ennemis) et, d’autre part, la République du Vietnam (Sud Vietnam), soutenue par l’armée des Etats-Unis et plusieurs alliés comme le Canada, l’Australie, la Corée du Sud et les Philippines.

L’illusion d’une guerre lointaine

L’enseignement se contente aujourd’hui de balayer les grandes lignes, en omettant les conséquences désastreuses – et pourtant terriblement actuelles – de la guerre sur les écosystèmes et les habitants. Il omet aussi, bien trop souvent, d’appuyer la différence entre le napalm et l’agent orange, dont les Français ne discernent pas toujours la nature, sans doute à cause de l’absence à l’époque de représentations des ravages causés par l’agent orange et du cliché, devenu célèbre, d’une enfant vietnamienne brûlée au napalm en 1972.

Mais surtout, il nous donne l’illusion d’une guerre lointaine, passée. Pourtant, cette guerre, pour les anciens combattants et leur descendance, est loin d’être derrière eux, loin de se taire, au contraire. Insidieuse, elle s’insère encore dans les corps ; meurtrière, elle continue de semer la mort et le désespoir dans les familles – qui y voient, en plus, un signe de punition.

Le Vietnam et sa population se sont habitués à ces visages et ces corps tortueux, tant dans les provinces d’Hanoï et de ses environs que dans le sud du pays. C’est dans un terrible silence, que ces vies passent, parfois sans même avoir eu connaissance d’être victimes des conséquences des épandages. Et c’est ce silence que nous souhaitons définitivement briser.

Toutes ces victimes, malades d’un passé dont elles ne sont pas responsables, subissent de nombreuses peines : l’absence de reconnaissance juridique dans leur pays et à l’international – contrairement aux vétérans américains –, des conditions matérielles insuffisantes et une quasi-absence de commémoration à l’international, pourtant si nécessaire à la reconstruction d’un peuple, à sa mémoire. Ce travail manque, au Vietnam comme dans les autres pays où les récits se sont mêlés, via les diasporas.

Une journée officielle de commémoration

Les associations sur place, chargées d’identifier les lignées de familles potentiellement touchées rencontrent toujours une grande difficulté à identifier les personnes les plus vulnérables qui se cachent par honte des malheurs qu’elles pensent porter, et par manque d’informations dans leur pays d’origine ou d’accueil.

C’est pourquoi nous demandons, au nom du Collectif Vietnam-Dioxine, aux parlementaires français de participer à la réparation de l’injustice subie par l’ensemble des victimes de l’agent orange, en considérant ce crime commis au Vietnam et dans les pays voisins, comme au Cambodge et au Laos. Nous demandons l’instauration d’une journée officielle de commémoration des victimes de l’agent orange, ainsi qu’une meilleure prise en compte, dans l’enseignement scolaire, des incidences de la guerre du Vietnam sur les populations et l’ensemble des écosystèmes.

Nous continuerons, de notre côté, à nous mobiliser, et à participer à l’effort de mémoire du Vietnam, pays dont le cri, étouffé par l’impérialisme des Etats- Unis, commence à peine à se faire entendre. Nous appelons, enfin, l’appui et le soutien de la communauté internationale, car la paix n’est pas seulement un mot, ni même un état d’esprit, et ce combat pour le surgissement du possible n’est pas seulement un espoir, c’est aussi un travail collectif.

La liste complète des signataires est accessible en .
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* (C) Pétition : Nextdoor : suspendez vos partenariats avec la police

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Faites-le entendre à Nextdoor : suspendez vos relations avec les services de police.
Depuis des années, de nombreuses personnes tirent la sonnette d’alarme à propos du racisme sur Nextdoor. En parallèle, Nextdoor fait du pied aux services de police et les incite à utiliser sa plateforme pour « cibler géographiquement des messages à destination de quartiers spécifiques ». Les détails de ces partenariats sont en grande partie inaccessibles au public, ce qui ne contraint pas Nextdoor à rendre des comptes vis-à-vis des éventuelles conséquences néfastes pour les communautés ciblées de manière disproportionnée par la police. C’est pourquoi nous demandons à Nextdoor de suspendre ses relations avec les services de police jusqu’à ce qu’ils fournissent plus d’informations sur la nature de ces partenariats et des preuves qu’ils ont examiné l’impact et les potentielles conséquences néfastes de ces partenariats sur les communautés qui utilisent leurs services.

Alors que Nextdoor s’est engagé à lutter contre le racisme sur sa plateforme, les détails des actions qu’ils vont mener et la façon dont ils vont mesurer leurs progrès restent flous. La dernière mesure prise par Nextdoor, supprimer de sa plateforme la fonction « Transférer à la police », montre bien sa prise de conscience de la nécessité de ralentir la systématisation du déplacement de la police, comme poussent à le faire des technologies telles qu’Amazon Ring et Nextdoor. Mais sans un véritable exercice de transparence, le public ne pourra pas juger ces efforts. Nextdoor dispose d’une base d’utilisateurs importante et active, et les mesures prises maintenant peuvent avoir de grandes répercussions sur la façon dont nous pensons que les réseaux communautaires devraient fonctionner.

Nous demandons à Nextdoor de suspendre immédiatement ses relations avec les services de police jusqu’à ce que Nextdoor :

* publie un rapport de transparence pour divulguer publiquement la nature des relations entre Nextdoor et les services de police dans tous les pays où Nextdoor opère, y compris les mesures prises pour identifier les éventuelles conséquences néfastes de ces partenariats ; et
* s’engage à embaucher des experts des droits civils, y compris au sein des équipes travaillant sur la plateforme pour les organismes publics, de la même façon que nos partenaires de Color of Change et la campagne StopHateForProfit l’ont déjà demandé à Facebook.

Si Nextdoor entend sérieusement s’engager à créer une plateforme où « tout le monde a sa place », alors Nextdoor doit assumer ses responsabilités et passer aux actes.
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* (E) Pétition : Dégrader la planète est un crime

72.475 signatures sur 75.000 lien pour signer

A la Commission européenne, au Parlement européen et au Conseil de l’Union européenne, nous demandons à l’UE de reconnaître le crime d’écocide dans sa directive relative aux crimes environnementaux [1]. Les crimes environnementaux ont un impact mondial et dépassent les frontières. L’UE et ses États membres doivent donc également s’engager à faire pression pour que l’écocide entre dans le champ d’application des crimes jugés par la Cour pénale internationale.

Pourquoi est-ce important ?
Faisons de la dégradation de notre planète, l’écocide, un crime. « L’écocide » concerne toute activité humaine dégradant gravement l’environnement, telle qu’une marée noire, la déforestation ou la pollution des sols. Nous devons immédiatement arrêter l’industrie fossile avant qu’elle ne continue à détruire notre planète. Nos député·e·s européen·ne·s voteront bientôt une réforme des lois sur les crimes environnementaux. L’écocide pourrait y être inclus.

Le Parlement européen bénéficie d’un élan fort pour la concrétisation de cette réforme. Mais nous connaissons le pouvoir de l’industrie fossile et de ses lobbyistes lorsqu’il s’agit d’influencer la politique. C’est là que nous intervenons. Montrons à nos eurodéputé·e·s que des milliers d’Européen·ne·s souhaitent que l’écocide devienne un crime. Si nous leur exprimons notre soutien, ils et elles pourront faire preuve de courage, voter pour faire de l’écocide un crime et protéger notre planète. Faites de l’écocide un crime !

Références : Conformément aux recommandations du groupe d’experts de Stop Ecocide International, ce crime doit être défini de façon forte, à savoir : un acte illégal ou gratuit commis en connaissance de la forte probabilité de causer des dommages environnementaux graves, étendus ou entraînant des conséquences sur le long terme.

* (C) Pétition : Taxons les superprofits 147.679 signatures sur 150.000 lien pour signer Pétition lancée par NUPES/LFI Notre pays est confronté à une hausse historique des prix. L’inflation dépasse déjà les 6 %. L’impact est considérable pour des millions de jeunes, de salariés, de chômeurs ou de retraités qui ne parviennent tout simplement plus à vivre, à se nourrir ou à se déplacer. Il y a urgence !

Dans le même temps, des grandes multinationales profitent de cette situation. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. Au premier semestre de l’année 2022, les bénéfices de Total s’élèvent par exemple à 18,8 milliards d’euros… alors que cette entreprise n’a payé aucun impôt en France en 2019 et en 2020. C’est insupportable !

Face à cette situation, l’Espagne, l’Italie ou le Royaume-Uni ont mis en place une taxe sur les super-profits. Le secrétaire général de l’ONU s’est dit favorable à une telle mesure. Les députés de la France insoumise et de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale (NUPES) ont également fait cette proposition à l’Assemblée nationale. Mais Emmanuel Macron, le président des riches, refuse toujours cette mesure pourtant simple à mettre en place.

Nous demandons que soit votée dans les plus brefs délais une loi de taxation des super-profits des multinationales. C’est une revendication de justice face à la situation sociale que connaît aujourd’hui notre pays.

* (E) Pétition : Protection des forêts en RDC : un engagement à mettre en œuvre

103.615 signatures sur 150.000 lien pour signer

Au Président de la République démocratique du Congo.Monsieur le Président, la RDC abrite la deuxième plus grande zone forestière tropicale de la planète. La conservation de cette forêt, où vivent plusieurs millions de personnes, est cruciale dans la lutte contre la crise climatique mondiale et l’extinction des espèces.

Nous nous adressons à vous car votre gouvernement a une grande responsabilité dans la protection des forêts et des moyens de subsistance de la population de la RDC. Dans la province de la Tshopo, les habitants se plaignent que des entreprises empoisonnent les rivières, comme la société chinoise Xiang Jiang Mining, et pillent les forêts, comme la FODECO.

En conséquence, nous vous demandons :
- d’empêcher l’exploitation forestière destructrice et l’activité minière qui empoisonne l’environnement,
- de veiller au respect des droits de la population, notamment le droit au consentement libre, préalable et éclairé, par les entreprises,
- de veiller au respect des droits des chefs de tribu par les entreprises,
- de veiller au respect des droits des travailleurs.

Nous vous exhortons à assumer vos responsabilités envers les citoyens de la République démocratique du Congo et du monde entier.Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Appel à désarmer les criminels climatiques

11.350 signatures sur 20.000 lien pour signer

Ne laissons pas les ultra-riches et leurs multinationales détruire la planète : cet été nous avons vécu une succession de catastrophes climatiques : canicules, sécheresses extrêmes, mégafeux. Les restrictions d’eau ont touché l’ensemble du territoire. Orages, tornades, inondations ont également causé des dégâts parfois mortels. Dans le même temps, nous avons assisté, avec colère, à l’indécence des ultra-riches. Bernard Arnault (LVMH), Vincent Bolloré, Martin Bouygues, François Pinault (Kering) ou Patrick Pouyanné (Total) ont multiplié les trajets de loisir ou de confort dans leur jet privé ou leur méga-yacht, et, en pleine pénurie d’eau, des dérogations ont permis l’arrosage des golfs.

Alors que la planète brûle, le séparatisme des riches est inacceptable. Un milliardaire comme Bernard Arnault émet près de 9000 tonnes d’équivalent CO2 par an, soit les émissions moyennes d’un Français sur 1870 ans. Le patrimoine financier de 63 milliardaires français émet quant à lui au moins autant de CO2 que celui de 49% de la population. Des multinationales comme Total engrangent des superprofits et continuent d’investir massivement dans de nouveaux projets d’énergies fossiles avec le soutien des banques.

En annonçant la « fin de l’abondance », Emmanuel Macron exhorte les Français·es à se serrer la ceinture et à faire preuve de sobriété. En même temps, il refuse obstinément de s’attaquer aux super pollueurs et aux profiteurs de crise. Président des ultra-riches, il a multiplié les cadeaux fiscaux en creusant les inégalités. Résultat : les 5 premières fortunes de France ont doublé leur richesse depuis la crise du Covid, et possèdent autant que les 40% les plus pauvres.

Les crimes climatiques des ultra-riches sont pourtant loin d’être anecdotiques. Ils sont le symbole d’une société d’hyper-consommation, d’un mode de vie détruisant la planète et du refus de contribuer au bien commun. Des mesures fiscales et coercitives s’imposent pour mettre hors d’état de nuire les criminels climatiques et financer la bifurcation écologique.

Alors que les catastrophes écologiques s’accélèrent, faisons cesser les crimes climatiques des ultra-riches et de leurs multinationales. Agissons ensemble : investissons et bloquons les sièges de leurs entreprises, les halls d’embarquement de leurs jets privés, les quais d’amarrage de leurs yachts, les greens de leurs terrains de golfs...

* (C) Pétition : SCOR,cessez d’assurer le chaos climatique !

4.778 signatures sur 5.000 lien pour signer

Vous avez probablement déjà vu ce mème sur internet, avec un chien dans une maison en flammes, buvant son café tranquillement tout en disant "tout va bien". Eh bien, c’est exactement ce que fait le PDG de SCOR - le quatrième réassureur mondial - face à l’urgence climatique : il attend, au calme, que le monde brûle.

En mai, la mobilisation des membres et partenaires de SumOfUs a poussé son nouveau PDG, Laurent Rousseau, à adopter une politique d’exclusion pour tout nouveau projet pétrolier ! C’est un premier pas, mais malheureusement, pas suffisant pour lutter contre le chaos climatique... Ces nouvelles restrictions ne couvrent pas le gaz et des failles permettent des exceptions pour les projets pétroliers menés par des soi-disant "entreprises en transition", comme Total !

Aujourd’hui, nous avons une petite fenêtre d’opportunité pour faire pression efficacement sur le PDG afin qu’il adopte ces exclusions attendues depuis longtemps. Elle commence cette semaine, où SCOR participe à la plus grande conférence d’assurance pour négocier ses nouveaux contrats, jusqu’à la publication de sa nouvelle stratégie en novembre. La mobilisation populaire peut une fois de plus peser sur les décisions de Rousseau. En amont de la révision de sa stratégie, dites au PDG de SCOR de cesser d’assurer la crise climatique et de couper tout lien avec les nouveaux projets pétroliers ET gaziers.

SCOR est à la traîne des plus grands réassureurs, comme Swiss Re et Hannover Re, qui ont décidé de ne plus (ré)assurer de nouveaux projets pétroliers ET gaziers. SCOR, lui, continue à faire son sale boulot, quitte à perdre des millions ! Vous parlez d’un déni. Renforcer ses exclusions n’est pas seulement bon pour la planète, c’est aussi bon pour ses propres profits. Car au premier trimestre 2022, SCOR a été frappé par des résultats négatifs, principalement dus aux événements climatiques extrêmes récents qui ont frappé la planète.

Cette semaine est une véritable opportunité pour le PDG de redéfinir ses priorités pour les cinq prochaines années. Le PDG de SCOR doit s’engager à ne plus assurer aucun nouveau projet pétrolier et gazier, sans aucune exception. C’est la seule décision sensée qu’une compagnie de (ré)assurance puisse prendre pour faire réellement son travail : protéger les personnes et la société des risques à travers le monde, tout en sécurisant ses propres profits.

Dites à Laurent Rousseau de publier une politique pétrolière ET gazière exemplaire. Notre seule assurance de survie c’est que les énergies fossiles restent dans le sol, là où elles doivent être. SCOR a toujours été un (ré)assureur soucieux du climat et a été le premier à mettre en œuvre une politique contre le charbon en 2017. SCOR a pris des décisions courageuses par le passé lorsque personne en était capable.

En mai, Rousseau a pris note de votre mobilisation, en amont de sa première réunion annuelle avec les actionnaires, et a décidé d’exclure toute couverture pour les nouveaux projets pétroliers ! Avant que SCOR ne signe ses nouveaux contrats et ne publie sa nouvelle stratégie, nous devons nous assurer que son PDG prend la science au sérieux. Peut-il ignorer l’été d’incendies monstrueux que nous venons tous de vivre ? Ensemble, nous devons dire au PDG de SCOR d’arrêter son déni de la crise climatique.

La mobilisation citoyenne fonctionne et vous pouvez faire en sorte que SCOR aille de nouveau dans la bonne direction. Dites au PDG de SCOR d’exclure tout nouveau projet gazier de ses contrats et de publier une politique complète d’exclusion du pétrole ET du gaz.

* (E) Pétition : Vos éoliennes contiennent-elles du balsa d’Amazonie ?

64.544 signatures sur 100.000 lien pour signer

Aux sociétés Siemens Gamesa, General Electric, LM Wind Power, Vestas, Nordex et Enercon : Madame, Monsieur, des organisations de protection de l’environnement et des associations indigènes d’Équateur dénoncent le pillage des ressources naturelles de balsa en Amazonie équatorienne. Les abattages, le plus souvent illégaux, y causent de graves dommages écologiques ainsi que des conflits au sein des communautés autochtones.

Environ trois quarts du bois de balsa commercialisé dans le monde est destiné à l’industrie de l’éolien. Pourtant, les fabricants d’éoliennes, comme vous, passent largement sous silence son utilisation dans leurs rapports d’entreprise et de durabilité. Le balsa est manifestement un sujet que l’industrie veut dissimuler au public.

Nous demandons au secteur de l’énergie éolienne de faire preuve de transparence quant à sa consommation et à ses chaînes d’approvisionnement de balsa, et d’exclure complètement celui provenant de sources illégales, de l’exploitation abusive des forêts tropicales et des territoires indigènes. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (C) Pétition : Il faut mettre fin aux interdictions de voyager contre les militant·e·s en Arabie saoudite

1.481 signatures sur 5.000 lien pour signer

Ces trois dernières années, la société saoudienne a connu une transformation à en donner le tournis pour tenter d’améliorer son image à l’international. Mais derrière cette transformation de façade se trouve une réalité parallèle : la répression acharnée qui ne cesse de viser des dizaines de défenseur·e·s des droits humains et d’autres militant·e·s pacifiques, journalistes, et religieux, uniquement pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions. Les autorités saoudiennes ont incarcéré arbitrairement au moins 35 militant·e·s pacifiques, après les avoir condamnés à de longues peines de prison et à des interdictions de voyager, parfois uniquement pour avoir publié des tweets sur les réformes politiques. Mais même après avoir purgé leur peine, ces militant·e·s ne sont pas libres.

Ces personnes doivent vivre sous le coup de longues interdictions de voyager imposées dans le cadre de leur condamnation, qui les empêchent de quitter l’Arabie saoudite, pour une durée qui varie entre 5 et 20 ans. Loujain al Hathloul, Raif Badawi, et Abdulrahman al Sadhan font partie de la longue liste de militant·e·s qui se voient interdits de voyager par les tribunaux.

Les interdictions de voyager arbitraires sont également imposées parfois sans décision de justice, et les personnes visées ne l’apprennent que lorsqu’elles tentent de voyager et qu’elles sont refoulées par les autorités saoudiennes dans les aéroports ou à des postes-frontières. Ces interdictions touchent souvent les membres de la famille des militant·e·s qui vivent en dehors de l’Arabie saoudite, déchirant ainsi les familles et causant de profondes douleurs.

Dans le cas de Salman al Odah, qui encourt la peine de mort, ce sont 19 membres de sa famille qui sont soumis à des interdictions de voyager illégales, injustifiées et illimitées uniquement en raison de leurs liens de parenté. Signez la pétition et demandez au roi Salman de lever immédiatement les interdictions de voyager arbitraires à l’encontre des militant·e·s, des défenseur·e·s des droits humains et de leurs familles !

* (C) Pétition : Pour une VOIE CYCLABLE dans la vallée de la ROYA-Eurovélo 8

3.290 signatures sur 5.000 lien pour signer

A l’attention de M. le Président du Conseil départemental 06, M. le Président de la CARF, M. Sébastien Olharan, Conseiller départemental 06, Madame et Messieurs les Maires de Breil-sur-Roya, Saorge, Fontan, La Brigue, Tende, M. le Président du parc national du Mercantour, M. le Préfet Reconstruction des vallées, M. le Préfet Montagne, M. le Préfet des Alpes-Maritimes, M. le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

La vallée de la Roya a reçu de plein fouet l’impact tragique du réchauffement climatique le 2 octobre 2020 avec la tempête Alex, un impact humain, économique, et paysager… Les habitant.es constatent tous les jours depuis lors un formidable travail de reconstruction des routes dévastées.

Pourtant, si nous voyons un développement remarquable du vélo et du vélo à assistance électrique chez les habitant.es et les touristes, dans la vallée de la Roya comme partout… l’implantation d’une piste cyclable ne semble pas avoir été prévue avec la reconstruction de la route ! Pourtant, la Vallée est sur l’itinéraire de l’Eurovélo 8, « La Méditerranée à vélo » et la partie qui nous concerne

Pourtant, la Préfecture annonçait dans le cadre de la consultation citoyenne en janvier-février 2022 : « Les collectivités territoriales, les opérateurs privés et l’État sont engagés dans une reconstruction résiliente et durable ». A cette occasion les habitant.es de la vallée de la Roya ont affirmé leur volonté d’une reconstruction la plus écologique possible et durable, une sorte de « vallée verte »…

Pourtant, les Collectivités, Conseils départemental et régional, Communauté d’agglomération et son office de tourisme communautaire, ainsi que le parc national du Mercantour visent à privilégier un tourisme vert et durable et mettent en avant « slow tourisme » et activités touristiques « durables » sur le territoire. Enfin, le Gouvernement prolonge les aides à l’achat des vélos à assistance électrique… La sécheresse et la canicule accrues cet été pointent toujours plus l’urgence climatique. Elles impliquent ainsi la nécessité absolue de changer en priorité de mode de transport, pour ne pas aggraver plus encore les conséquences : miser sur les transports en commun et les transports « doux » est devenu une urgence évidente.

Il y a URGENCE à mettre en place une politique cohérente d’aménagement du territoire qui prend pleinement en compte ce moyen de déplacement, pour le tourisme, et pour les habitant.es ! Nous, habitant.es, associations, et professionnels de la vallée de la Roya, vous demandons instamment de vous concerter pour mettre en œuvre les différentes déclarations des responsables, dont celles de M. le Président de la République :

- Un itinéraire cyclable aux normes actuelles dans la vallée de la Roya tout au long de la RD 6204, de la frontière au sud de Breil-sur-Roya jusqu’au col de Tende par la piste des 46 lacets ;

- dans l’attente de l’achèvement des travaux nécessaires, de mettre en place toutes les dispositions permettant d’assurer la sécurité des usagers partageant la route ;

- d’équiper les autres routes de la vallée de la signalisation nécessaire pour rappeler aux véhicules motorisés qu’ils doivent partager la route, et des équipements de sécurité aux points dangereux pour la sécurité de tous.

Nous vous demandons bien sûr de construire cette politique d’aménagement du territoire en concertation avec nos voisins italiens, afin que la vallée soit cyclable depuis son embouchure jusqu’à sa source, avec la possibilité de rejoindre le Piémont italien soit par le train avec son vélo, soit, à la belle saison de mai à octobre, par la piste des 46 lacets via le col de Tende.

Dans cette vallée de la Roya si durement touchée par le réchauffement climatique, nous avons la grande chance d’avoir notre « ligne de vie » : le TRAIN ! Faut-il le rappeler ? Le train et le vélo forment le couple parfait des modes de transport « doux » et durables dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique. Pour cela les perpétuelles annonces doivent être enfin suivies d’effets tangibles : remise en état de la voie ferrée et électrification en vue d’une desserte efficace de l’étoile ferroviaire de Breil pour rendre le train réellement attractif.

Nous ne demandons en réalité que le respect et la mise en conformité avec la Loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités…, ainsi que la réalisation jusque dans notre vallée de la Roya du beau « plan vélo 2028 : Faciliter la pratique du vélo pour tous » par le Conseil départemental 06. Nous vous remercions de prendre en compte au plus tôt cette demande de bon sens, à l’heure où le Vivant étouffe et où la terre s’assèche à vue d’œil…

Associations et professionnels signataires : Bureau des guides du Mercantour - Collectif citoyen de Saorge - Comité de défense de la ligne Nice-Breil-Tende-Cuneo-Ventimiglia – Croc montagne (Tende) - Curieux de nature 06 (Tende) – Demaria Philippe, accompagnateur VTT & montagne - Duffey Thibaud, accompagnateur VTT & montagne - Foyer rural de Tende-La Brigue – Lou Pountin (Saorge, restaurant et ass.) – Neige & Merveilles (Gite d’étape, Tende) - Recycle 2D (Breil) – Remontons la Roya (ass.) – R.E.N. (Roya Expansion Nature, ass.) – R.E.T. (Roya En Transition, ass.) - Roya citoyenne (ass.) – « Merveilles, Gravures & Découvertes », Syndicat local d’accompagnateurs montagne – Vigilance Mercantour (ass.) – Vélo Club de la Haute-Roya - VTT MTB Mercantour (Breil)

* (C) Pétition : Pas de répit pour les fraudeurs du fisc !

92.916 signatures sur 100.000 lien pour signer

Parlement européen, Conseil européen, Etats membres de l’Union européenne
Pour permettre la justice fiscale, les gouvernements et les institutions de l’UE doivent garantir la collecte des informations clés concernant les sociétés, ainsi que l’accès du public à ces informations. Par le biais de la directive sur la lutte contre le blanchiment d’argent, les gouvernements de l’UE doivent d’une part empêcher les fraudeurs fiscaux de se cacher et d’autre part étendre aux trusts et autres structures similaires les registres publics des ayants droit économiques des sociétés. Ces registres doivent être ouverts et accessibles au public et inclure un large éventail d’ayants droit économiques. Ceci passe par l’abaissement des seuils d’enregistrement

* (E) Pétition : Non à l’extension de l’aéroport Nice Côte d’Azur : une bombe climatique et sanitaire

3.142 signatures sur 4.000 lien pour signer

Destinataires : Mme Barbara Pompili (Ministre de la Transition écologique), M Bruno Le Maire (Ministre de l’économie, des finances et de la relance), M Jean-Baptiste Djebbari (Ministre délégué chargé des Transports)

Nous demandons une reconsidération complète et une annulation des projets d’extension des aéroports français, dont celui du T2.3 de l’aéroport Nice Côte d’Azur (+50% de trafic de 2019 à 2030). Une action en justice est en cours contre ce projet T2.3 niçois, au TA de Marseille, et portée par des associations, que les citoyens peuvent soutenir.

Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Au rythme actuel des rejets de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, notre ‘’budget carbone’’ visant à limiter le réchauffement global à deux degrés d’ici la fin de ce siècle aura été épuisé dans moins de vingt ans ! Parmi les causes de réchauffement figurent en bonne place les émissions du trafic aérien mondial : l’aéronautique est ainsi responsable de 7,4% de l’empreinte carbone de la France (B&L Evolution, juillet 2020). La Convention Citoyenne pour le Climat ne s’y est pas trompée, lorsqu’elle a proposé l’arrêt de toute extension d’aéroport (proposition SD-E3).

Or des projets climaticides d’extension sont toujours portés par les autorités publiques, alors même que l’Etat français pourrait être reconnu coupable d’inaction climatique : ainsi le T4 de Roissy Charles de Gaulle, le T1 de Marseille Provence, et … le T2 de Nice Côte d’Azur.

A Nice, le Préfet des Alpes-Maritimes a ainsi signé le permis de construire de l’extension du T2 le 13 janvier 2020, en dépit des alertes citoyennes et associatives sur les impacts directs et indirects de ce projet visant l’augmentation de 50% du trafic passager entre 2019 et 2030 (soit plus de 7 millions de passagers supplémentaires chaque année). Ce même représentant de l’Etat a également ignoré les conclusions de l’enquête publique, à l’issue de laquelle 75% des avis exprimés étaient opposés au projet. Cet aveuglement interroge, surtout lorsque Christian Estrosi lui-même, maire de Nice et président de la Métropole Nice Côte d’Azur, a apporté son soutien au projet, tout en déclarant l’état d’urgence climatique, en adhérant au pacte finance-climat et en déclarant - en janvier 2021 - se fixer un objectif de réduction de -55% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (vs 1990).

Avec le soutien de Greenpeace Groupe local de Nice, Alternatiba 06 et ANV COP21 Nice, nous dénonçons cette incohérence, fondée sur une hypocrisie climatique hallucinante, à l’image de l’annonce de greenwashing d’un ‘’aéroport neutre en carbone’’, alors qu’il ne compense que 1% de ses émissions GES (décollages et atterrissages inclus). A l’image d’un maire se disant ‘’protecteur’’ de ses concitoyens, alors que la pollution atmosphérique tue prématurément 500 Niçois chaque année, et que l’aéroport urbain de Nice est un très important contributeur de polluants.

Afin de mettre un terme à cette déraison, qui consiste aujourd’hui à attendre impatiemment la reprise de l’activité aérienne pré-covid et le retour d’une croissance continue du trafic, des associations et des citoyens se sont levés pour tenter de faire annuler le permis de construire qu’ils jugent illégal. Deux associations locales – FNE06 et CAPRE06 – assistées du collectif citoyen 06, ont déposé un recours en annulation auprès des instances judiciaires administratives. L’affaire est en attente de jugement au Tribunal administratif de Marseille. Ces porteurs d’action étant bénévoles, ils proposent à leurs concitoyens de les soutenir financièrement afin de couvrir les frais de leur défense par le cabinet Huglo-Lepage à Paris. Vous pouvez les aider en participant au crowdfunding Helloasso : Un réel soutien pour le climat et l’avenir de nos enfants. Chaque euro compte ! Merci pour eux.

* (E) Pétition : Stop à l’incorporation obligatoire de nourriture dans les carburants !

50.762 signatures sur 100.000 lien pour signer

Aux gouvernements des États-Unis, de l’Union européenne et de ses pays membres, du Brésil, de l’Indonésie, de la Chine, du Canada, de la Malaisie et de l’Argentine. Madame, Monsieur, nous vous demandons de mettre immédiatement fin à l’obligation légale d’incorporation de biocarburants, produits à partir d’huiles végétales, de céréales et de plantes sucrières, au diesel et à l’essence.

Les Nations Unies (UN) mettent en garde contre une pénurie dramatique de denrées de base telles que les céréales et les huiles alimentaires, contre une nouvelle hausse importante des prix et même contre des famines sur fond d’émeutes. Dans ces conditions, mettre de la nourriture dans le réservoir des véhicules est totalement irresponsable.

Les biocarburants ne sont par ailleurs ni écologiques ni neutres pour le climat. La culture des matières premières nécessaires à leur fabrication nécessite d’immenses surfaces de terres ainsi que d’énormes quantités d’engrais, de pesticides et d’eau. Les monocultures stériles sont l’une des principales causes de l’extinction des espèces. Sous les tropiques, la culture de palmiers à huile, de soja et de canne à sucre pour les biocarburants exacerbe la déforestation. Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma haute considération.

* (C) Pétition : LES CP EN DANGER !

12.885 signatures sur 15.000 lien pour signer

La région et ses élus ne se préoccupent plus des voyageurs et du désenclavement des villages traversés par la ligne. Le conseil régional, après avoir supprimé le service 15/16 (Train 15 au départ de Nice vers Annot le samedi à 18h13 et le train 16 au départ d’Annot vers Nice le dimanche à 7h50), décide maintenant de supprimer le service 2/1 entre Annot et Digne (Train 2 au départ de Digne vers Annot à 7h10 et le train 1 au départ d’Annot vers Digne à 8h47). Cela fait 2 suppressions de services en 2 ans. A ce rythme-là dans 3 ans il n’y aura plus aucune circulation de trains sur notre ligne !

Ils veulent également modifier les horaires des gares de Digne-les-Bains, Saint-André-les-Alpes, Thorame-Haute et d’Entrevaux. Leurs moments d’ouvertures seront drastiquement réduits. Voilà le modèle 2022 du service public que veut mettre en place la région, sous prétexte d’économie et au détriment d’un service public digne de ce nom. Si nous laissons leur volonté devenir réalité il y aura moins de possibilités de déplacement, d’accueil, de renseignements et d’accompagnement en gare. Comme vous pouvez vous en douter, cela va créer un nombre important d’emplois en danger et d’usagers abandonnés dans leurs villages.

Leur justification pour la suppression de ces services, est que la fréquentation de ces trains ne serait pas assez importante. Mais que fait-on du service public ? La rentabilité doit-elle primer sur l’aménagement du territoire et la possibilité de déplacement offerte aux habitants des vallées desservies par les chemins de fer de Provence ? Les chiffres de la fréquentation pris en compte pour justifier cette décision sont dus à la crise sanitaire ainsi qu’à l’effondrement du tunnel de Moriez. Apparemment aucun de nos dirigeants n’a songé à prendre en compte les très bons chiffres de fréquentation que nous connaissions avant cette période.

Cela fait des mois voire des années que notre direction de concert avec la Région supprime des trains, ferme des gares sous prétexte du Covid, maladie, congés ou manque de matériel roulant. Le constat est simple : la mauvaise gestion et l’organisation catastrophique de nos dirigeants nuit au service public, aux usagers et aux cheminots. Aucun des délais annoncés sur de nombreux projets, n’est tenu, l’argent public est au mieux mal utilisé, au pire gaspillé. Les usagers et le personnel des CP subissent les conséquences désastreuses de l’incompétence de nos dirigeants.

A ce jour plus aucune date officielle n’est annoncée sur la réouverture du tunnel de Moriez, la réfection des gares, ainsi que sur l’arrivée du nouveau matériel roulant. Concernant le Tunnel, il y a urgence ! Il se dégrade de jour en jour. Y aurait-il une réelle volonté de le laisser dépérir et de laisser tomber la partie entre Digne-les-Bains et Saint-André-les-Alpes de notre ligne ? Vu les délais pour la réalisation des travaux et la réduction d’offre de transport envisagée, nous pouvons légitimement le penser.

Jusqu’où vont-ils aller ? Ne laissons pas faire ! Usagers et Cheminots mobilisons-nous ensemble, pour le maintien d’un réel service public de transport ferroviaire entre Nice et Digne-les-Bains ! Signez massivement la pétition à l’attention du Président de la Région, du vice-Président en charge des transports et de la mobilité durable, du Président de la Régie Régionale des Transport ainsi qu’à l’ensemble des conseillers régionaux.

Je veux garder mon train ! Je demande l’annulation de tout projet de suppression de train des Chemins de Fer de Provence particulièrement les trains 1 et 2 entre Digne et Annot ainsi que le rétablissement du service 15-16 entre Nice et Annot. Pour le maintien intégral et le développement des circulations ferroviaires entre Nice et Digne, je demande que soient réalisés en urgence les travaux pour la réouverture du tunnel de Moriez.

* (E) Pétition : Ne sacrifiez pas les forêts du Congo à l’industrie pétrolière

113.349 signatures sur 150.000 lien pour signer

À M. Félix Tshisekedi, Président de la République démocratique du Congo,
Monsieur le Président, nous vous demandons d’annuler la mise aux enchères de 16 blocs pétroliers programmée pour les 28 et 29 juillet. Il s’agit d’empêcher une catastrophe climatique et de protéger les droits des populations vulnérables qui vivent dans les zones ciblées pour l’exploration pétrolière. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Signez l’appel du peuple Ka’apor en Amazonie brésilienne

76.894 signatures sur 100.000 lien pour signer

Au gouvernement fédéral brésilien, au Ministère de la justice et au Ministère public fédéral, aux Gouvernement et Ministère public de l’État de Maranhāo et au Secrétariat à la sécurité publique

Madame, Monsieur,nous sommes consternés par la violence exercée à l’encontre des indigènes Ka’apor ainsi que par les attaques contre leur territoire ancestral Alto Turiaçu dans l’État de Maranhāo. Depuis 2013, deux villages ont été attaqués par des bûcherons et 60 personnes agressées. Depuis 2010, 18 indigènes ont été assassinés. Le 14 mai 2022, le leader indigène Sarapo Ka’apor est décédé subitement à l’âge de 45 ans dans des circonstances floues. Les indigènes craignent qu’il ait été empoisonné, car il était l’un des principaux défenseurs du territoire Alto Turiaçu.

Les habitants sont menacés, persécutés et assassinés parce qu’ils défendent leur territoire de 531.000 hectares et ses ressources contre les envahisseurs illégaux. Parmi eux, on trouve notamment des bûcherons, des orpailleurs, des sociétés minières, des spéculateurs fonciers, des éleveurs, des grands propriétaires terriens et des sociétés agricoles. Le territoire Alto Turiaçu abrite le dernier grand vestige de la forêt amazonienne dans l’État du Maranhão. Sa protection et sa conservation sont indispensables à la survie du peuple Ka’apor avec sa culture et d’une diversité biologique unique.

Nous soutenons les revendications du conseil indigène Ka’apor (TUXA TA PAME) auprès des autorités fédérales et locales compétentes, afin que des mesures immédiates soient prises pour la protection des personnes, de leur territoire et de leurs droits :
- L’exhumation de Sarapo Ka’apor et une enquête précise sur les causes de sa mort. S’il est conclu que sa mort a été causée par un tiers, il est nécessaire que le ou les auteurs soient identifiés et traduits devant les tribunaux.
- L’élucidation de tous les autres meurtres et agressions mentionnés ci-dessus, l’identification de leurs auteurs et l’engagement de poursuites judiciaires à leur encontre.
- La protection des habitants et du territoire autochtone Alto Turiaçu contre toute forme de violence, de persécution, de menace, d’intrusion illégale et de pillage des ressources.
- La reconnaissance de l’aire protégée des Ka’apor (IT Alto Turiaçu) en tant que municipalité, afin qu’elle puisse être soutenue par des mesures publiques dans les domaines de la santé, de l’éducation et de l’assista
Nous espérons recevoir une réponse écrite rapide de votre part concernant les mesures que vous comptez prendre. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre haute considération.

* (C) Pétition : STOP AU SECRET SUR LES EXPORTATIONS D’ARMES

2.773 signatures lien pour signer

Nous demandons au Président de la République et au ministre des Armées de mettre enfin en œuvre les recommandations du rapport d’information parlementaire sur le contrôle des exportations d’armement présenté le 18 novembre 2020 par M. Jacques MAIRE et Mme Michèle TABAROT.

Dans ce rapport, 35 propositions ont été faites à l’exécutif afin, notamment, de rendre plus transparente la communication du rapport annuel du gouvernement sur les exportations d’armements, et pour créer une « délégation parlementaire au contrôle des exportations d’armement et de biens à double usage » (propositions 30 à 33), ce qui avait été salué comme étant une réelle avancée par les ONG et associations spécialistes du sujet.

Depuis, rien n’a été fait pour mettre en œuvre ces propositions et recommandations. Le rapport reste désespérément lettre morte. À la veille de l’ouverture de la XVIe législature, les recommandations du rapport, notamment concernant la création d’une délégation parlementaire et concernant l’amélioration du rapport annuel sur les exportations d’armement, doivent être enfin mises en place !

La transparence doit enfin être faite dans le secteur bien trop secret des exportations d’armement. NON AU SALON MONDIAL DE L’ARMEMENT EUROSATORY

* (C) Pétition : Des trains de nuit pour connecter la péninsule ibérique et l’Europe centrale !

7.936 signatures sur 10.500 lien pour signer

Back-On-Track a lancé cette pétition adressée à gouvernement français et à 2 autres
En mars 2020, les derniers trains de nuit ont circulé entre Lisbonne, la capitale portugaise, Madrid, la capitale espagnole, et Hendaye, à la frontière française. En mai 2020, la compagnie espagnole Renfe a annoncé la fin de ces liaisons. Cette politique va à l’encontre de la tendance actuelle en Europe, où les trains de nuit connaissent un regain d’intérêt, avec la remise en place de nouvelles liaisons telles que Rome - Amsterdam, Vienne - Munich - Paris, Barcelone - Amsterdam, Berlin - Bruxelles - Paris. Le gouvernement allemand a proposé à l’automne 2020 une stratégie « TEE 2.0 » visant à reconstituer un vaste réseau de trains de jour et de nuit en Europe centrale en associant des opérateurs nationaux partenaires.

La disparition de ces liaisons pose de nombreux problèmes :
* cela va induire un report de trafic vers le transport aérien, qui constitue un important contributeur au changement climatique en accroissant le volume de gaz à effets de serre émis dans l’atmosphère ;
* cela va réduire en parallèle la palette de choix de mobilités pour les clients, les privant en particulier des alternatives les plus écologiques et confortables pour les longs trajets.

Pourquoi est-ce si important ? La relance des trains de nuit est avant tout motivée par l’urgence climatique qui impose d’agir rapidement. Nous déstabilisons l’équilibre physique de la planète à un rythme alarmant, c’est pourquoi il est nécessaire d’agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à très court-terme avant que les boucles de rétroaction ne rendent le dérèglement climatique incontrôlable. L’avion constitue l’un des modes de transport les plus populaires, mais apparaît également comme l’un des principaux coupables du changement climatique. On estime sa contribution à 5% environ du total des émissions, et sa part augmente très rapidement en raison de la croissance soutenue du trafic aérien. Les émissions du secteur aérien concernent le dioxyde de carbone (CO2), les oxydes d’azote (NOx), des particules ainsi que de la vapeur d’eau qui forme des traînées de condensation. Ces polluants affectent donc notre environnement dans son ensemble, mais sont également néfastes pour la santé des populations vivant à proximité des aéroports.

Avantages et importance des trains de nuit
* Respect du climat et de l’environnement - Le train est l’un des modes de transport les plus écologiques, puisqu’il émet peu de gaz à effet de serre. Cet avantage sera d’autant plus important que les pays opteront pour des sources d’énergie faiblement carbonées pour produire leur électricité. En Espagne, les chemins de fer sont alimentés intégralement par des énergies renouvelables certifiées, ce qui se traduit par des émissions pratiquement nulles. De plus, le train présente d’autres avantages environnementaux, tels que la réduction de la pollution sonore et la limitation de l’artificialisation de terres pour l’aménagement des aéroports.
* Confort - Bien qu’il ne soit pas toujours plus rapide que l’avion, son principal concurrent sur les déplacements long-courrier, le train propose un espace par passager plus important et constitue un moyen de transport plus confortable.
* Flexibilité - Le train convient à différents types de déplacements (loisirs, famille, affaires) et répond à un large éventail de besoins. Des jeunes qui voyagent au meilleur prix aux hommes d’affaires qui exigent un confort avec des cabines privées connectées, en passant par les familles qui peuvent réserver un compartiment couchette entier.
* Simplicité du voyage - Les trains de nuit permettent de s’épargner les pertes de temps et les inconvénients du voyage en avion : nécessité de se rendre à l’aéroport, souvent en dehors de la ville (ce qui ajoute du temps et des frais) ; nécessité d’enregistrer les bagages à l’avance ; temps d’attente des bagages à l’aéroport de destination. Avec les trains de nuit, vous pouvez arriver le matin directement au centre-ville, en évitant les embouteillages pour entrer dans la ville (si vous utilisez une navette ou une voiture). Cela peut permettre d’économiser une nuit d’hôtel et d’éviter les nuits raccourcies ou passées à l’hôtel près de l’aéroport lorsque les vols partent très tôt le matin (ce qui est très souvent le cas avec les offres low-cost).
* Portée - Le train de nuit permet de parcourir de plus longues distances que les trains à grande vitesse de jour.
* Expérience - C’est une façon unique et conviviale de voyager : les rencontres se font facilement et parler avec votre voisin de couchette devient très naturel. Cela permet de faire de nouvelles rencontres, ce qui n’arrive plus si souvent en avion, en bus ou même avec les trains de jour. C’est aussi un bon moyen de concilier des agendas contraints par le travail ou les études, et les longs trajets qui devraient sinon être réalisés en train de jour.
* Investissement dans les infrastructures - Contrairement aux trains à grande vitesse, les trains de nuit ne nécessitent pas d’investissements élevés dans de nouvelles infrastructures étant donné que le réseau existe déjà. Au contraire, il ne s’agit que d’investir dans du matériel roulant lorsque cela le nécessite (ce qui permet de réduire les coûts).
* Viabilité économique - Le train de nuit dispose d’une capacité d’emport importante et d’un taux de remplissage élevé. Il est donc économiquement viable, comme le prouvent les Chemins de fer fédéraux autrichiens (ÖBB, le principal opérateur ferroviaire autrichien), qui est l’une des rares compagnies à avoir renforcé son offre de trains de nuit « NightJet ».
Un document (en anglais) contenant des arguments et des explications supplémentaires est disponibleici.

Nous demandons aux gouvernements espagnol, français et portugais (ce dernier prenant actuellement la présidence du Conseil de l’UE, au premier semestre 2021 - Année européenne du rail) d’envisager non seulement de relancer la liaison ferroviaire de nuit Portugal-France, récemment interrompue, mais aussi de l’étendre jusqu’au principaux hubs ferroviaires européens, comme Paris (ou potentiellement Bruxelles), au lieu de se limiter à Hendaye, à la frontière franco-espagnole.

Nous demandons aux gouvernements espagnol et portugais d’exiger de leurs compagnies ferroviaires nationales de se joindre à la déclaration du 8 décembre 2020 conjointe de la SNCF (France), la DB (Allemagne), les ÖBB (Autriche) et les CFF (Suisse), en faveur de la constitution d’un nouveau réseau européen de trains de nuit.

En outre, nous demandons au gouvernement espagnol d’étudier de nouvelles liaisons ferroviaires de nuit entre la péninsule ibérique et le centre et l’est de l’Europe, notamment Barcelone-Francfort-Berlin et Barcelone-Milan-Rome.

* (C) Pétition : Paraguay- Priver le peuple Manjui de territoire, c’est l’anéantir !

83.335 signatures sur 100.000 lien pour signer

À M. Edgar Olmedo, Président de l’Institut paraguayen de l’Indigène (INDI)
Monsieur Olmedo, nous, signataires de cette pétition, demandons le transfert immédiat des 38 406 hectares de terres (finca 8525, padrón 3186) que l’État paraguayen a acquis en 1998, par l’intermédiaire de l’Institut paraguayen de l’Indigène (INDI), dans le seul but d’être remis à la communauté Manjui de Wonta - Santa Rosa. Nous demandons également une indemnisation pour les dommages environnementaux causés au cours des 23 dernières années par la destruction de cette partie essentielle de l’habitat du peuple Manjui.

Nous sommes extrêmement préoccupés par l’ampleur considérable des impacts négatifs et des dommages irréparables causés par l’exclusion des Manjui de leur territoire ancestral, par la destruction de leur habitat et, par conséquent, de leur développement démographique. Une grande partie des Manjui vivant à Wonta - Santa Rosa, la non-remise des terres qui dure depuis plus de deux décennies ne touche donc pas seulement la population de cette commune mais l’ensemble du peuple Manjui, qui risque de disparaître en tant que groupe ethnique.

Nous sommes extrêmement préoccupés par le fait que cette situation résulte de graves délits et crimes qui auraient été commis par des fonctionnaires à l’intérieur et à l’extérieur de l’institution compétente, l’INDI. Cette situation a épuisé la patience non seulement des indigènes concernés mais aussi de toute la société civile, d’autant plus que ces faits ont été dénoncés publiquement par un média de masse dès décembre 2010, soit environ 12 ans après l’attribution des titres de propriété des terres susmentionnées. Cependant, l’INDI a continué à commettre des crimes et des délits contre les droits territoriaux de ce peuple autochtone pendant encore 11 ans après ces dénonciations.

L’institution dont vous avez la charge est la principale responsable de cette situation très grave, car elle a entravé le développement des pratiques culturelles, économiques et de subsistance des Manjui 23 années durant, avec des conséquences sur la santé physique et mentale des personnes. L’INDI, en tant qu’organisme responsable du bien-être des populations indigènes, doit prendre des mesures de précaution immédiates et intégrales afin de mettre un terme aux processus destructeurs qui, dans ce territoire autochtone traditionnel, aboutissent à une forme de nettoyage ethnique. La souffrance des habitants de Wonta - Santa Rosa et du peuple Manjui doit cesser.

Veuillez nous informer dans les meilleurs délais des mesures que vous comptez prendre pour remédier à la situation décrite ci-dessus, ainsi que des dates de leur entrée en vigueur. Nous vous prions d’agréer, Monsieur Olmedo, l’expression de notre considération la plus distinguée.

* (E) Pétition : Terrain de moto cross en zone naturelle

1.006 signatures sur 1.500 lien pour signer

L’Association REN a lancé cette pétition à Monsieur Bernard Gonzalez, préfet des Alpes-Maritimes.
Un collectif d’habitants de La Brigue souhaite attirer votre attention sur l’aménagement d’un terrain de moto-cross dans le vallon du Rio Secco. Cette décision de la mairie soulève de nombreux questionnements :
1- Y-a-t-il eu une concertation publique ?
2- Est-elle validée par les services de l’État ?
3- Une étude d’impact environnemental a-t-elle été réalisée ?
4- Les espèces endémiques protégées ont-elles été prises en compte ?

Mais aussi de nombreuses inquiétudes :
1- Sécurité : pour se rendre sur le terrain de moto-cross, les dites motos devront traverser le village, la place du marché et le parking des HLM.
2- Nuisances sonores : Proche du village, les habitant(e)s seront directement impacté(e)s dans leur quotidien.
3- Economie : le tourisme vert a le vent en poupe, les touristes viennent à La Brigue pour profiter de la nature et du calme. Les nuisances sonores et l’impact sur la qualité de l’air risquent tout simplement de les faire fuir !
4- Environnement : notre priorité n’est-elle pas de protéger la faune et la flore du Rio Secco, déjà bien mises à mal par la tempête Alex ?

Proposition : Re-créer le parcours de santé pédestre emporté par la tempête et le parcours de cross pour vélo :
- Sachant que notre vallée promeut l’utilisation du vélo.
- Sachant qu’un parcours pour moto-cross de 16 km est en cours d’aménagement sur la commune de Tende, que de nombreuses pistes, déjà, sont ouvertes à la circulation des véhicules motorisées.
- Sachant que le slow tourisme est l’avenir économique de notre vallée.
- Sachant qu’il fait bon vivre à La Brigue et que nous souhaiterions que cela continue !

La population de la Roya se mobilise contre ce projet, une pétition est en cours et nous avons alerté l’OFB qui s’est saisi du dossier. En attendant votre réponse, nous vous adressons, Monsieur le préfet, l’expression de nos salutations distinguées.
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* (C) Pétition : Dernier espoir pour l’action climatique en Europe

62.821 signatures sur 75.000 lien pour signer

A l’Union Européenne et aux chef·fes de gouvernements européens
Nous subissons de violents incendies de forêt et des vagues de chaleur mortelles parce que nos dirigeant·e·s ne se mobilisent pas assez contre le changement climatique. Vous devez agir de toute urgence afin de réduire les émissions qui contribuent au réchauffement de la planète, et empêcher la survenue des pires scénarios que nous prédisent les experts du climat.

Cet été, nous faisons face en temps réel aux véritables conséquences du changement climatique : la France, l’Espagne et le Portugal sont en flammes. Les températures record enregistrées, jusqu’à 45 degrés Celsius, n’ont rien de normal. Ces événements ont lieu parce que nos gouvernements n’en font pas assez pour lutter contre le changement climatique.

A travers l’Europe, les autorités luttent afin de maîtriser des incendies gigantesques. Jusqu’à présent, ce sont plus de mille décès qui ont été attribués à la vague de chaleur au Portugal et en Espagne, en une seule semaine [1]. Depuis le mois de mai, l’Europe se classe parmi les principaux « points chauds » du globe, et les prévisions ne laissent entrevoir aucune amélioration à court terme. La vague de chaleur s’étend même, désormais, au nord du continent et jusqu’au Royaume-Uni, qui a enregistré pour la première fois de son histoire une température de 40 degrés [2].

Nos forêts constituent une ligne de défense clé contre le changement climatique : à ce titre, les dirigeants européens et mondiaux doivent impérativement les protéger. Nous devons faire de ce sujet une urgence absolue et pousser nos gouvernements à passer à l’action maintenant. Si nous agissons maintenant, il est encore possible d’atténuer les effets du changement climatique, pour permettre au monde d’échapper aux scénarios climatiques les plus dévastateurs [3].

Références :

[1] https://www.swissinfo.ch/eng/-climate-change-affects-everyone---europe-battles-wildfires-in-intense-heat/47759550 (en anglais)
[2] https://www.nytimes.com/live/2022/07/19/world/uk-europe-heat-fires-weather(en anglais)
[3] https://www.greenpeace.org/aotearoa/story/global-heatwaves (en anglais)

* (E) Pétition : M. Bertrand, mes impôts ne doivent pas financer votre combat contre le climat !

5.687 signatures lien pour signer

Auteur(s) :Les écologistes - Hauts-de-France
Destinataire(s) : Xavier Bertrand et le Conseil régional Hauts-de-France
La crise climatique nous menace. Les prix de l’électricité explosent. Notre dépendance énergétique aux puissances étrangères nous fragilise sur le plan diplomatique. Mais notre mix énergétique reste dépendant des énergies fossiles ! Pour répondre à ces défis et se conformer aux exigences de la Loi climat énergie, il nous faut augmenter notre production d’énergies renouvelables. Mais Xavier Bertrand et sa majorité nous enferment dans l’inaction climatique et viennent de franchir une nouvelle étape dans leur obsession contre les énergies renouvelables.

Xavier Bertrand projette en effet de subventionner avec l’argent de la région, et donc indirectement de ses habitant.e.s, une association anti-éolienne ne cachant pas son climato-scepticisme. 170 000 euros pour aider une association qui lutte contre les énergies renouvelables. 170 000 euros pour aider à la désinformation de la population de la région. S’il faut reconnaître que le déploiement du parc éolien dans notre région ne s’est pas déroulé de façon optimale, oubliant trop souvent la parole de ses habitant.e.s, nous ne pouvons cautionner un tel retour en arrière.

Nous exigeons le retrait de cette délibération afin que l’argent public régional ne soit pas utilisé pour financer une association climaticide. Nous soutenons par ailleurs la mise en œuvre de tous les moyens juridiques nécessaires à la suspension de cette délibération. Pour nous soutenir, signez la pétition : sauvons notre région des attaques insensées de Xavier Bertrand envers l’éolien.

* (C) Pétition - El Salvador : exigez la fin de l’état d’urgence liberticide

7.017 signatures sur 15.000 lien pour signer

À l’attention du président salvadorien Nayib Bukele, monsieur le Président,
Je vous écris pour vous faire part de mon horreur face à la crise des droits humains qui sévit au Salvador.Selon une enquête d’Amnesty International, les autorités procèdent à de nombreuses détentions arbitraires de personnes sans respecter les exigences légales - mandats d’arrêt ou flagrants délits - et poursuivent pénalement des milliers de personnes sans garanties de procédure, sans défense juridique efficace et sans respect de la présomption d’innocence.

Les détenus, y compris les moins de 18 ans, sont soumis à des conditions de détention inhumaines, et des cas de mauvais traitements et de torture ont été signalés.Au moins 23 décès de personnes détenues par l’État ont été enregistrés, et ce chiffre augmente rapidement. Les familles reçoivent peu d’informations sur le lieu de détention et le bien-être de leurs proches. Je vous demande instamment de prendre des mesures immédiates pour rétablir les garanties en matière de droits humains au Salvador. En particulier, je vous demande de :

> Mettre fin à l’état d’urgence et mettre en œuvre une politique de sécurité véritablement exhaustive, axée sur la protection des droits humains de tous et garantissant la participation de la société civile.

> Veiller à ce que les forces de sécurité mettent fin aux détentions arbitraires et garantissent la libération des personnes détenues illégalement.

> Garantir le droit de toutes les personnes détenues à une procédure judiciaire équitable et au respect de leur intégrité personnelle, sans discrimination.

> Garantir le droit des familles des détenu.es à être informées de l’endroit où ils se trouvent et de leur bien-être.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma très haute considération.

* (C) Pétition : Turquie : libérez les accusés du procès du parc de Gezi

7.943 signatures sur 15.000 lien pour signer

À l’attention de Monsieur le Procureur général Metin Sarıhan Cumhuriyet Başsavcısı
Monsieur le Procureur général,je vous écris pour vous faire part de mon inquiétude quant à la situation d’Osman Kavala, Mücella Yapıcı, Çiğdem Mater, Mine Özerden, Can Atalay, Tayfun Kahraman et Hakan Altınay, condamné.e.s le 25 avril 2022 dans le cadre de l’affaire dite du « procès de Gezi ». Osman Kavala a passé plus de quatre ans et six mois en détention provisoire. Lors du prononcé des déclarations de culpabilité, le tribunal a également ordonné l’incarcération de six de ses coaccusé·e·s. Un mandat d’arrêt a été décerné contre Yiğit Ali Ekmekçi, le huitième accusé.

Osman Kavala a été condamné à une peine de réclusion à perpétuité aggravée pour « tentative de renversement du gouvernement », mais il a été acquitté du chef d’« espionnage politique et militaire » pour lequel il était maintenu en détention provisoire depuis le mois de février 2020. Cet acquittement était motivé par un « manque de preuves » - or, comme ses sept coaccusé·e·s, Osman Kavala avait déjà été mis hors de cause lors du premier procès. Les sept autres accusé·e·s ont été déclarés coupables de complicité avec Osman Kavala, et ont été condamnés à 18 ans de réclusion chacun. La Cour a ordonné leur incarcération immédiate, au motif qu’ils risquaient de s’enfuir.

Lors du premier comme du second procès, les autorités de poursuite n’ont présenté aucun élément permettant de prouver que les accusé·e·s étaient coupables des faits qui leur étaient reprochés, ce qui a été reconnu lors du jugement par l’un des trois juges, qui a déclaré dans une opinion dissidente : « étant donné qu’il n’existe aucun élément concret, certain et crédible qui prouverait leur culpabilité au-delà de tout doute raisonnable, le tribunal devrait se prononcer en faveur de l’acquittement des accusés ». Dès lors, je vous prie :
> d’apporter votre soutien aux demandes de libération de ces sept accusés en attendant leur procès en appel
> de ne vous opposer à aucune de ces demandes

Veuillez agréer, Monsieur le Procureur général, l’expression de ma haute considération

* (E) Pétition : Exiger un meilleur avenir pour les poissons

76.437 signatures sur 100.000 lien pour signer

A la Commission Européenne
Nous vous demandons de mettre en place une législation européenne complète concernant tous les aspects de la pisciculture, afin de garantir le bien-être des poissons pendant l’élevage, le transport et l’abattage. Cela consiste à :
- Détailler les exigences générales en matière d’élevage et de transport, afin de prendre en compte tous les poissons d’élevage, y compris les exigences spécifiques aux espèces.
- Veiller à ce que tous les poissons d’élevage soient mis à mort selon des méthodes d’abattage sans cruauté.
- Fournir les méthodes autorisées d’étourdissement et d’abattage adaptées à chaque espèce.
- Interdire les méthodes d’abattage dont on sait qu’elles sont source de souffrance pour toutes les espèces.

* (C) Pétition : NON A LA DESTRUCTION DU CHÂTEAU LIXON DE LOUVROIL

39.673 signatures sur 50.000 lien pour signer

Romain VITRAND, conseiller municipal, a lancé cette pétition adressée à Giuseppe Ascone,Maire de Louvroil.
Nous demandons au maire de Louvroil, d’annuler le permis de démolition, et de construction, pour la destruction du Château Lixon et la reconstruction d’un nouvel Aldi. Il faut garder Notre patrimoine Culturel.Il faut réfléchir à un projet pour l’avenir du Château.
Le Maire sait depuis 2 ans qu’Aldi veut racheter, le Château et n’a rien fait.Nous ne sommes pas pour que Aldi quitte Louvroil, mais qu’il s’installe à un autre endroit. D’autres terrains sont disponible à Louvroil. S’aplatir devant une multinationale n’est bon pour personne.

* (C) Pétition : L’argent existe. Débloquons-le

16.717 signatures sur 20.000 lien pour signer

Notre addiction au pétrole et au gaz nous conduit à notre propre perte. Elle finance les armées de Poutine, fait flamber les prix comme jamais auparavant et alimente la crise climatique. Mais nous pouvons y mettre un terme en isolant les millions de passoires énergétiques dans lesquelles nous vivons et travaillons. Ce procédé est simple comme bonjour et réduira considérablement nos factures et nos émissions de carbone et nous permettra de nous libérer du joug du pétrole et du gaz de dictateurs.

Le budget est là, l’UE et les banques centrales peuvent débloquer ce soutien financier pour enclencher cette vague de rénovations. Et les pays européens, comme la France, l’Italie ou l’Espagne, peuvent faire pencher la balance. Ensemble, rejoignez les experts, les associations et les personnes comme vous et moi, qui s’unissent à travers l’Europe pour faire pression sur les gouvernements européens et l’UE afin de débloquer les fonds pour rénover nos maisons MAINTENANT — une action nécessaire pour la planète et notre portefeuille : Dites au gouvernement Macron et au Gouverneur de la Banque de France de débloquer les financements nécessaires à la rénovation énergétique de nos logements !

En France, nos logements représentent 45% de la consommation d’énergie nationale et 19% des émissions de gaz à effet de serre. Chaque hiver, des millions de Français se retrouvent confrontés à un choix entre se chauffer ou se nourrir. Et cette année, partout en France, les familles font face à une hausse vertigineuse du coût de la vie, aggravée par l’augmentation des prix de l’énergie et le conflit en Ukraine. Le prochain hiver sera pire. Vladimir Poutine a refermé le piège énergétique que nos États se sont tendus à eux-mêmes.

Chaque jour, l’Europe importe du gaz russe pour une valeur estimée à 660 millions d’euros. La France est encore très dépendante de ses importations de gaz russe. Mais en guise de solution, l’Europe augmente ses approvisionnements en provenance d’autres pays comme l’Arabie Saoudite et le Venezuela - ce qui n’est pas franchement mieux.

Le droit fondamental à un logement abordable, sûr et chaud ne doit pas être soumis aux caprices des dictateurs et des dirigeants d’entreprises milliardaires de combustibles fossiles. Les énergies fossiles ne sont pas une solution à court ou à long terme. Signez la pétition et demandez que les fonds soient débloqués pour diviser nos factures et rendre nos maisons plus écologiques.

Avec les ONG partenaires Positive Money EU et Sunrise Project, nous demandons au gouvernement français et à la Banque de France, de renforcer les programmes de subventions, les aides et les dispositifs d’incitation à la rénovation des logements. Ce n’est qu’à cette condition que tous les ménages, quels que soient leurs revenus, pourront rénover entièrement leur logement et vivre dignement sans surchauffer dangereusement la planète.

L’argent est là, notre mission est de nous assurer qu’il soit investi dans des solutions justes et durables pour les personnes et la planète – et non pour continuer à remplir les poches des milliardaires des énergies fossiles ou de dictateurs. Rejoignez le mouvement !

* (E) Pétition:Appel pour la protection de l’île de Groix et de ses pollinisateurs

103.538 signatures sur 200.000 lien pour signer

Pétition au Ministre de l’Agriculture et au Ministre de la Transition écologique
Alors que, partout en France, les écotypes locaux d’abeilles à miel (Apis mellifera mellifera) présentes depuis un million d’années sur le territoire, adaptées à la flore et aux conditions locales, et possédant d’extraordinaires capacités d’adaptation aux maladies, sont menacées de disparition par les pratiques plus intensives de l’agriculture et de l’apiculture, sur l’île de Groix des apiculteurs et des scientifiques tentent d’étudier et de préserver ce patrimoine naturel commun irremplaçable. Pourtant, leur travail est chaque jour menacé et pourrait être réduit à néant faute de protection juridique adéquate.
Afin de soutenir leurs efforts et faire de Groix un havre de paix pour l’abeille noire locale et tous les insectes pollinisateurs, je vous demande la mise en place :
➔ d’une législation forte, qui encadre fermement toute importation sur l’île d’abeilles et de matériel apicole, et proscrive toute pratique d’élevage intensif, comme l’insémination artificielle des reines, la manipulation génétique ou la sélection artificielle des colonies d’abeilles ;
➔ d’un comité scientifique de naturalistes conseil pour tous les apiculteurs îliens, et garant de la préservation des abeilles locales et de tous les insectes pollinisateurs présents sur l’île ;
➔ de sanctions dissuasives pour ceux qui ne respecteraient pas ces règles, et les moyens pour les autorités locales de les faire appliquer, pour rendre possible et durable la protection des précieux insectes pollinisateurs de Groix et de toute la biodiversité florale et animale qui en dépend.

* (E) Pétition : Opposez-vous à l’exploitation minière en eaux profondes !

83.697 signatures sur 100.000 lien pour signer

Des fonds marins labourés, des espèces marines et des écosystèmes fantastiques menacés, le dérèglement du climat encore aggravé… … c’est la menace qui plane sur nos écosystèmes si l’extraction minière en eaux profondes est autorisée. Plus de 600 scientifiques et de nombreux États se sont déclarés contre, mais pas la France : Emmanuel Macron est favorable à cette industrie pourtant destructrice pour la vie marine comme pour le climat. Heureusement nous pouvons encore agir, mais le temps presse : dès 2023, l’extraction de minerais en haute mer pourrait être autorisée, et les chantiers risquent ensuite de se multiplier au fond de l’océan. Nous avons besoin de vous pour que cela n’existe jamais !

* (E) Pétition : Le braconnage de l’aigle de Bonelli

36.971 signatures sur 50.000 lien pour signer

Pétition adressée à : Au gouvernement d’Emmanuel Macron et à la Ministre de la Transition écologique, Amélie de Montchalin.Mettez fin au braconnage de l’aigle de Bonelli !
42 couples seulement. C’est tout ce qu’il reste de l’aigle de Bonelli en France. Élégant et silencieux, cet aigle majestueux à l’allure princière pourrait réaliser l’un de ses derniers vols au-dessus de la Méditerranée au moment où vous lisez ces lignes. Des scientifiques et des associations luttent pour préserver l’aigle de Bonelli et faire croître sa population. Parmi ses plus grandes menaces, les chasseurs et les braconniers qui n’hésitent pas à le cribler de plomb par simple loisir.

Le premier quinquennat d’Emmanuel Macron à tout fait pour les chasseurs, tant et si bien que le président de la fédération nationale des chasseurs a appelé à voter pour le président sortant dès le premier tour de l’élection présidentielle. Mais tout cela doit cesser. L’aigle de Bonelli est devenu une des espèces les plus en danger de France, rejoignant la longue liste des espèces menacées par le braconnage, comme le lynx boréal. Ces espèces doivent être protégées par les pouvoirs publics

Les chasseurs prétendent que l’abattage de l’aigle de Bonelli est accidentel, qu’il est confondu avec d’autres espèces d’oiseaux. Mais comment confondre un aigle majestueux, qui peut atteindre jusqu’à 1,70 mètre d’envergure, avec une perdrix ou un canard ?

Une autre hypothèse est bien plus probable : les chasseurs cherchent à éliminer un concurrent. Car l’aigle de Bonelli s’attaque aux appâts que les chasseurs placent pour attirer leurs proies. C’est l’hypothèse des associations et des scientifiques qui retrouvent régulièrement ces pauvres aigles criblés d’une centaine de plombs : un acharnement morbide. Les aigles de Bonelli sont également victimes d’empoisonnement, volontaire et même involontaire, par des individus qui souhaitent se débarrasser de nuisibles.

Le manque de volonté politique pour réguler les activités de chasse et sanctionner les braconniers est flagrant. Mais, ensemble, nous pouvons agir pour sauver cette espèce menacée. Votre mobilisation massive peut forcer le gouvernement Macron, en pleine campagne pour les législatives, à promettre plus de fermeté envers les chasseurs.

Les membres de SumOfUs avez déjà contribué à protéger la vie sauvage par le passé. En Europe, en Asie, en Afrique et en Amérique Latine, vous vous mobilisez déjà avec courage pour faire face aux entreprises qui menacent les jaguars, les orangs-outans, les lynx et les éléphants. Si vous et d’autres membres de SumOfUs vous mobilisez pour l’aigle de Bonelli, nous pouvons attirer l’attention du gouvernement français sur l’urgence que représente la protection de ce symbole de la Méditerranée et, par la même occasion, sur la protection de la faune Française dans son ensemble.

Dites au gouvernement d’Emmanuel Macron et à la Ministre Amélie de Montchalin de protéger la faune française des braconniers sans scrupules.

* (E) Pétition : Stop à la répression sanglante des manifestations en Iran !

12.540 signatures sur 20.000 lien pour signer

ACTION TERMINEE
À l’attention de la Ministre des Affaires étrangères, Hadja Lahbib. Madame la Ministre,
Le 13 septembre 2022, Mahsa Amini, une femme kurde iranienne, a été arrêtée à Téhéran par la police dite “des moeurs". Des témoins ont déclaré l’avoir vue être violemment battue dans un fourgon de police. Quelques heures plus tard, elle a été transportée à l’hôpital dans le coma, et trois jours plus tard, la jeune femme de 22 ans est décédée.

La police “des moeurs" soumet régulièrement des femmes et des jeunes filles à des détentions arbitraires, à la torture et à d’autres mauvais traitements pour ne pas avoir respecté les lois iraniennes sur le port obligatoire du voile, qui sont abusives, dégradantes et discriminatoires. La mort de Mahsa a suscité de vastes protestations dans tout le pays.

Ces manifestations ont fait l’objet d’une répression meurtrière. Les forces de sécurité ont fait un usage illégal de la force à plusieurs reprises. Elles ont tiré à bout portant des balles réelles et des plombs sur les manifestant·es, utilisé à mauvais escient des gaz lacrymogènes et des canons à eau, et frappé violemment des personnes avec des matraques.

Depuis la mort de Mahsa, Amnesty International a enregistré la mort de dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants. Des centaines d’autres personnes ont subi des blessures douloureuses et graves, dont au moins deux qui ont perdu un ou deux yeux. La plupart ne cherchent pas à se faire soigner à l’hôpital par peur d’être arrêtées, ce qui augmente le risque d’infection et d’autres complications médicales. Les autorités iraniennes ont fermé Internet pour cacher leurs crimes. En ce moment, l’Iran traverse une crise d’impunité, qui a encouragé les autorités iraniennes à tuer des centaines de manifestant·es et d’en torturer et maltraiter des milliers d’autres ces dernières années sans en craindre les conséquences.

La Belgique doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour s’attaquer à la crise de l’impunité pour les crimes du droit international et les autres violations graves des droits humains commises en Iran, notamment en soutenant activement un mécanisme des Nations unies indépendant et chargé d’enquêter sur les violations des droits humains ainsi que de veiller à ce que les responsables de ces violations répondent de leurs actes. Je vous prie d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de ma haute considération