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SIGNEZ ET DIFFUSEZ

Pétitions AID 2022-26

Période jusqu’au samedi 14 Janvier 2023

samedi 31 décembre 2022, par JMT

Nous vous suggérons de suivre :

a) les pétitions du site CYBERACTEURS avec qui nous sommes en contact depuis plus de 21 ans, pour adhérer ou faire un don .

b) les pétitions du site AVAAZ qui à l’usage s’est avéré plus ouvert que ne le laissaient supposer ses bailleurs de fonds US initiaux. Allez sur les sites et inscrivez-vous pour signer plus facilement les pétitions quand vous en recevez l’avis directement par mél

c) les autres textes à signer particulièrement recommandés se trouvent ci-après

* SOMMAIRE

- AID et RET pour le HOBBIT BAR

- Les pétitions nouvelles

- Collectes de dons (soutenues par AID)

- Initiatives Citoyennes Européennes

- Les pétitions en cours

- Les pétitions stagnantes

- Les pétitions vouées à disparaître

- Les pétitions fermées

* AID et RET pour le HOBBIT BAR de Vintimille

DERNIERE HEURE :

* Gabriele Bassi du Gruppo Mission Parma a parlé de Delia au mois le 1er Août 2022 , c’est ICI

* Notre amie Delia jointe le 25 Novembre 2022 par téléphone nous a parlé de son activité caritative directement avec les migrantes avec enfants et de ses déboires avec des migrants indélicats qu’elle logeait . Voir ICI

PRECEDEMMENT :

* Voir l’article : Les migrants en Italie sont confrontés à une recrudescence d’hostilité avec les élections Par Angela Giuffrida, traduction par Jocelyne Boulicaut. Cet article nous a été signalé par Sharon Ciaramitaro.

* Notre amie Delia jointe le 28 Juillet 2022 par téléphone nous informe que sa santé est toujours précaire et qu’elle doit subir encore trois gros examens de contrôle avant de décider si les médecins l’autorisent à reprendre le travail. Elle a trouvé un nouveau local pour le nouveau Hobbit Bar mais elle ne veut pas le lancer tant qu’elle n’est pas sûre de pouvoir le faire tourner. En attendant depuis avril, elle accueille à son domicile des femmes migrantes de passage avec enfants et participe aussi à des distributions de nourriture. Nous continuons donc à l’aider financièrement chaque mois.

* Notre amie Delia nous a téléphoné le 14 Mai pour annoncer quelle allait envoyer les documents d’une nouvelle structure, associative cette fois qui remplacera le Hobbit Bar.

* Notre amie Delia jointe le 27 Mars 2022 par téléphone nous informe que sa santé se rétablit avec retard. Elle attend des fonds pour ré-ouvrir un nouveau Hobbit Bar car pour l’instant elle n’a eu aucune aide officielle de celles auxquelles elle peut prétendre, tant personnellement puisqu’elle n’a plus de revenu, que pour l’ancien Hobbit Bar. Nous avons décidé de continuer à la soutenir de la même manière.

Notre amie Delia jointe le 18 Décembre 2021 par téléphone annonce qu’elle ferme le Hobbit Bar dans son emplacement actuel car :

a) les frais fixes sont trop importants, vu la surface, pour le faible chiffre d’affaires qu’elle en tire.

b) du fait de la pandémie de la covid-19 et de l’instauration du "Green pass" dont la plupart des migrants sont dépourvus, la fréquentation est devenue encore plus faible.

c) Delia a quelques soucis de santé qui ont justifié une opération en Octobre et une nouvelle est programmée en Janvier 2022 qui la rendra indisponible pour convalescence en Février

Mais la bonne nouvelle est que le Hobbit Bar renaîtra en plus petit dans un nouveau local

Nous continuerons à l’accompagner et tous les coups de main sont les bienvenus.

Donc si vous êtes imposables en France, AID vous propose de faire un virement sur le compte bancaire de l’Association Roya en Transition, de Tende, avec un mel à son trésorier pour le reçu-don
IBAN : FR76 1910 6006 2543 6820 5923 148 BIC : AGRIFRPP891 .
Nous avons le plaisir d’annoncer que grâce à la générosité de quelques donateurs, nous avons déjà pu assurer 1000€ par mois d’Août 2020 à Décembre 2022 inclus, plus 1000€ pour les dépenses supplémentaires induites par la crue du 2 Octobre 2020

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Le cyclone du 2 Octobre 2020 qui a dévasté la Roya a également inondé la ville basse de Vintimille jusqu’à côté du Hobbit et a chassé les migrants des bords du fleuve et de la plage de l’embouchure où ils avaient leurs précaires refuges et leurs maigres biens. Certaines maraudes ne viennent plus ou difficilement et le Hobbit est d’autant plus indispensable. Nous ne pouvons être insensibles à la détresse des migrants, dont certains viennent d’Afrique de l’ouest, qui se retrouvent à Vintimille, tentant de franchir la frontière française à une dizaine de kilomètres d’où ils sont durement refoulés et renvoyés en centre ville de Vintimille.

La sortie du confinement de la covid-19 des deux côtés de la frontière a rejeté sur les routes des migrants présents en Italie qui cherchent toujours à gagner la France pour aller en Allemagne et surtout au Royaume-Uni. Les associations qui oeuvrent à la frontière annoncent une recrudescence du nombre des migrants et une arrivée majoritaire de migrants issus des Balkans. Et le reconfinement a désorganisé plus encore . A Vintimille, il n’existe plus guère qu’un lieu accueillant, notamment pour les femmes et enfants, le bar Le Hobbit situé près de la gare ferroviaire par où souvent les migrants arrivent, bar tenu par Delia Buonomo, surnommée par eux "Mama Africa"..

Boycotté par les clients de Vintimille, le bar ne tourne plus que par les migrants et par les militants associatifs qui y vont chaque fois qu’ils le peuvent. Cela ne couvre malheureusement plus les frais fixes et il faut donc trouver 2000€ par mois. Le challenge minimal pour nous est d’amener mensuellement 1000€ (en espérant que le reste sera apporté directement par les donateurs , italiens mais aussi allemands, qui l’ont alimenté la première année). Le crowdfunding qui a servi pendant 730 jours étant fermé, nous virons désormais directement notre collecte sur le compte bancaire du bar.
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* (C) Pétition : Libérez immédiatement Olivier Vandecasteele

37.997 signatures sur 50.000 lien pour signer

À l’attention du Chef du pouvoir judiciaire, Gholam-Hossein Mohseni-Eje’i, Votre Excellence, je suis profondément préoccupé par la détention arbitraire d’Olivier Vandecasteele et par les informations faisant état de sa condamnation à 28 ans d’emprisonnement.

Olivier Vandecasteele est un travailleur humanitaire de 41 ans qui a été arrêté arbitrairement le 24 février 2022. Jusqu’en août 2022, il a été détenu à la prison d’Evin où il a été soumis à des traitements assimilables à la torture et à d’autres mauvais traitements. En août, Vandecasteele a été déplacé vers un lieu inconnu dans des conditions assimilables à une disparition forcée.

Je demande à Votre Excellence de libérer immédiatement Olivier Vandecasteele. En attendant sa libération, les autorités iraniennes doivent le protéger contre d’autres actes de torture et d’autres mauvais traitements, veiller à ce qu’il puisse téléphoner régulièrement à sa famille, recevoir des soins médicaux adéquats, bénéficier d’un avocat de son choix et bénéficier d’une assistance consulaire librement menée par les autorités belges.

* (C) Pétition : États-Unis, le droit à l’avortement est un droit humain, protégez-le !

14.263 signatures sur 20.000 lien pour signer

À l’attention des gouverneur·es des États-Unis

Cher·e Gouverneur·e, je vous écris car je suis extrêmement préoccupé par les menaces qui pèsent sur le droit à l’avortement dans votre État. Suite à la décision récente de la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Roe v. Wade, le droit à l’avortement aux États-Unis risque de disparaître.

C’est maintenant aux États de décider de protéger ou non le droit à l’avortement. Sans une action rapide et significative de votre part et de la part de la législature de votre État, les habitant·es de votre État risquent de perdre la liberté de décider de ce qu’il advient de leur propre corps.

Je vous demande de travailler avec l’organe législatif de votre État pour promouvoir une législation qui protégerait pleinement le droit à l’avortement, et de soutenir toute législation qui protègerait un large éventail de droits reproductifs pour vos électeur·rices, tels que l’accès au contrôle des naissances et aux services complets de planification familiale.

Je vous demande également d’opposer votre veto à toute législation qui restreindrait de quelque manière que ce soit la capacité des personnes à recevoir des soins de santé liés à l’avortement, y compris des lois qui imposeraient des limites de gestation extrêmes, interdiraient l’accès à l’avortement médicamenteux ou imposeraient des restrictions inutiles aux professionnel·les pratiquant l’avortement.

Ne vous y trompez pas : le monde entier a les yeux rivés sur les États-Unis, ainsi que sur vos actions et celles que tou·tes les autres gouverneur·es des États-Unis prendront au sujet du droit à l’avortement. Je vous demande de défendre les droits humains dans votre État et de protéger le droit à l’avortement et aux autres services essentiels de santé sexuelle et reproductive. Sincères salutations,
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* COLLECTES SOUTENUES PAR AID

* Crowdfunding de Roya Expansion Nature (REN)

Atteinte à la biodiversité dans le Rio Secco à La Brigue

La municipalité de La Brigue a validé un projet de parcours de motocross dans le vallon du Rio secco. L’association REN conteste ce choix parce qu’il porte atteinte à la biodiversité et parce qu’il comprend des travaux de défrichement entrepris en dehors de tout cadre légal. Nous avons déposé deux recours auprès du Tribunal administratif de Nice et obtenu en premier lieu la désignation d’un expert dont le rapport conclut à l’évidence d’un abattage massif (le rapport est en ligne ici).

Mais par la suite, le Tribunal a rejeté notre demande d’annulation des travaux , à notre avis sans prendre en compte les conclusions de l’expert (la décision est en ligne ici).

Nous faisons appel à votre don, parce que devons payer la facture de l’expert d’un montant de 4754 € et que nous comptons poursuivre la contestation du projet devant la justice.

Durée 161 jours Montant attendu : 8.000€ Dons directement défiscalisables à 66% si vous êtes imposables à l’impôt sur le revenu de l’année du don.

Au 31 décembre 2022, 2930€ récoltés sur le crowdfunding (plus trois virements directs de 1000€ chacun à REN), 120 jours restants.

L’avocat de REN a déposé auprès du Conseil d’Etat un mémoire provisoire en cassation de la décision du tribunal administratif, mémoire qui a été complété le 29/11

* Soutenir la Grèce

*Le 12/11/2022 à 00:39, Yannis Youlountas a écrit : LIVRAISON DES LIEUX SOLIDAIRES AUTOGÉRÉS AVEC LE SOUTIEN DES PAYSANS CRÉTOIS EN LUTTES

Ce soir, nous sommes pour certains à Athènes et pour d’autres à Héraklion, en partance pour livrer Exarcheia avec des fourgons solidaires plein de nourriture (entre autre) fournie par des paysans crétois en luttes. Ce sera l’ultime livraison de l’année — et la plus importante — cette fois vers Athènes en provenance de Crète. C’est celle qui va aider nos principaux lieux autogérés à entrer dans l’hiver (Notara 26, K*Vox, SODAA, réseau des cuisines solidaires de l’Attique, etc.). L’huile d’olive, par exemple, est produite par des camarades paysans de la région de Kastelli opposés au projet d’aéroport, notamment Giorgi qui présentait cette lutte dans L’Amour et la Révolution.

En raison de la hausse récente du nombre de résidents dans le squat de réfugiés/migrants Notara 26 (Exarcheia) et du nombre également croissant de sans-abris (grecs et migrants) soutenus par le réseau de cuisines solidaires autogérés et gratuites dans la région d’Athènes, nous devons revoir à la hausse nos calculs, notamment le nombre de nos bidons d’huile d’olive, de nos caisses de légumes et de fruits, ainsi que quelques autres denrées et produits d’hygiène signalés manquants.Si certains d’entre vous peuvent participer, cela nous permettra d’étendre nos moyens d’agir (denrées et soutien financier).

— > par virement à ANEPOS :
IBAN : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU
Objet : "Livraisons Athènes"

— > ou par Paypal en suivant sur ce lien :
https://www.paypal.com/donate/?cmd=_s-xclick&hosted_button_id=LMQPCV4FHXUGY&fbclid=IwAR2GlpO4fe9mZIvL4Uvcj3Tn4-JIEqXpFl4fgtBN_y7qYZ-C_FjK8pVWoDI

— > ou par chèque à l’ordre d’ANEPOS à envoyer à l’adresse ci-dessous :
ANEPOS - "Livraisons Athènes" - 6 allée Hernando - 13500 Martigues

Nous menons ce type d’action une fois tous les six mois depuis 5 ans sous cette forme, dans la mesure du possible, en complément de nos convois solidaires au départ de la France, de la Suisse et de la Belgique.

Vous trouverez la suite des infos comme toujours sur mon blog : http://blogyy.net

Yannis Youlountas

voir une vidéo

NB : Si vous voulez participer via AID (et bénéficier des 66% de déduction fiscale) contactez jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr

* Appel à soutien financier pour Delia Buonomo et le "Bar des Migrants" de Vintimille voir au début de la page

* Appel pour une collecte PERMANENTE de nourriture pour Roya Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour Roya-Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour l’association HABITAT & CITOYENNETE de NICE

* Dons (défiscalisables à 66%) pour les victimes de l’Agent Orange (permanent) et le procès intenté par Madame Tran To Nga aux fournisseurs de ce produit

* Dons (défiscalisables à 75% dans la limite de 1000€ par an et par donateur, 66% ensuite) pour l’association RIVE de Saint-Denis de la Réunion

Chers amis, Chers donateurs, chers partenaires, nous lançons une récolte permanente de fonds. Pour nous aider, vous pouvez faire vos dons :

  • sur la cagnotte Leetchi
  • par Paypal
  • par virement bancaire – IBAN : FR76 1871 9000 8000 8060 4210 034 – BIC : BFCORERXXXX
  • par chèque à l’ordre de Rive et à envoyer au : 21 rue Malartic – 97400 SAINT DENIS DE LA REUNION
    Nous vous rappelons que les dons faits aux associations d’intérêt général ouvrent droit à une réduction égale à 66% des versements effectués dans la limite de 20% du revenu imposable pour les particuliers et de 60% dans la limite de 5/1000 du chiffre d’affaires des entreprises.
    Je compte sur vous ! Solidairement, Catherine Gaud, présidente de RIVE

* Et bien évidemment les dons (défiscalisables à 66%) à AID que vous pouvez flécher ensuite sur les collectes non défiscalisables (renseignements ici )
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* ICE : Assurer la conformité de la politique commerciale commune avec les traités de l’Union européenne ainsi que le respect du droit international

227.662 signatures sur 500.000 lien pour signer

Le 4 mai 2022 dernier a vu la plus grande expulsion de masse de population palestinienne depuis 1967. En établissant des colonies, en démolissant des maisons ou en ordonnant l’éviction des Palestinien⋅nes de leur village entre autres, la politique israélienne de colonisation est illégale ! Pourtant, en maintenant des relations commerciales avec ces colonies, l’Union européenne et ses États membres participent au financement de ces exactions israéliennes en territoire illégalement occupé.

Aussi, en l’absence de l’existence d’une réglementation des transactions commerciales avec des occupants illégaux, les consommateurs et consommatrices européen⋅nes sont rendu⋅es, à leur insu, complice de la colonisation et des violences flagrantes infligées au peuple palestinien. C’est pour ces raisons qu’une initiative citoyenne européenne (ICE) a été lancée le 21 février dernier. Ce dispositif permet à des citoyen·nes européen·es d’appeler la Commission européenne à agir sur un sujet donné.

Dans le cas de cette ICE, il s’agirait d’assurer que la politique commerciale commune de l’Union européenne soit cohérente avec le droit international et les droits humains. Il nous faut un million de signatures pour que cette pétition soit obligatoirement prise en compte par la Commission européenne. Alors, signez pour faire arrêter le financement des violences !

Nous demandons une réglementation des transactions commerciales avec les entités de l’occupant établies ou exerçant leurs activités dans les territoires occupés, dans le but d’empêcher les produits qui en sont originaires d’entrer sur le marché de l’UE.

La Commission, en sa qualité de gardienne des traités, doit veiller à la cohérence de la politique de l’Union et au respect des droits fondamentaux et du droit international dans tous les domaines du droit de l’Union, y compris la politique commerciale commune. Elle doit proposer des actes juridiques fondés sur la politique commerciale commune visant à empêcher les entités juridiques de l’Union tant d’importer des produits originaires de colonies illégales dans des territoires occupés que d’exporter des produits vers ces territoires, afin de préserver l’intégrité du marché intérieur et de ne pas aider ou contribuer au maintien de telles situations illégales.

Par cette initiative, la Commission est donc invitée à présenter une proposition d’acte juridique dans le cadre de la politique commerciale commune qui est de nature générale et ne vise pas un pays ou territoire particulier.

Voir le site officiel des INITIATIVES CITOYENNES EUROPEENNES
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* (C) Pétition : Nous ne voulons pas d’une retraite à 65 ans

20.815 signatures sur 25.000 lien pour signer

Pétition adressée à : Emmanuel Macon, président de la République, et Elisabeth Borne, Première ministre
C’est bientôt Noël mais pour les cadeaux, ne comptez pas sur le gouvernement qui veut nous faire travailler jusqu’à 65 ans alors que l’espérance de vie en bonne santé est de…65 ans. C’est le 15 décembre, juste avant les fêtes, que le texte de loi sera présenté, avec pour objectif "une entrée en vigueur avant la fin de l’été".

Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il est possible de faire reculer le gouvernement. Déjà en 2020, le gouvernement avait fait face à une large opposition à son projet de réforme des retraites. Il avait alors reculé sur son projet… Et à l’époque, le parti d’Emmanuel Macron était majoritaire à l’Assemblée ! Nous sommes 79% à refuser cette réforme. Faisons de nouveau bloc contre cette réforme afin de s’en débarrasser une bonne fois pour toutes. Exigez que le gouvernement Macron abandonne son projet inutile de réforme des retraites.

Rien ne justifie le recul de l’âge légal : selon le conseil d’orientation des retraites, notre système de retraite peut tenir sans révision jusqu’en 2070, AU MOINS. Mais la réforme des retraites n’est pas là pour sauver le système des retraites : elle est là pour renflouer les caisses de l’État, vidées par les cadeaux fiscaux aux grandes entreprises, par la suppression de l’impôt sur la fortune..

Cette addition aurait pu être payée en taxant les superprofits ou en réinstaurant l’impôt sur la fortune mais non, pour Macron, c’est encore à nous de payer les pots cassés. Si le gouvernement Macron souhaite passer la réforme des retraites en force et le plus rapidement possible, c’est parce qu’il ne veut pas nous donner le temps de réagir.

Ne laissons pas le gouvernement nous faire payer sa politique fiscale avantageuse pour les multinationales. Pouvez-vous ajouter votre signature pour rejoindre le mouvement d’opposition à la réforme des retraites ?

* (C) Pétition : Nous avons besoin d’une réglementation plus stricte et d’une enquête complète sur le scandale de corruption Qatari !

63.792 signatures sur 75.000 lien pour signer

Au Parlement Européen
Nous avons besoin de toute urgence d’une enquête complète sur le scandale de corruption Qatari et d’une réglementation plus stricte pour lutter contre la corruption et les pots-de-vin en Europe.

* (C) Pétition : Madame la Première Ministre, sauvez les 3 milliards pour le train !

5.246 signatures sur 6.000 lien pour signer

L’Assemblée nationale a voté ce lundi 31 octobre dans le projet de loi de finances 2023 un investissement de 3 milliards d’euros supplémentaires pour le développement du ferroviaire. Pourtant, le gouvernement a choisi de censurer ce vote par l’utilisation, une nouvelle fois, de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, privant les Françaises et les Français d’un investissement indispensable à la préservation du climat et à la préparation des mobilités de demain.

Alors que le tout récent rapport de l’ONU esquisse un scénario catastrophe si nous ne réduisons pas au plus vite nos émissions de GES, et que l’une des solutions les plus efficaces pour diminuer celles des transports, premier secteur émetteur en France, est le développement massif du ferroviaire, le gouvernement s’entête à bloquer une décision historique de la représentation nationale.

Lors de la deuxième lecture du texte à l’Assemblée Nationale, nous demandons à Élisabeth Borne d’allouer ces 3 milliards d’euros supplémentaires au ferroviaire.

Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Madame la Première Ministre, les études le montrent : le train est un mode de transport nettement moins polluant que l’avion ou la voiture. A trajet équivalent, le train émet en moyenne 66 fois moins de GES que l’avion et 20 fois moins que la voiture (1). Investir dans le ferroviaire c’est donc investir pour lutter contre la crise climatique.

Lundi 31 octobre, le vote historique par l’Assemblée nationale allouant 3 milliards d’euros de plus pour le ferroviaire dans le budget 2023 (2) représentait une réelle bouffée d’oxygène et un espoir de donner enfin les coudées franches pour redévelopper ce mode de transport que nous n’aurions jamais dû délaisser.

Pourtant, suite à ce vote, votre ministre délégué aux transports, Clément Beaune a raillé “Ce sont les milliards qui volent en escadrille”. Jusqu’à présent ce sont surtout les émissions de gaz à effet de serre des transports qui s’envolent ! Premier secteur d’émissions en France, les transports représentent à eux seuls un tiers du budget carbone de la France, et c’est le seul secteur où les émissions étaient plus élevées en 2019 qu’en 1990.

Dans son dernier rapport annuel “Dépasser les constats, mettre en œuvre les solutions”, le Haut Conseil pour le Climat rappelle qu’il faudrait atteindre près de 4 Mt de réduction par an pour le secteur des transports, alors que l’on a réduit en moyenne de seulement 0,7 Mt par an (depuis 2002) (3). Cela revient à multiplier l’effort par près de 6 au cours des prochaines années. Donner les moyens au train de se développer est donc tout sauf un caprice, c’est une absolue nécessité, car comme le note le Haut Conseil pour le Climat “les financements ne sont pas assurés dans la durée et le développement des services de mobilité bas carbone est encore lent et hétérogène”

D’autre part, les moyens de transport polluants comme la voiture ont bénéficié encore très récemment de sommes colossales allouées par le gouvernement : 8 milliards d’euros en aides sur les carburants qui ont atterri principalement dans la poche de ménages les plus aisés (4) durant la crise énergétique, alors que le train reste toujours la dernière roue du carrosse.

Le GIEC nous alerte depuis des années, et les conclusions des derniers rapports parus cette année sont sans appel : les émissions doivent s’infléchir sans tarder pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C. Dans ces conditions, chaque investissement compte. Et chaque investissement faisant défaut nous expose à un “scénario catastrophe”, tel que prédit par le récent rapport de l’ONU, qui établit que l’Europe se réchauffe deux fois plus vite que le reste du monde. En France, nous pourrions atteindre +3,8°C à l’horizon 2100 (5).

Madame la Première Ministre, pour préparer l’avenir, pour protéger les populations du changement climatique et structurer les mobilités de demain, nous vous demandons de ne pas couper les ailes du train ! Allouez ces 3 milliards d’euros indispensables au développement du ferroviaire en France !

Premiers signataires :
Zoé Mary (Alternatiba), Marie Cohuet (ANV-COP21), Jean-François Julliard (Greenpeace France), Pascal Dauboin (Collectif Oui au train de nuit), Jean-Baptiste Dusson (Résistance climatique), Charlène Fleury (Rester sur Terre), Victor Vauquois (Terre de luttes), Capucine Saulpic (NADA Lille), Florence Joly (Collectif Stop Extension Aéroport Marseille Provence), Gilliane Le Gallic (Alofa Tuvalu), Airy Chrétien et Thierry Bitouzé (Collectif citoyen 06, Nice), Bernard Schéou (enseignant-chercheur), Nicole Tagand (Collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes), Catherine Rainaudo (Collectif ligne Nice-Breil sur Roya-Cuneo-Vintimille), Gilles Marcel (NOSTERPACA), Raymond Pelloux (Mobilités Alpines), Alain Filhol (AGV ligne Grenoble Veynes Gap), Stephane Coppey (Destination trains de nuit), Marc Gouttebroze (Collectif Nous Voyageurs ! Massif central), Joël Hillaireau (Sauvons les trains Nantes-La Rochelle-Bordeaux), Stuart Page (Collectif "Atterrissons d’urgence", Montpellier), Hervé Gasdon (Société Alpine de Protection de la Nature - France Nature Environnement Hautes-Alpes), AMIGA (Association des amis du viaduc de Garabit et de la ligne Béziers Neussargues Clermont-Ferrand), Erick Marchandise (Collectif "Mon vélo dans le train")

Sources :
(1) Base Carbone ADEME
(2) Amendement n°II-345 du PLF 2023
(3) Observatoire Climat Energie
(4) https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/carburants-les-plus-aises-premiers-beneficiaires-de-la-ristourne-a-la-pompe-1778083
(5) https://esd.copernicus.org/articles/13/1397/2022/esd-13-1397-2022.pdf

* (C) Pétition : Sauvons le stade des Eucalyptus

1.033 signatures sur 1.500 lien pour signer

Stade EUCALYPTUS a lancé cette pétition : Le stade des Eucalyptus est menacé ! JPM alimentation, qui détient le supermarché U Express de l’Araucaria, prévoit de détruire le stade des Eucalyptus pour y construire un centre commercial sur 5 niveaux. Avec une hauteur de bâtiment de plus de 16 m et près de 5.000 m2 de surface, ce projet prévoit l’implantation d’un supermarché et d’un drive. Nous riverains, ne voulons pas d’une nouvelle surface commerciale qui va générer trafic automobile supplémentaire et nuisances pour tout le quartier.

Ce stade est un lieu de vie et de loisirs, utilisé par les scolaires du lycée des Eucalyptus, les jeunes et les familles du quartier. Non à la destruction d’un équipement utile à tous - surtout à l’heure où l’accès à un espace public, gratuit et en plein air devient une denrée précieuse. Ce projet semble anachronique à l’heure où ce type d’équipements fait déjà défaut à Nice et où la priorité affichée par la Ville est à la qualité de vie et au verdissement de l’espace public. Mobilisons-nous pour éviter le pire !

* (C) Pétition : Revel Castelnaudary : des trains ET des vélos !

886 signatures sur 1.000 lien pour signer

« Evaluer correctement l’avenir ferroviaire possible d’une emprise aujourd’hui inutilisée (..) doit se faire de manière transparente et démocratique, et tenir compte plus particulièrement des perspectives de raréfaction des ressources pétrolières et d’aggravation du changement climatique ». Il n’y a pas un mot à retirer de la charte signée en mars 2006 entre des associations cyclistes et la FNAUT : depuis 16 ans, les perspectives évoquées dans cette charte se sont sérieusement aggravées !

Dans ce contexte, à Revel, le conseil municipal vote à l’unanimité pour la requalification de l’ancienne voie ferrée en voie verte. Une idée écologique ? Non ! Il y a un potentiel voyageurs important pour cette ville à la démographie dynamique, avec des flux domicile-travail ou domicile-études vers et depuis Toulouse et Castelnaudary, et un accès à la zone d’emploi de Labege Innopole. Le trajet Revel Toulouse en bus dure actuellement entre 75 à 90 minutes environ alors qu’en train il se ferait en 45 minutes, soit 15 minutes de moins qu’en voiture, et en plus de centre-ville à centre-ville !

Il y a également un véritable potentiel fret pour cette ligne qui aboutit à une zone industrielle, avec quelques fleurons de l’activité économique départementale. Enfin, rien ne justifie le déferrement de la ligne, dont la demande de réouverture était à l’ordre du jour des Etats Généraux du rail en 2016 (EGRIM) : classée dans les lignes dont le foncier est maîtrisé, et prévue pour une double voie, il est possible d’y concilier train et vélo : et donc d’appliquer la charte entre AF3V et la FNAUT.

Si le maire de Revel déplore que la SNCF ne vende pas le foncier sous prétexte qu’ « il pourrait y avoir une guerre », nous disons que la guerre est déclarée contre le dérèglement climatique. Quant à nous, nous regrettons vivement le soutien de l’Etat et du Département qui ne prennent pas la mesure des enjeux. Si la ville de Revel veut promouvoir le vélo, ce qui est très louable, plusieurs possibilités s’offrent à elle :

Pour aller en vélo vers la zone industrielle, il y a largement de quoi faire une piste cyclable notamment chemin de la Pomme. Pour aller plus loin, il y a déjà une voie verte le long de la rigole du canal du Midi jusqu’à Castelnaudary. Enfin, pour créer une voie Verte sur une voie ferrée, le tronçon entre Revel et Castres est déjà déferré : un tronçon qui est en train de disparaître, dont le PLU a réservé les emprises et qui serait beaucoup plus utile d’un point de vue touristique mais également pour des vélotafeurs.

Le vélo et le ferroviaire sont complémentaires et ne doivent pas entrer en concurrence, ou pire, le vélo ne doit pas devenir l’outil du démantèlement d’un réseau ferré secondaire fragile mais indispensable à toute reprise d’un futur trafic, fret ou voyageurs, à la hauteur des enjeux de transition écologique. Considérant tous ces arguments, nous demandons à la ville de Revel d’orienter ses ambitions pour le vélo vers d’autres tracés et à l’État et au Département de reconsidérer leur position de soutien à ce projet.

* (E) Pétition : "Maman j’ai arrêté l’avion" - L’appel des Atterristes

12.700 signatures sur 15.000 lien pour signer

Nous, Atterristes, prenons l’engagement de nous déplacer et de voyager sans avion.
Conscient·es de l’urgence climatique, nous choisissons d’aligner notre mode de vie avec ce que nous disent les scientifiques. Pourquoi faut-il agir maintenant ?

C’est un engagement nécessaire. Nous savons que nos choix individuels seuls sont insuffisants pour limiter suffisamment le réchauffement climatique. L’État, les collectivités territoriales, les entreprises ont aussi un rôle primordial à jouer. Notre engagement est pourtant nécessaire : un aller-retour à Bangkok pour une personne est responsable de 3 tonnes de CO2e à lui tout seul, soit l’intégralité du budget carbone individuel à horizon 2030[1]. Renoncer à l’avion (ou ne pas commencer à le prendre) est un préalable pour inventer des vies bas carbone[2].

C’est un engagement qui nous semble profondément juste. Le transport aérien est le plus polluant, le plus inégalitaire, et le moins essentiel. Il cause des dommages irréversibles pour la majorité, à l’usage d’une minorité. 80 % des humains ne sont jamais montés dans un avion. 50% des émissions du secteur sont le fait de seulement 1% de la population mondiale[3]. A quoi bon partir à Bali si notre voyage contribue à rendre l’île inhabitable ? A quoi bon plonger dans la Grande Barrière de corail australienne si cela la fragilise, voire la condamne ?

C’est un engagement joyeux. Quelle satisfaction de nous sentir aligné·es avec les valeurs que nous portons au quotidien ! Nous redécouvrons la beauté et la richesse des territoires qui nous entourent. Quand nous voyageons, nous expérimentons de nouvelles aventures, à pied, à vélo, en kayak, à la voile, en train (de nuit) [4]. Ce tourisme à portée de train est plus lent, c’est indéniable. Pour nous, il est surtout plus épanouissant, plus varié. Pour les habitant·es des territoires, il est plus durable et plus résilient. La fin de l’avion, ce n’est pas la fin du voyage ou des vacances, et c’est le début d’un autre rapport au monde.

Rejoignez-nous dans cette aventure, devenez Atterriste ! Nous sommes convaincu·es que si nous sommes des milliers à affirmer haut et fort que la science climatique nous oblige, au-delà de nos opinions politiques, nous pouvons amener un changement beaucoup plus large. Ensemble, atterrissons.

[1] https://www.unep.org/resources/emissions-gap-report-2021
[2] https://www.resistanceclimatique.org/inventons_nos_vies_bas_carbone
[3] https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0959378020307779
[4] https://www.resistanceclimatique.org/vacances_et_voyage_bas_carbone

* (E) Pétition : Dites au gouvernement français d’accélérer le retrait des produits chimiques dangereux !

39.387 signatures sur 50.000 lien pour signer

C’est un chiffre EXPLOSIF.Si nous ne faisons rien, pas moins de 40 % des citoyens européens comme vous seront confrontés au cancer au cours de leur vie. Oui, vous avez bien lu. L’UE était sur le point d’agir et prévoyait prochainement de durcir la réglementation sur les polluants chimiques qui nous empoisonnent (appelée la réglementation REACH)… mais c’était sans compter sur le puissant lobbying des multinationales du toxique.

Au moment-même où vous lisez cette pétition, l’industrie chimique redouble d’efforts en faisant pression sur un pays clé de l’UE, la France, afin de bloquer le durcissement de la réglementation REACH. C’est pourquoi nos partenaires de Générations Futures font appellent aux membres de SumOfUs comme vous, pour lancer une campagne européenne urgente afin d’en finir avec les polluants chimiques qui nous rendent gravement malades.

Exigez que le gouvernement agissent dans l’intérêt de tous et pas celui des lobbies en se positionnant clairement contre le report de la révision de REACH !Nous devons absolument faire comprendre au gouvernement que notre santé et nos écosystèmes comptent plus que le compte en banque de Bayer et Cie.

D’autant plus que selon un sondage commandé par nos amis de Générations Futures, vous êtes plus de 87% à vous inquiéter de l’impact des produits chimiques présents dans les aliments sur votre santé et l’environnement. C’est pourquoi nous appelons le gouvernement à se positionner du bon côté de l’histoire en refusant le blocage de la révision de REACH. Aujourd’hui plus que jamais, si assez de membres de SumOfUs comme vous se mobilisent et font pression, nous serons alors en mesure de préserver notre santé contre les intérêts cupides des multinationales qui nous empoisonnent.

Nous n’avons que quelques semaines pour y parvenir. Après les fêtes, il sera trop tard pour bloquer l’attaque des lobbys. Ne les laissons pas nous faire ce cadeau empoisonné. Faisons barrage aux lobbies de la chimie. Dites au gouvernement de refuser le blocage de la révision REACH.

L’Europe a les yeux rivés sur nous. Les membres de SumOfUs comme vous ont démontré à maintes reprises qu’ensemble, nous pouvions faire reculer les lobbys industriels les plus puissants.

* (C) Pétition : De la justice dans les affaires

85.787 signatures sur 100.000 lien pour signer

A la Commission européenne, au Parlement et au Conseil
Nous exigeons une directive européenne sur le devoir de vigilance qui :

Oblige les entreprises à respecter les droits humains, l’environnement et le climat.
Impose aux entreprises des obligations strictes et claires en matière de prévention et compensation des dommages qu’elles ont commis.
Tienne les sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre juridiquement responsables des dommages tout au long de leurs chaînes d’approvisionnement. Pas d’échappatoires !
Garantisse le droit à la négociation collective pour les syndicats et donne aux représentants des travailleur·se·s un véritable droit de regard sur la vigilance, et ce à chaque étape du processus.
S’attaque à la crise climatique en contraignant les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre tout au long de leurs chaînes de valeur.
Protège la planète en tenant les entreprises juridiquement responsables de toutes les atteintes à l’environnement qu’elles pourraient commettre.
Oblige les sociétés mères et entreprises donneuses d’ordre à appliquer les exigences du devoir de vigilance à toutes leurs relations commerciales tout au long de leurs chaînes de valeur.
Donne aux personnes affectées, aux syndicats et à la société civile les moyens d’obtenir justice devant les tribunaux des pays européens.
Oblige les entreprises à consulter toutes les personnes qui sont ou peuvent être affectées par leurs activités, et obtenir leur consentement le cas échéant.
Donne aux autorités le pouvoir d’enquêter de manière approfondie et de sanctionner les entreprises fautives.
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* (C) Pétition : Signez la pétition au Sénat pour la taxation des superprofits !

16.648 signatures sur 100.000 lien pour signer

Depuis plusieurs mois, l’Alliance écologique et sociale demande une taxe sur les superprofits pour répondre aux crises environnementale et sociale. Pendant que les multinationales réalisent des profits hors-sols, de plus en plus de personnes doivent faire face à l’explosion du coût de la vie et aux conséquences du réchauffement climatique. Cette taxe est l’une des solutions les plus justes pour répondre rapidement aux effets de la crise de l’inflation tout en investissant massivement pour contrer la crise environnementale touchant déjà les plus précaires.

En taxant plus largement les profits colossaux des grands groupes, on pourrait par exemple financer :
* une aide exceptionnelle pour les cantines et les restaurants universitaires, permettant également de renforcer la mise en place des circuits courts.
* la réduction des tarifs des trains et des autres transport en commun et la hausse des moyens pour assurer le service permettant de les rendre plus accessibles.
* un investissement massif pour rénover les passoires thermiques, sans hausse de loyer.

La proposition du gouvernement constitue à l’inverse une taxe au rabais : cette contribution temporaire de solidarité ne prend en compte que le secteur énergétique. Pourtant, des entreprises de l’agro-alimentaire ou encore de la finance ont aussi réalisé des rentes exceptionnelles et sont tout aussi responsables de l’inflation. Rien ne justifie donc de les exonérer de cette taxe. Des amendements plus ambitieux allant dans ce sens n’ont pu être débattu à cause de l’article 49.3.

Il est donc urgent de redéfinir le périmètre et les modalités de la taxe sur les superprofits pour soutenir le niveau de vie des ménages, financer la transition écologique et limiter l’impact de l’inflation.

À partir de 100 000 signatures recueillies, le Sénat devra examiner notre texte. Soyons nombreuses et nombreux à signer !

Pour signer la pétition : cliquez ici. Vous devez vous connecter via l’outil France Connect, permettant d’authentifier l’identité du signataire. Ce procédé d’authentification donne plus de crédibilité et de poids à la pétition. Il vous suffit de vous connecter via vos identifiants de tous les jours : Impot.gouv, Ameli, ou encore via l’identité numérique de la Poste.

* (E) Pétition : STOP AU PROJET DE RAFFINERIE HYNOVERA sur le site de la centrale de Provence

18.071 signatures sur 25.000 lien pour signer

Le collectif CONTRE HYNOVERA a lancé cette pétition "En plein coeur du bassin de vie, Meyreuil, Gardanne, Pays d’Aix. STOP POLLUTION et DANGERS !"

Faisons entendre nos voix pour l’avenir de NOS ENFANTS !!! Ce projet de 460 millions d’euros dont 163 millions € de subventions (nos impôts) situé sur le site de la centrale de Provence, Meyreuil / Gardanne, EN ZONE URBAINE, à côté des écoles (garderie, crèche, maternelle, élémentaire, lycée…), stades, gymnases, parcs, habitations, commerces… est une ABERRATION !!! Création de seulement 50 emplois ! Nous avons déjà assez d’industries polluantes et dangereuses ici !

NOUS SOMMES TOUS CONCERNES !Il ne s’agit pas seulement des communes de Meyreuil et Gardanne mais le Pays d’Aix entier est concerné !

Non écologique :

  • une torchère pour brûler des gaz toxiques dont la hauteur n’est pas déterminée
  • ≠ ENERGIE VERTE
  • un immense besoin d’eau qui représente l’équivalence d’un bassin olympique par jour : 2500m3 / jour (soit 52 piscines privées / jour) alors que les ressources se raréfient et qu’il y a pénurie d’eau pour les populations et restrictions pour d’autres ≠ ENERGIE VERTE
  • des besoins en bois très importants 500t/j puis 750t/j, un procédé utilisant la gazéification du bois dont on ne sait pas encore l’origine ni si il sera stocké en silo ou à l’air, pollution de l’air, bruit, vibrations. Face aux sécheresses et canicules, la forêt est fragile, il n’est pas concevable de répondre à tous ces besoins en bois ≠ ENERGIE VERTE
  • 3 réservoirs de kérosène de 200m3 de 11m de haut ≠ ENERGIE VERTE
  • 1 gazéificateur de 65m de hauteur ≠ ENERGIE VERTE
  • 4 réservoirs de 80m3 de naphta, diesel sur une hauteur de 7m ≠ ENERGIE VERTE
  • 2 réservoirs d’hydrogène de 400kg chacun ≠ ENERGIE VERTE
  • 190 semi-remorques / jour circuleront sur nos routes déjà saturées pour les approvisionnements et livraisons ≠ ENERGIE VERTE
  • 1 TéraWatt/an d’électricité (l’équivalent de 213 720 foyers / an) avec une puissance de 120 MegaWatt ≠ ENERGIE VERTE
  • classement SEVESO, à côté de la centrale biomasse déjà classée SEVESO risques démultipliés ≠ ENERGIE VERTE

HYNOVERA ≠ ENERGIE VERTE

Malheureusement, les études d’impact et de santé ne seront réalisées qu’à la fin des réunions de concertation publique. En revanche, les énormes risques sur site sont connus : INCENDIES, EXPLOSIONS… et tout cela en Zone urbaine. Ce projet est un prototype, nous serons les COBAYES.

Sur les 86 hectares de la centrale, Hynovera en occupera seulement 6 hectares. Ce n’est que le début, Hynovera n’est qu’une partie du projet du pacte de territoire : il y aura d’autres industries à risques pour notre santé et notre environnement. C’est un ENGRENAGE.

MOBILISONS NOUS

Rejoignez-nous, signez et partagez cette pétition pour dire NON à ce projet ! D’autres projets moins nuisibles doivent être envisagés !Il est nécessaire d’avoir une vraie concertation publique pour l’avenir et la reconversion de ce site. La reconversion nous a été promise comme un avenir meilleur et non le PIRE !!!!!

C’est à nous, CITOYENS en colère, toute appartenance politique confondue, de nous mobiliser tous ensemble contre ce projet qui ne nous apportera que nuisances, pollution, risques, préjudices. Rien de positif ne sort de ce projet. La seule réponse du Préfet face à nos inquiétudes est de nous dire de partir ou vendre si les projets contenus dans le PACTE ne nous conviennent pas. CE N’EST PAS ACCEPTABLE.

* (E) Pétition : Il est temps de bannir les jets privés

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Pétition lancée par Julien Bayou, député NUPES-EELV
Bonjour, Il est temps de bannir les jets privés. C’est la mesure qui pénalise le moins de monde pour l’impact le plus grand et le plus immédiat en faveur du climat. C’est une question de justice.Comment demander des efforts à la population, si les plus riches sont exonérés de tout ?

Une fraction de la population crame dans l’atmosphère la consommation d’un Français moyen pour les 50 prochaines années. Thomas Sankara disait : « Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns et l’eau potable pour tout le monde. »

Depuis que j’ai proposé l’interdiction des jets privés, cette mobilisation prend de l’ampleur mais j’ai besoin de votre soutien. Signez la pétition, amplifiez la mobilisation

* (C) Tribune : « Nous voulons briser le silence sur les conséquences de l’agent orange au Vietnam »

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Lire la tribune sur Le Monde

Soixante ans après le début des épandages massifs par l’armée américaine de l’herbicide, les conséquences en sont encore présentes, souligne, dans une tribune au Monde, un collectif de personnalités mobilisées pour faire sortir ce crime de l’oubli, qui demande l’instauration d’une journée officielle de commémoration des victimes.

Tribune

Il y a des drames qui tombent dans l’oubli ; des histoires qui, à force de rester dans l’ombre, s’éteignent avec les individus qui les portent. Il y a soixante ans, le 10 août 1961, débutaient les premiers épandages d’agent orange, un puissant herbicide contenant de la dioxine, substance à l’origine de nombreux cas de cancers et de malformations à la naissance. Cet herbicide a été déversé sur la partie sud du Vietnam par l’armée des Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam, afin de détruire le couvert végétal et débusquer, ainsi, les résistants vietnamiens qui s’y réfugiaient.

Il y a soixante ans, l’histoire de cette guerre commençait à peine à s’écrire, mais que nous reste-t-il de ce récit ? Nous, citoyens d’un pays, la France, qui a colonisé le Vietnam à partir de l’année 1858, qui a recruté de force des « soldats ouvriers » (les « Linh Tho » lors de la première guerre mondiale, puis les « Cong Binh », durant la seconde) ; qui, au sortir de la deuxième guerre mondiale, lui a refusé l’indépendance en combattant celles et ceux qui luttaient pour ce droit inaliénable, et qui depuis 1975, a accueilli des centaines de milliers de Vietnamiens sur son sol, que savons-nous de leur histoire ?

Dans les livres d’histoire-géographie, au collège et au lycée, la guerre du Vietnam est évoquée. On y apprend qu’elle débute en 1955 et oppose, d’une part, la République démocratique du Vietnam (Nord Vietnam) avec son armée populaire vietnamienne – soutenue matériellement par l’Union soviétique et la Chine – alliée au Front national de libération du Sud (appelé Vietcong par ses ennemis) et, d’autre part, la République du Vietnam (Sud Vietnam), soutenue par l’armée des Etats-Unis et plusieurs alliés comme le Canada, l’Australie, la Corée du Sud et les Philippines.

L’illusion d’une guerre lointaine

L’enseignement se contente aujourd’hui de balayer les grandes lignes, en omettant les conséquences désastreuses – et pourtant terriblement actuelles – de la guerre sur les écosystèmes et les habitants. Il omet aussi, bien trop souvent, d’appuyer la différence entre le napalm et l’agent orange, dont les Français ne discernent pas toujours la nature, sans doute à cause de l’absence à l’époque de représentations des ravages causés par l’agent orange et du cliché, devenu célèbre, d’une enfant vietnamienne brûlée au napalm en 1972.

Mais surtout, il nous donne l’illusion d’une guerre lointaine, passée. Pourtant, cette guerre, pour les anciens combattants et leur descendance, est loin d’être derrière eux, loin de se taire, au contraire. Insidieuse, elle s’insère encore dans les corps ; meurtrière, elle continue de semer la mort et le désespoir dans les familles – qui y voient, en plus, un signe de punition.

Le Vietnam et sa population se sont habitués à ces visages et ces corps tortueux, tant dans les provinces d’Hanoï et de ses environs que dans le sud du pays. C’est dans un terrible silence, que ces vies passent, parfois sans même avoir eu connaissance d’être victimes des conséquences des épandages. Et c’est ce silence que nous souhaitons définitivement briser.

Toutes ces victimes, malades d’un passé dont elles ne sont pas responsables, subissent de nombreuses peines : l’absence de reconnaissance juridique dans leur pays et à l’international – contrairement aux vétérans américains –, des conditions matérielles insuffisantes et une quasi-absence de commémoration à l’international, pourtant si nécessaire à la reconstruction d’un peuple, à sa mémoire. Ce travail manque, au Vietnam comme dans les autres pays où les récits se sont mêlés, via les diasporas.

Une journée officielle de commémoration

Les associations sur place, chargées d’identifier les lignées de familles potentiellement touchées rencontrent toujours une grande difficulté à identifier les personnes les plus vulnérables qui se cachent par honte des malheurs qu’elles pensent porter, et par manque d’informations dans leur pays d’origine ou d’accueil.

C’est pourquoi nous demandons, au nom du Collectif Vietnam-Dioxine, aux parlementaires français de participer à la réparation de l’injustice subie par l’ensemble des victimes de l’agent orange, en considérant ce crime commis au Vietnam et dans les pays voisins, comme au Cambodge et au Laos. Nous demandons l’instauration d’une journée officielle de commémoration des victimes de l’agent orange, ainsi qu’une meilleure prise en compte, dans l’enseignement scolaire, des incidences de la guerre du Vietnam sur les populations et l’ensemble des écosystèmes.

Nous continuerons, de notre côté, à nous mobiliser, et à participer à l’effort de mémoire du Vietnam, pays dont le cri, étouffé par l’impérialisme des Etats- Unis, commence à peine à se faire entendre. Nous appelons, enfin, l’appui et le soutien de la communauté internationale, car la paix n’est pas seulement un mot, ni même un état d’esprit, et ce combat pour le surgissement du possible n’est pas seulement un espoir, c’est aussi un travail collectif.

La liste complète des signataires est accessible
en cliquant sur ce lien

* (C) Pétition : Nextdoor : suspendez vos partenariats avec la police

Lien pour signer

Faites-le entendre à Nextdoor : suspendez vos relations avec les services de police.
Depuis des années, de nombreuses personnes tirent la sonnette d’alarme à propos du racisme sur Nextdoor. En parallèle, Nextdoor fait du pied aux services de police et les incite à utiliser sa plateforme pour « cibler géographiquement des messages à destination de quartiers spécifiques ». Les détails de ces partenariats sont en grande partie inaccessibles au public, ce qui ne contraint pas Nextdoor à rendre des comptes vis-à-vis des éventuelles conséquences néfastes pour les communautés ciblées de manière disproportionnée par la police. C’est pourquoi nous demandons à Nextdoor de suspendre ses relations avec les services de police jusqu’à ce qu’ils fournissent plus d’informations sur la nature de ces partenariats et des preuves qu’ils ont examiné l’impact et les potentielles conséquences néfastes de ces partenariats sur les communautés qui utilisent leurs services.

Alors que Nextdoor s’est engagé à lutter contre le racisme sur sa plateforme, les détails des actions qu’ils vont mener et la façon dont ils vont mesurer leurs progrès restent flous. La dernière mesure prise par Nextdoor, supprimer de sa plateforme la fonction « Transférer à la police », montre bien sa prise de conscience de la nécessité de ralentir la systématisation du déplacement de la police, comme poussent à le faire des technologies telles qu’Amazon Ring et Nextdoor. Mais sans un véritable exercice de transparence, le public ne pourra pas juger ces efforts. Nextdoor dispose d’une base d’utilisateurs importante et active, et les mesures prises maintenant peuvent avoir de grandes répercussions sur la façon dont nous pensons que les réseaux communautaires devraient fonctionner.

Nous demandons à Nextdoor de suspendre immédiatement ses relations avec les services de police jusqu’à ce que Nextdoor :

* publie un rapport de transparence pour divulguer publiquement la nature des relations entre Nextdoor et les services de police dans tous les pays où Nextdoor opère, y compris les mesures prises pour identifier les éventuelles conséquences néfastes de ces partenariats ; et
* s’engage à embaucher des experts des droits civils, y compris au sein des équipes travaillant sur la plateforme pour les organismes publics, de la même façon que nos partenaires de Color of Change et la campagne StopHateForProfit l’ont déjà demandé à Facebook.

Si Nextdoor entend sérieusement s’engager à créer une plateforme où « tout le monde a sa place », alors Nextdoor doit assumer ses responsabilités et passer aux actes.

* (C) Pétition : Il faut mettre fin aux interdictions de voyager contre les militant·e·s en Arabie saoudite

1.533 signatures sur 5.000 lien pour signer

Ces trois dernières années, la société saoudienne a connu une transformation à en donner le tournis pour tenter d’améliorer son image à l’international. Mais derrière cette transformation de façade se trouve une réalité parallèle : la répression acharnée qui ne cesse de viser des dizaines de défenseur·e·s des droits humains et d’autres militant·e·s pacifiques, journalistes, et religieux, uniquement pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions. Les autorités saoudiennes ont incarcéré arbitrairement au moins 35 militant·e·s pacifiques, après les avoir condamnés à de longues peines de prison et à des interdictions de voyager, parfois uniquement pour avoir publié des tweets sur les réformes politiques. Mais même après avoir purgé leur peine, ces militant·e·s ne sont pas libres.

Ces personnes doivent vivre sous le coup de longues interdictions de voyager imposées dans le cadre de leur condamnation, qui les empêchent de quitter l’Arabie saoudite, pour une durée qui varie entre 5 et 20 ans. Loujain al Hathloul, Raif Badawi, et Abdulrahman al Sadhan font partie de la longue liste de militant·e·s qui se voient interdits de voyager par les tribunaux.

Les interdictions de voyager arbitraires sont également imposées parfois sans décision de justice, et les personnes visées ne l’apprennent que lorsqu’elles tentent de voyager et qu’elles sont refoulées par les autorités saoudiennes dans les aéroports ou à des postes-frontières. Ces interdictions touchent souvent les membres de la famille des militant·e·s qui vivent en dehors de l’Arabie saoudite, déchirant ainsi les familles et causant de profondes douleurs.

Dans le cas de Salman al Odah, qui encourt la peine de mort, ce sont 19 membres de sa famille qui sont soumis à des interdictions de voyager illégales, injustifiées et illimitées uniquement en raison de leurs liens de parenté. Signez la pétition et demandez au roi Salman de lever immédiatement les interdictions de voyager arbitraires à l’encontre des militant·e·s, des défenseur·e·s des droits humains et de leurs familles !
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* (C) Pétition : Cet hiver : pas de coupures de courant pour les personnes précaires !

64.314 signatures sur 75.000 lien pour signer

Destinataires : Frans Timmermans (Vice-Président de la Commission européenne) et Ursula von der Leyen (Présidente de la Commission européenne)
Des millions d’Européen·ne·s vont subir des coupures de chauffage et d’électricité cet hiver, n’ayant pas les moyens de payer des factures d’énergie dont les montants explosent. La Commission européenne doit veiller à ce que personne n’ait froid cet hiver.

* (C) Pétition : Non au changement d’horaire et de Zou en décembre !

1.113 signatures sur 2.500 lien pour signer

Nous, usagers, et surtout clients, de la ligne Nice -Breil - Tende trouvons absolument inadmissible les nouveaux horaires en vigueur à partir du 11 décembre 2022 établis sans concertation avec les associations, les acteurs locaux et les élus.En effet de grands changements par rapport au service actuel sont pressentis.

En exemple le train de 16h46 est supprimé au départ de Nice -ville alors que ce train est bondé tous les soirs, rejetant les salariés sur le train de 17h20 également bondé ! Quel est l’intérêt d’avoir un train qui part de Nice à 14h58 puis 15h41 et aucun autre train avant 17h20. Le matin le train partant de breil sur Roya à 7h25 est repoussé à 7h35 empêchant les SCOLAIRES D’ARRIVER à l’heure au collège de l’Escarène ! Ce ne sont que deux exemples mais tant d’incohérence comme ces trains qui partent avant les correspondances des bus haute roya...

Cette ligne de train est de plus en plus une ligne de bus , à l’heure où le gouvernement et SNCF Réseau investissent des sommes conséquentes, à l’heure où les gouvernements parlent tous de TER ,RER , nous en Paillon ,Bevera et Roya sinistrée nous nous retrouvons sans cadencement suffisant pour nos salariés et scolaires ! En effet des enfants, des jeunes ,des salariés vont devoir cesser leur activité dès décembre pour ces changements et encore une fois sans concertation !

Déjà le démantèlement inadmissible de la carte Zou qui passe de -75% à-30% dès janvier était une horreur imposée aux familles et aux habitants pourtant déjà éprouvés par les hausses générales ,la tempête, la reconstruction, l’absence de tunnel au col de Tende. La question est : la région veut elle toujours que nos populations valléennes utilisent le train ou est ce la seule volonté des acteurs locaux (associations, mairies, clients) ?

Si la réponse est oui nous souhaiterions être entendu car la situation qui va nous être imposée est inadmissible.

Le comité Franco Italien pour la sauvegarde de la ligne Nice Cuneo Ventimiglia
Sébastien Olharan, conseiller Départemental
Céline Duquesne, conseillère Départemental
Mairie de Breil-sur-Roya
Mairie de L’Escarène

* (C) Pétition : Équateur,stop à l’activité minière et à sa violence envers les femmes

67.763 signatures sur 100.000 lien pour signer

À l’Assemblée nationale, au Ministère public et à la Cour constitutionnelle de l’Équateur, à la Préfecture de la province de l’Azuay,Madame, Monsieur, nous exprimons notre profonde indignation face à la violence perpétrée contre les femmes par des personnes liées à l’activité minière dans la paroisse de Molleturo, et à l’assassinat d’Alba Bermeo Punin le 22 octobre. Ce meurtre aurait pu être évité si les autorités équatoriennes avaient agi comme elles auraient dû le faire. Pour leurs actions et omissions, nous tenons les autorités locales et nationales responsables et complices.

L’Alliance pour les droits de l’homme et d’autres organisations dénoncent le fait que « malgré les événements très graves qui se sont produits les 1er et 8 octobre 2022, ni la préfecture de la province de l’Azuay, ni la police, ni le ministère public, ni aucun autre organisme public n’a pris de mesures pour assurer la protection des personnes défendant la nature à Molleturo ou pour empêcher les activités minières illégales ». Nous nous joignons à l’Alliance pour demander aux autorités d’agir et au ministère public de mener une enquête approfondie sur les événements, que les coupables soient identifiés, poursuivis et punis.

En outre, il est urgent de mettre un terme immédiat à la violence ainsi qu’à toutes les activités extractives dans la région. Les agressions et le manque de contrôle qui y sont liés constituent un danger pour la vie et la sécurité de la population. L’Assemblée nationale doit assumer la responsabilité de la situation. Et en tant que signataire de la Convention d’Escazú, l’Équateur est tenu de garantir l’action et la vie des écologistes, une obligation qui a été violée à Molleturo.

Les communautés affectées par la violence veulent être totalement libérées de l’activité minière, qu’elle soit légale, illégale ou de quelque nature que ce soit. Selon la loi, elles ont le droit d’être consultées et de dire NON aux activités extractives. Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre respectueuse considération.

* (C) Pétition : Rétablissons l’accès piétonnier au Domaine privé du Cap Martin

712 signatures sur 1.000 lien pour signer

Depuis 1912, soit plus d’un siècle, les promeneurs pouvaient profiter des allées du Domaine privé du Cap Martin mais depuis 3 ans, par décision unilatérale, l’accès leur en est interdit. L’ASPONA a écrit plusieurs fois sans recevoir de réponse.
- Sachant que c’est un lieu idéal de promenade pour profiter de la nature et du calme, particulièrement appréciable en période de confinement et de canicule
- Sachant qu’il constitue une aménité touristique
- Sachant que la collectivité a pris en charge pendant des décennies de nombreux aménagements (goudronnage, éclairage) sur le site et ses abords
- Sachant que la collectivité assure sa protection au titre des sites et des paysages depuis son classement en 1974
- Sachant qu’il est possible pour éviter tout dérangement de prévoir des plages-horaire d’ouverture adaptées.
Il est demandé à l’association des propriétaires, au Maire et au Préfet de rouvrir l’accès pédestre sans délai au Domaine.

* (E) Pétition : L’Europe doit cesser de financer les refoulements aux frontières

15.307 signatures sur 20.000 lien pour signer

Exhortez la Commission européenne à agir maintenant. Toute personne fuyant la guerre ou les persécutions, a le droit de demander l’asile au sein de l’Union européenne. Cependant, ces dernières années, des dizaines de milliers de demandeurs d’asile ont été brutalement repoussés aux frontières de l’Europe. Parfois même avec l’aide de l’agence européenne de garde-frontières et des garde-côtes, Frontex.

Ces actions illégales, imputables à des pays de l’UE comme la Croatie, l’Espagne, la Grèce, la Hongrie, l’Italie, la Lituanie, Malte, la Pologne et la Slovénie impliquent des menaces, des violences physiques, des agressions et des abus lors de la détention ou du transport des exilés. Les exilés sont laissés à l’abandon sur leurs bateaux ou jetés à la mer, menottés. Des milliers d’entre eux en sont morts et beaucoup d’autres se sont vus refuser l’accès à une procédure d’asile, en l’absence de tout examen sérieux de leurs motifs de demande de protection.

La Commission européenne ferme les yeux sur ces terribles actes qui se déroulent à nos frontières communes. Au lieu d’initier des poursuites contre ces États membres devant la Cour de justice de l’UE, la Commission soutient financièrement les pays qui se livrent à ces pratiques inhumaines en utilisant les fonds européens pour l’asile et les migrations. L’objet de ces fonds, assurer le respect du droit de l’Union et des valeurs européennes, est donc complètement détourné.

Il faut que cela cesse. Aucun fonds européen ne doit être utilisé pour financer des violations des droits humains à nos frontières. Les Verts/ALE demandent de toute urgence à la Commission, en particulier au Vice-président Margaritis Schinas, et à la Commissaire aux affaires intérieures, Ylva Johansson, de geler les fonds destinés aux pays impliqués dans des refoulements aux frontières et de conditionner l’octroi de nouveaux financements en matière d’asile et de migration au respect des droits humains.

La Commission européenne peut utiliser la boîte à outils fournie par l’étude commandée par le groupe des Verts/ALE, pour instaurer de telles conditions au déblocage des fonds. (lire notre étude ici...). Aidez-nous à faire pression sur la Commission européenne, signez la pétition

* (C) Pétition : Liberté pour l’avocate Hoda Abdelmoniem !

9.302 signatures sur 10.000 lien pour signer

À l’attention du président égyptien Abdelfattah el Sisi : Monsieur le Président, cela fait quatre ans que Hoda Abdelmoniem, avocate spécialiste des droits humains, est détenue arbitrairement, au seul motif de ses activités de défense des droits humains. Elle a passé 35 mois en détention provisoire, avant que le service du procureur général de la sûreté de l’État ne la renvoie devant une cour de sûreté de l’État.

Elle est accusée d’avoir rejoint, financé et soutenu un « groupe terroriste », et d’avoir relayé sur les réseaux sociaux des contenus accusant les forces de sécurité de violations des droits humains, via une page Facebook intitulée « Coordination égyptienne pour les droits et les libertés », afin d’inciter à la violence contre les organes de l’État.

Les procédures qui se déroulent devant les cours de sûreté de l’État, des juridictions spécialisées mises en activité en période d’état d’urgence, sont intrinsèquement iniques, et les décisions de ces instances ne sont pas susceptibles d’appel. Le droit de Hoda Abdelmoniem à une défense adéquate a également été bafoué, car il lui est interdit de voir son avocat, sauf devant la cour. Le procès s’est ouvert le 11 septembre 2021 et est encore en cours. Lors d’une audience, le 15 octobre, Hoda Abdelmoniem a brièvement parlé à son mari de la détérioration de ses conditions de détention, mais n’a pas eu la possibilité de fournir plus de détails.

Le 23 août 2022, le mari et les filles d’Hoda Abdelmoniem ont été autorisés à lui rendre visite en prison pour la première fois depuis son arrestation. Cette visite, qui a duré 25 minutes, s’est déroulée en présence de membres des forces de sécurité, ce qui l’a empêchée de parler librement. Outre ses problèmes cardiaques, Hoda Abdelmoniem souffre de troubles rénaux, de thrombose artérielle et d’hypertension.

En octobre 2021, lors d’une audience devant la cour, elle a dit aux juges que le médecin de la prison avait estimé qu’elle avait besoin d’un cathétérisme cardiaque. Malgré cela, les responsables de la prison pour femmes d’al Qanater, où elle est incarcérée, continuent à refuser de la transférer dans un hôpital extérieur afin qu’elle puisse être soignée, et empêchent ses proches de consulter son dossier médical, ce qui exacerbe leurs craintes pour sa santé.

En conséquence, je vous exhorte à faire le nécessaire pour que Hoda Abdelmoniem soit libérée immédiatement et sans condition, et que toutes les charges retenues contre elle soient abandonnées, car elle est détenue et poursuivie uniquement en raison de ses activités en faveur des droits humains. Dans l’attente de sa libération, je vous appelle à veiller à ce qu’elle puisse régulièrement communiquer avec sa famille et ses avocats, et bénéficier de soins médicaux adaptés, notamment en dehors de la prison, et à ce que son dossier médical lui soit remis. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma haute considération.

* (C) Pétition : Les vélos doivent passer sur la NRL

642 signatures sur 1.000 lien pour signer

Les usagers du vélo sont interdits de passer sur la NRL :

  • les velotafeurs
  • les cyclotouristes
  • les cyclistes de compétition
  • les usagers vélo lambdas
    Ils doivent utiliser d’autres moyens motorisés soit l’inverse de ce que demande notre président de la République, pour le développement durable et l’empreinte carbone
    Un aménagement vélo sécurisé à été mise en œuvre sur la NRL. On y est plus en sécurité que sur l’ancienne RL

On ne comprend pas cette interdiction injuste, arbitraire et non notifiée.Les usagers du vélo réclament l’autorisation immédiate de passer sur l’aménagement cyclable réalisé

* (E) Pétition : Terrain de moto cross en zone naturelle

1.032 signatures sur 1.500 lien pour signer

L’Association REN a lancé cette pétition à Monsieur Bernard Gonzalez, préfet des Alpes-Maritimes.
Un collectif d’habitants de La Brigue souhaite attirer votre attention sur l’aménagement d’un terrain de moto-cross dans le vallon du Rio Secco. Cette décision de la mairie soulève de nombreux questionnements :
1- Y-a-t-il eu une concertation publique ?
2- Est-elle validée par les services de l’État ?
3- Une étude d’impact environnemental a-t-elle été réalisée ?
4- Les espèces endémiques protégées ont-elles été prises en compte ?

Mais aussi de nombreuses inquiétudes :
1- Sécurité : pour se rendre sur le terrain de moto-cross, les dites motos devront traverser le village, la place du marché et le parking des HLM.
2- Nuisances sonores : Proche du village, les habitant(e)s seront directement impacté(e)s dans leur quotidien.
3- Economie : le tourisme vert a le vent en poupe, les touristes viennent à La Brigue pour profiter de la nature et du calme. Les nuisances sonores et l’impact sur la qualité de l’air risquent tout simplement de les faire fuir !
4- Environnement : notre priorité n’est-elle pas de protéger la faune et la flore du Rio Secco, déjà bien mises à mal par la tempête Alex ?

Proposition : Re-créer le parcours de santé pédestre emporté par la tempête et le parcours de cross pour vélo :
- Sachant que notre vallée promeut l’utilisation du vélo.
- Sachant qu’un parcours pour moto-cross de 16 km est en cours d’aménagement sur la commune de Tende, que de nombreuses pistes, déjà, sont ouvertes à la circulation des véhicules motorisées.
- Sachant que le slow tourisme est l’avenir économique de notre vallée.
- Sachant qu’il fait bon vivre à La Brigue et que nous souhaiterions que cela continue !

La population de la Roya se mobilise contre ce projet, une pétition est en cours et nous avons alerté l’OFB qui s’est saisi du dossier. En attendant votre réponse, nous vous adressons, Monsieur le préfet, l’expression de nos salutations distinguées.

* (E) Pétition:Sauvons la grande serre du jardin des plantes de Lille !

8.139 signatures sur 10.000 lien pour signer

Nous, habitants lillois et amis du Jardin des Plantes, apprenons avec émoi la décision de fermeture définitive de la serre équatoriale par voie de presse, et ce dès cet automne. Nous souhaitons la préservation et le maintien de l’intégrité de ce patrimoine botanique et architectural unique et remarquable qui a inspiré et continue d’inspirer des générations de Lillois.es, petits et grands !

Nous demandons à la ville de revenir sur cette décision précipité et radicale et que soit engagé un processus de sauvegarde de la serre et de sa flore visant à la restaurer tout en l’adaptant aux contraintes actuelles.Il nous semble que le plan de sobriété doit passer par un projet de rénovation énergétique ambitieux de la serre équatoriale du jardin des plantes afin de préserver ce lieu exceptionnel pour l’éveil et l’émerveillement de tous !

Signez cette pétition s’il vous plaît !Parlez en autour de vous et partagez au maximum cet appel via les liens.Le temps presse !

* (E) Pétition : Stop aux bombes tueuses d’otaries !

183.024 signatures sur 200.000 lien pour signer

Des otaries à fourrure, une espèce protégée, sont en train de mourir à cause de bombes sous-marines, appelées « bombes tueuses de phoques », que font exploser les producteurs industriels de saumon en Australie. Ces bombes sont conçues pour émettre des bruits perçants et des éclairs lumineux qui se répercutent dans l’océan.
Mais ces engins ne se contentent pas d’effrayer les phoques : ils provoquent également des fractures osseuses, des brûlures profondes, des sorties des yeux de leurs orbites et, dans certains cas, la mort, souvent à la suite d’un traumatisme dû à l’impact. Pouvez-vous signer la pétition qui demande aux trois grands producteurs de saumon australiens - Huon Aquaculture, Tassal et Petuna - de cesser d’utiliser les « bombes tueuses de phoques » et de déplacer leurs élevages de saumons vers les côtes ?

Les élevages de saumons flottants ne sont pas seulement un désastre écologique qui rejettent d’énormes quantités de déchets et d’antibiotiques dans des environnements marins vierges, ils attirent aussi les otaries affamées. Mais au lieu de déplacer les élevages sur les côtes, loin de l’habitat naturel des otaries, les producteurs de saumon utilisent des explosifs pour blesser les otaries dès qu’elles s’approchent. Les trois géants du saumon tasmaniens ont déclenché plus de 77 000 « bombes tueuses de phoques » en quatre ans. Et ces explosifs sous-marins ne constituent pas le seul risque pour les otaries. Les producteurs de saumon utilisent également des fusils de chasse pour tirer sur les otaries avec des balles chargées de plomb qui peuvent s’enfoncer dans leur peau et provoquer des invalidités permanentes. Allez-vous participer au mouvement de protestation mondial qui va obliger l’industrie du saumon à agir ? Signez ici pour exiger que Huon Aquaculture, Tassal et Petuna cessent dès maintenant d’utiliser des bombes et des fusils de chasse contre les otaries.

La Tasmanie, région insulaire située au large de la côte sud australienne, est une région marine sauvage et vierge. C’est l’un des derniers endroits où l’on peut toucher terre avant d’atteindre l’Antarctique. Les baleines, les dauphins, les otaries à fourrure australiennes protégées et les rares otaries à long nez de Nouvelle-Zélande partagent l’océan avec des espèces que l’on ne trouve nulle part ailleurs. Les Premières Nations de Tasmanie/lutruwita, qui protègent la terre et l’océan depuis des siècles, s’élèvent contre la présence de producteurs industriels de poisson dans leurs eaux en raison de leur impact sur l’ensemble de l’écosystème. Ils savent que l’industrie du saumon est une véritable menace ; les maladies se propagent des enclos à saumon surpeuplés aux poissons sauvages et de grands animaux marins se prennent dans les filets.

La mobilisation populaire a déjà permis de pousser l’industrie du saumon à changer. Après le mouvement massif contre les producteurs de saumon écossais qui tiraient sur les phoques, une interdiction a été mise en place pour les protéger. Et les membres de SumOfUs ont également contribué à stopper l’expansion de l’élevage de saumons de Millstone Point en Écosse. Pouvez-vous également nous aider à protéger les phoques en Tasmanie ?

* (C) Pétition : Meta doit accorder des réparations aux Rohingyas

6.556 signatures sur 10.000 lien pour signer

À l’attention de Mark Zuckerberg, PDG de Meta. Monsieur Zuckerberg, la communauté des réfugié⋅es rohingyas de Cox’s Bazar a déposé une plainte pour violation des droits humains contre Meta et demande des réparations pour son rôle dans les abus perpétrés contre leur communauté.

Je suis très préoccupé⋅e par le refus de Meta de s’engager de manière significative avec la communauté rohingya. Meta doit assumer la responsabilité de l’amplification algorithmique par Facebook de la haine anti-Rohingya sur la plateforme dans la période qui a précédé la campagne de nettoyage ethnique menée en 2017 par l’armée du Myanmar.

Les réparations aideront la communauté rohingya à aller de l’avant et à reconstruire sa vie. Je vous demande d’offrir une réparation effective à la communauté rohingya, notamment en finançant les projets éducatifs d’un million de dollars américains, en présentant des excuses à la communauté et en apportant des changements adéquats à la plateforme Facebook afin qu’elle ne contribue plus jamais à des atteintes aussi graves aux droits humains.

Veuillez agréer, Monsieur Mark Zuckerberg, l’expression de ma haute considération.

* (C) Pétition : Rendons la réparation moins chère !

11.259 signatures sur 15.000 lien pour signer

Nous voulons des appareils faciles à réparer et bon marché. L’Europe doit intervenir.
Les entreprises ont rendu la réparation des appareils difficile et coûteuse. Et nous, consommateurs, en payons le prix. Pourquoi est-il moins cher d’acheter un nouveau téléphone que de remplacer un écran fissuré ? Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement changer la batterie au lieu d’acheter une nouvelle tablette ? Cela doit changer. La réparation devrait être l’option la plus facile et la moins chère... Cela représenterait une victoire pour votre porte-monnaie et pour l’environnement !
Notre solution pour votre droit à la réparation : un indicateur sur la façon dont les Européens peuvent mieux économiser !

La Commission européenne s’apprête à présenter un indice de réparabilité. Un label obligatoire à l’échelle européenne qui notera un produit en fonction de sa réparabilité. C’est un bon début, mais une information cruciale manquera toujours sur l’étiquette : le prix des pièces détachées. Nous devons savoir combien une réparation est susceptible de nous coûter. Si la réparation est facile, mais que les pièces sont coûteuses, nous avons le droit d’en être informé avant d’acheter.

L’indice ne classera les produits que sur la base de :

  • la disponibilité des pièces de rechange
  • les outils nécessaires pour effectuer la réparation
  • l’éco-conception du produit (guide sur la façon de réparer les appareils)

Si la Commission européenne n’inclut pas le prix des pièces de rechange, l’indice de réparabilité risque de devenir un label inutile. Rejoignez-nous pour demander à la Commission européenne d’inclure le prix dans l’indice de réparabilité !

Pourquoi l’indice de réparabilité est-il si important ? C’est bon pour votre porte-monnaie : Il permettra aux consommateurs d’économiser des millions d’euros.

  • C’est bon pour la planète : il permettra de réduire des millions de tonnes d’émissions de CO2, de limiter la perte de ressources précieuses et de biodiversité, et de prévenir la dégradation de l’environnement - il vous offre la transparence grâce à des informations fiables.
  • Il accroît la protection des consommateurs et leur confiance dans les produits et les marchés, ce qui se traduit en fin de compte par une consommation durable et une concurrence loyale entre les entreprises.
  • Il vous oriente vers les meilleurs produits en vous donnant un classement impartial.

Les consommateurs européens ne devraient pas avoir de mal à comprendre quels objets ménagers et électroniques peuvent être facilement réparés et lesquels ne le peuvent pas. C’est notre chance de mettre fin à la culture du jetable et de faire passer les droits des consommateurs et l’action climatique avant les profits des entreprises.
Montrez votre soutien en signant la pétition .

* (E) Pétition : Opposez-vous à l’exploitation minière en eaux profondes !

87.125 signatures sur 100.000 lien pour signer

Des fonds marins labourés, des espèces marines et des écosystèmes fantastiques menacés, le dérèglement du climat encore aggravé… … c’est la menace qui plane sur nos écosystèmes si l’extraction minière en eaux profondes est autorisée. Plus de 600 scientifiques et de nombreux États se sont déclarés contre, mais pas la France : Emmanuel Macron est favorable à cette industrie pourtant destructrice pour la vie marine comme pour le climat. Heureusement nous pouvons encore agir, mais le temps presse : dès 2023, l’extraction de minerais en haute mer pourrait être autorisée, et les chantiers risquent ensuite de se multiplier au fond de l’océan. Nous avons besoin de vous pour que cela n’existe jamais !

* (E) Pétition:Non aux abattages près des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan en Malaisie !

95.153 signatures sur 100.000 lien pour signer

Les forêts tropicales de Bornéo jouent un rôle important pour la préservation du climat et de la biodiversité. Sur place, les Autochtones agissent à leur conservation. Aujourd’hui, le peuple Iban souhaite empêcher l’exploitation de sa forêt encore intacte près des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan. Il fait appel à notre soutien.

La rivière s’écoule paisiblement au cœur de la forêt tropicale et de ses arbres imposants. Aux sons du cours d’eau s’entremêlent le bourdonnement des insectes et le chant des oiseaux. « Ce sont les voix de la jungle » écrit Matek Geram à propos d’une vidéo qu’il nous a envoyé sur WhatsApp depuis la Malaisie. Muni de son GPS, l’écologiste de l’organisation SADIA cartographie le territoire du peuple Iban. La forêt des communautés riveraines de l’Ulu Lioh et de l’Ulu Lijan est en danger et sa cartographie doit aider à la protéger. Contrairement à de nombreuses régions déjà détruites à cause des plantations et de l’exploitation forestière dans l’État du Sarawak, la nature y est ici encore intacte.

Mais aujourd’hui, une entreprise forestière est apparemment sur le point d’obtenir une concession d’exploitation. D’après Matek, les habitants n’en ont été informés qu’officieusement et n’ont pas été consultés. Ils pourraient perdre leur forêt, c’est-à-dire leur foyer et la source de leurs moyens de subsistance depuis les temps ancestraux. C’est pourquoi les habitants ont demandé l’aide de Matek, car il est devenu urgent de garantir les droits forestiers traditionnels des Iban devant les tribunaux.

Matek est un partenaire de Sauvons la forêt depuis de nombreuses années. Il est convaincu qu’une pétition internationale adressée au gouvernement et à l’administration forestière du Sarawak peut aider les Iban à préserver leur forêt. « Les forêts appartiennent aux communautés. Il ne faut pas y toucher », revendique Matek. Aidons les indigènes du peuple Iban à sauver leur forêt. Signez notre pétition !

Au gouvernement et à l’administration forestière du Sarawak, Madame, Monsieur,
les forêts tropicales jouent un rôle important dans la lutte contre la crise climatique ainsi que pour la préservation de la biodiversité. Par ailleurs, elles offrent un foyer et des moyens de subsistance à de nombreuses personnes, notamment aux populations autochtones. Malgré cela, une entreprise est apparemment sur le point d’obtenir une concession d’exploitation forestière le long des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan.

Cette zone fait pourtant partie du territoire ancestral du peuple indigène Iban.
Nous vous demandons de placer la préservation des droits fonciers traditionnels des peuples autochtones et la protection de la nature, du climat et de la biodiversité au-dessus des intérêts économiques. Merci d’empêcher l’exploitation forestière le long des rivières Ulu Lioh et Ulu Lijan et plus largement dans tout le Sarawak. Cela contribuera à renforcer votre réputation auprès des Autochtones, de la population en général et bien au-delà du Sarawak. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre haute considération.

* (E) Pétition : La Belgique doit plaider pour l’adoption d’une nouvelle Convention des Nations unies sur les droits des aîné·es !

6.741 signatures sur 20.000 lien pour signer

Pétition à l’attention d’Alexander De Croo, Premier ministre de Belgique
M. le Premier ministre, je suis profondément préoccupé·e par les multiples violations des droits humains dont sont victimes les personnes âgées dans le monde entier et par les risques spécifiques auxquels elles doivent faire face. Déshumanisé·es, négligé·es ou maltraité·es, les aîné·es sont victimes de stéréotypes, de préjugés, de discrimination et d’abus.

Les aîné·es en Belgique et ailleurs font face à l’exclusion sociale, économique et politique, ainsi qu’à des obstacles en matière de soins de santé et d’accès à d’autres services essentiels. Ils·elles sont victimes de stéréotypes, de préjugés et de discrimination en raison de leur âge. Ces croyances, jugements et attitudes discriminantes envers les aîné·es, aussi appelé âgisme, ont pour conséquence grave de mettre ces personnes à l’écart du reste de la société, empêchant de les considérer comme détentrices de droits. Nombre de ces questions ont déjà été largement soulevées par la société civile en Belgique, soulignant également leur nature universelle et la nécessité de solutions mondiales.

Amnesty International a par ailleurs documenté la façon dont les conflits, les crises et la pandémie de COVID-19 ont exposé les personnes âgées à des risques particuliers. Pendant la crise sanitaire, les maisons de repos se sont retrouvées dans l’angle mort des autorités, dont la réponse adéquate est arrivée beaucoup trop tard. Comme Amnesty l’a documenté dans quatre pays européens dont la Belgique, ceci a entrainé de nombreuses violations des droits humains des personnes âgées, dont le droit à la vie, le droit à la santé et le droit à la non-discrimination.

Les aîné·es sont par ailleurs souvent des victimes invisibles lors des conflits, négligé·es aussi dans les réponses humanitaires. Les forces gouvernementales et les groupes armés non étatiques attaquent et commettent des abus graves à l’encontre de civil·es âgé·es lors de conflits dans le monde entier, comme au Nigeria où les personnes âgées sont particulièrement prises pour cibles par Boko Haram ou dans le Haut-Karabakh où le conflit qui oppose l’Arménie à l’Azerbaïdjan cause des souffrances aux personnes âgées depuis des décennies. Au Myanmar et au Bangladesh, de nombreux·euses aîné·es déplacé·es dans les camps de réfugié·es ont été oublié·es par la réponse humanitaire.

Face à cela, la protection de leurs droits fondamentaux au niveau international reste faible. Comme souligné par une étude récente du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, les cadres existants en matière de droits humains n’offrent qu’une “protection (...) parcellaire et insuffisamment systématique, en droit et dans la pratique”. En effet, bien que la plupart des cadres juridiques internationaux en matière de droits humains comportent des obligations implicites à l’égard des personnes âgées, ces derniers ne les mentionnent pas expressément, rares sont les instruments qui font explicitement référence à la question de l’âge et ces instruments sont peu clairs quant à la manière de prévenir et réparer les violations spécifiques de leurs droits.

Il n’existe par ailleurs actuellement pas de traité international cohérent, complet et intégré qui protège spécifiquement les droits de ces personnes, alors même qu’il existe des traités qui protègent les droits spécifiques d’individus appartenant à d’autres groupes de personnes, qui ont besoin d’une protection particulière, comme par exemple les enfants, les personnes en situation de handicap, les personnes victimes de discrimination raciale et de genre.

Le Groupe de travail à composition non limitée sur le vieillissement, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, ainsi que de nombreux rapports produits par Amnesty International et d’autres organisations de référence ont indiqué qu’il conviendrait donc de renforcer, sans plus tarder, le régime international de protection des personnes âgées, notamment en adoptant un nouvel instrument international spécifique, visant à promouvoir et à protéger les droits et la dignité des personnes âgées.

En 2021, plus de 20 organisations de personnes âgées, des ONG et d’autres organisations de la société civile ont adressé une lettre à la ministre des affaires étrangères Sophie Wilmès pour plaider en faveur d’une participation active de la Belgique à la réalisation d’une convention des Nations unies sur les droits des personnes âgées. Des questions parlementaires à ce sujet ont également été posées à plusieurs reprises.

En tant qu’Etat membre de l’Organisation des Nations unies et État membre du Groupe de travail à composition non limitée sur le vieillissement, et en vertu de la Résolution de l’Assemblée générale des Nations unies du 20 décembre 2012, il est grand temps pour la Belgique d’agir.

Les autorités belges doivent :

  • participer activement aux négociations en cours ;
  • collaborer aux travaux confiés au Groupe de travail des Nations unies ;
  • et s’exprimer publiquement en faveur d’une nouvelle Convention des Nations unies sur les droits des personnes âgées qui permettra de respecter, protéger et rendre effectifs les droits humains des personnes âgées.
    Sincères salutations

* (E) Pétition : Dégrader la planète est un crime

73.258 signatures sur 75.000 lien pour signer

A la Commission européenne, au Parlement européen et au Conseil de l’Union européenne, nous demandons à l’UE de reconnaître le crime d’écocide dans sa directive relative aux crimes environnementaux [1]. Les crimes environnementaux ont un impact mondial et dépassent les frontières. L’UE et ses États membres doivent donc également s’engager à faire pression pour que l’écocide entre dans le champ d’application des crimes jugés par la Cour pénale internationale.

Pourquoi est-ce important ?
Faisons de la dégradation de notre planète, l’écocide, un crime. « L’écocide » concerne toute activité humaine dégradant gravement l’environnement, telle qu’une marée noire, la déforestation ou la pollution des sols. Nous devons immédiatement arrêter l’industrie fossile avant qu’elle ne continue à détruire notre planète. Nos député·e·s européen·ne·s voteront bientôt une réforme des lois sur les crimes environnementaux. L’écocide pourrait y être inclus.

Le Parlement européen bénéficie d’un élan fort pour la concrétisation de cette réforme. Mais nous connaissons le pouvoir de l’industrie fossile et de ses lobbyistes lorsqu’il s’agit d’influencer la politique. C’est là que nous intervenons. Montrons à nos eurodéputé·e·s que des milliers d’Européen·ne·s souhaitent que l’écocide devienne un crime. Si nous leur exprimons notre soutien, ils et elles pourront faire preuve de courage, voter pour faire de l’écocide un crime et protéger notre planète. Faites de l’écocide un crime !

Références : Conformément aux recommandations du groupe d’experts de Stop Ecocide International, ce crime doit être défini de façon forte, à savoir : un acte illégal ou gratuit commis en connaissance de la forte probabilité de causer des dommages environnementaux graves, étendus ou entraînant des conséquences sur le long terme.

* (E) Pétition : Signez l’appel des indigènes pour la sauvegarde de l’Amazonie

137.783 signatures sur 150.000 lien pour signer

À la communauté internationale, aux Nations unies, aux gouvernements des pays, des régions et des villes, aux institutions économiques, financières et scientifiques
Madame, Monsieur,l’Amazonie est, de loin, la plus grande zone forestière tropicale de la planète. Elle revêt une importance capitale pour la biodiversité, l’humanité, le climat et la Terre entière.

Pourtant, des zones toujours plus grandes de la forêt amazonienne sont déboisées et brûlées. Les défrichements et les centaines de milliers d’incendies, qui touchent ce territoire chaque année, détruisent la biodiversité, anéantissent les moyens de subsistance des populations autochtones, déséquilibrent les écosystèmes et menacent le climat mondial. Il est donc urgent de prendre des mesures efficaces pour mettre un terme aux déboisements et aux incendies, pour garantir la protection de l’Amazonie.

Les organisations indigènes d’Amazonie, réunies au sein de la COICA (Coordination des Organisations Indigènes du Bassin Amazonien), appellent la communauté internationale, les gouvernements des pays et des villes, les institutions économiques, financières et scientifiques, ainsi que toutes celles et ceux qui sont prêts à faire quelque chose pour la planète, à se joindre à elles.Ensemble, nous demandons que 80% de l’Amazonie soit protégée et conservée de manière permanente d’ici 2025. Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre respectueuse considération.

Copie à :
M. Francisco Calí Tzay, Rapporteur spécial sur les droits des peuples autochtones des Nations Unies,
Mme Inger Andersen, Directrice exécutive du Programme des Nations unies pour l’environnement,
Mme Yoka Brandt, Présidente du Conseil exécutif du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD),
M. Guy Ryder, Directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT),
Mme Li Yanduan, Présidente du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD),
M. Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS),
M. Qu Dongyu, Directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO),
Mme Patricia Espinosa, Secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC),
Mme Elizabeth Maruma Mrema, Secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique des Nations unies (CDB),
Mme Audrey Azoulay, Directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO)

* (E) Pétition : Vos éoliennes contiennent-elles du balsa d’Amazonie ?

65.475 signatures sur 100.000 lien pour signer

Aux sociétés Siemens Gamesa, General Electric, LM Wind Power, Vestas, Nordex et Enercon : Madame, Monsieur, des organisations de protection de l’environnement et des associations indigènes d’Équateur dénoncent le pillage des ressources naturelles de balsa en Amazonie équatorienne. Les abattages, le plus souvent illégaux, y causent de graves dommages écologiques ainsi que des conflits au sein des communautés autochtones.

Environ trois quarts du bois de balsa commercialisé dans le monde est destiné à l’industrie de l’éolien. Pourtant, les fabricants d’éoliennes, comme vous, passent largement sous silence son utilisation dans leurs rapports d’entreprise et de durabilité. Le balsa est manifestement un sujet que l’industrie veut dissimuler au public.

Nous demandons au secteur de l’énergie éolienne de faire preuve de transparence quant à sa consommation et à ses chaînes d’approvisionnement de balsa, et d’exclure complètement celui provenant de sources illégales, de l’exploitation abusive des forêts tropicales et des territoires indigènes. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (C) Pétition : Pour une VOIE CYCLABLE dans la vallée de la ROYA-Eurovélo 8

3.305 signatures sur 5.000 lien pour signer

A l’attention de M. le Président du Conseil départemental 06, M. le Président de la CARF, M. Sébastien Olharan, Conseiller départemental 06, Madame et Messieurs les Maires de Breil-sur-Roya, Saorge, Fontan, La Brigue, Tende, M. le Président du parc national du Mercantour, M. le Préfet Reconstruction des vallées, M. le Préfet Montagne, M. le Préfet des Alpes-Maritimes, M. le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

La vallée de la Roya a reçu de plein fouet l’impact tragique du réchauffement climatique le 2 octobre 2020 avec la tempête Alex, un impact humain, économique, et paysager… Les habitant.es constatent tous les jours depuis lors un formidable travail de reconstruction des routes dévastées.

Pourtant, si nous voyons un développement remarquable du vélo et du vélo à assistance électrique chez les habitant.es et les touristes, dans la vallée de la Roya comme partout… l’implantation d’une piste cyclable ne semble pas avoir été prévue avec la reconstruction de la route ! Pourtant, la Vallée est sur l’itinéraire de l’Eurovélo 8, « La Méditerranée à vélo » et la partie qui nous concerne

Pourtant, la Préfecture annonçait dans le cadre de la consultation citoyenne en janvier-février 2022 : « Les collectivités territoriales, les opérateurs privés et l’État sont engagés dans une reconstruction résiliente et durable ». A cette occasion les habitant.es de la vallée de la Roya ont affirmé leur volonté d’une reconstruction la plus écologique possible et durable, une sorte de « vallée verte »…

Pourtant, les Collectivités, Conseils départemental et régional, Communauté d’agglomération et son office de tourisme communautaire, ainsi que le parc national du Mercantour visent à privilégier un tourisme vert et durable et mettent en avant « slow tourisme » et activités touristiques « durables » sur le territoire. Enfin, le Gouvernement prolonge les aides à l’achat des vélos à assistance électrique… La sécheresse et la canicule accrues cet été pointent toujours plus l’urgence climatique.

Elles impliquent ainsi la nécessité absolue de changer en priorité de mode de transport, pour ne pas aggraver plus encore les conséquences : miser sur les transports en commun et les transports « doux » est devenu une urgence évidente.

Il y a URGENCE à mettre en place une politique cohérente d’aménagement du territoire qui prend pleinement en compte ce moyen de déplacement, pour le tourisme, et pour les habitant.es ! Nous, habitant.es, associations, et professionnels de la vallée de la Roya, vous demandons instamment de vous concerter pour mettre en œuvre les différentes déclarations des responsables, dont celles de M. le Président de la République :

- Un itinéraire cyclable aux normes actuelles dans la vallée de la Roya tout au long de la RD 6204, de la frontière au sud de Breil-sur-Roya jusqu’au col de Tende par la piste des 46 lacets ;

- dans l’attente de l’achèvement des travaux nécessaires, de mettre en place toutes les dispositions permettant d’assurer la sécurité des usagers partageant la route ;

- d’équiper les autres routes de la vallée de la signalisation nécessaire pour rappeler aux véhicules motorisés qu’ils doivent partager la route, et des équipements de sécurité aux points dangereux pour la sécurité de tous.

Nous vous demandons bien sûr de construire cette politique d’aménagement du territoire en concertation avec nos voisins italiens, afin que la vallée soit cyclable depuis son embouchure jusqu’à sa source, avec la possibilité de rejoindre le Piémont italien soit par le train avec son vélo, soit, à la belle saison de mai à octobre, par la piste des 46 lacets via le col de Tende.

Dans cette vallée de la Roya si durement touchée par le réchauffement climatique, nous avons la grande chance d’avoir notre « ligne de vie » : le TRAIN ! Faut-il le rappeler ? Le train et le vélo forment le couple parfait des modes de transport « doux » et durables dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique. Pour cela les perpétuelles annonces doivent être enfin suivies d’effets tangibles : remise en état de la voie ferrée et électrification en vue d’une desserte efficace de l’étoile ferroviaire de Breil pour rendre le train réellement attractif.

Nous ne demandons en réalité que le respect et la mise en conformité avec la Loi n° 2019-1428 du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités…, ainsi que la réalisation jusque dans notre vallée de la Roya du beau « plan vélo 2028 : Faciliter la pratique du vélo pour tous » par le Conseil départemental 06. Nous vous remercions de prendre en compte au plus tôt cette demande de bon sens, à l’heure où le Vivant étouffe et où la terre s’assèche à vue d’œil…

Associations et professionnels signataires : Bureau des guides du Mercantour - Collectif citoyen de Saorge - Comité de défense de la ligne Nice-Breil-Tende-Cuneo-Ventimiglia – Croc montagne (Tende) - Curieux de nature 06 (Tende) – Demaria Philippe, accompagnateur VTT & montagne - Duffey Thibaud, accompagnateur VTT & montagne - Foyer rural de Tende-La Brigue – Lou Pountin (Saorge, restaurant et ass.) – Neige & Merveilles (Gite d’étape, Tende) - Recycle 2D (Breil) – Remontons la Roya (ass.) – R.E.N. (Roya Expansion Nature, ass.) – R.E.T. (Roya En Transition, ass.) - Roya citoyenne (ass.) – « Merveilles, Gravures & Découvertes », Syndicat local d’accompagnateurs montagne – Vigilance Mercantour (ass.) – Vélo Club de la Haute-Roya - VTT MTB Mercantour (Breil)

* (E) Pétition : Stop à l’incorporation obligatoire de nourriture dans les carburants !

51.382 signatures sur 100.000 lien pour signer

Aux gouvernements des États-Unis, de l’Union européenne et de ses pays membres, du Brésil, de l’Indonésie, de la Chine, du Canada, de la Malaisie et de l’Argentine. Madame, Monsieur, nous vous demandons de mettre immédiatement fin à l’obligation légale d’incorporation de biocarburants, produits à partir d’huiles végétales, de céréales et de plantes sucrières, au diesel et à l’essence.

Les Nations Unies (UN) mettent en garde contre une pénurie dramatique de denrées de base telles que les céréales et les huiles alimentaires, contre une nouvelle hausse importante des prix et même contre des famines sur fond d’émeutes. Dans ces conditions, mettre de la nourriture dans le réservoir des véhicules est totalement irresponsable.

Les biocarburants ne sont par ailleurs ni écologiques ni neutres pour le climat. La culture des matières premières nécessaires à leur fabrication nécessite d’immenses surfaces de terres ainsi que d’énormes quantités d’engrais, de pesticides et d’eau. Les monocultures stériles sont l’une des principales causes de l’extinction des espèces. Sous les tropiques, la culture de palmiers à huile, de soja et de canne à sucre pour les biocarburants exacerbe la déforestation. Je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de ma haute considération.

* (E) Pétition : Non à l’extension de l’aéroport Nice Côte d’Azur : une bombe climatique et sanitaire

3.226 signatures sur 4.000 lien pour signer

Destinataires : Mme Barbara Pompili (Ministre de la Transition écologique), M Bruno Le Maire (Ministre de l’économie, des finances et de la relance), M Jean-Baptiste Djebbari (Ministre délégué chargé des Transports)

Nous demandons une reconsidération complète et une annulation des projets d’extension des aéroports français, dont celui du T2.3 de l’aéroport Nice Côte d’Azur (+50% de trafic de 2019 à 2030). Une action en justice est en cours contre ce projet T2.3 niçois, au TA de Marseille, et portée par des associations, que les citoyens peuvent soutenir.

Pourquoi faut-il agir maintenant ?

Au rythme actuel des rejets de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, notre ‘’budget carbone’’ visant à limiter le réchauffement global à deux degrés d’ici la fin de ce siècle aura été épuisé dans moins de vingt ans ! Parmi les causes de réchauffement figurent en bonne place les émissions du trafic aérien mondial : l’aéronautique est ainsi responsable de 7,4% de l’empreinte carbone de la France (B&L Evolution, juillet 2020). La Convention Citoyenne pour le Climat ne s’y est pas trompée, lorsqu’elle a proposé l’arrêt de toute extension d’aéroport (proposition SD-E3).

Or des projets climaticides d’extension sont toujours portés par les autorités publiques, alors même que l’Etat français pourrait être reconnu coupable d’inaction climatique : ainsi le T4 de Roissy Charles de Gaulle, le T1 de Marseille Provence, et … le T2 de Nice Côte d’Azur.

A Nice, le Préfet des Alpes-Maritimes a ainsi signé le permis de construire de l’extension du T2 le 13 janvier 2020, en dépit des alertes citoyennes et associatives sur les impacts directs et indirects de ce projet visant l’augmentation de 50% du trafic passager entre 2019 et 2030 (soit plus de 7 millions de passagers supplémentaires chaque année). Ce même représentant de l’Etat a également ignoré les conclusions de l’enquête publique, à l’issue de laquelle 75% des avis exprimés étaient opposés au projet. Cet aveuglement interroge, surtout lorsque Christian Estrosi lui-même, maire de Nice et président de la Métropole Nice Côte d’Azur, a apporté son soutien au projet, tout en déclarant l’état d’urgence climatique, en adhérant au pacte finance-climat et en déclarant - en janvier 2021 - se fixer un objectif de réduction de -55% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 (vs 1990).

Avec le soutien de Greenpeace Groupe local de Nice, Alternatiba 06 et ANV COP21 Nice, nous dénonçons cette incohérence, fondée sur une hypocrisie climatique hallucinante, à l’image de l’annonce de greenwashing d’un ‘’aéroport neutre en carbone’’, alors qu’il ne compense que 1% de ses émissions GES (décollages et atterrissages inclus). A l’image d’un maire se disant ‘’protecteur’’ de ses concitoyens, alors que la pollution atmosphérique tue prématurément 500 Niçois chaque année, et que l’aéroport urbain de Nice est un très important contributeur de polluants.

Afin de mettre un terme à cette déraison, qui consiste aujourd’hui à attendre impatiemment la reprise de l’activité aérienne pré-covid et le retour d’une croissance continue du trafic, des associations et des citoyens se sont levés pour tenter de faire annuler le permis de construire qu’ils jugent illégal. Deux associations locales – FNE06 et CAPRE06 – assistées du collectif citoyen 06, ont déposé un recours en annulation auprès des instances judiciaires administratives. L’affaire est en attente de jugement au Tribunal administratif de Marseille. Ces porteurs d’action étant bénévoles, ils proposent à leurs concitoyens de les soutenir financièrement afin de couvrir les frais de leur défense par le cabinet Huglo-Lepage à Paris. Vous pouvez les aider en participant au crowdfunding Helloasso : Un réel soutien pour le climat et l’avenir de nos enfants. Chaque euro compte ! Merci pour eux.

* (C) Pétition : Oui à la ligne de train Cahors-Capdenac-Figeac

1.081 signatures sur 1.500 lien pour signer

Ligne Cahors Capdenac : un moratoire sur la Voie Verte pour ne pas compromettre notre futur ! Habitants de la vallée du Lot, des villes et villages à proximité de la ligne ferrée Cahors Capdenac, nous demandons un moratoire sur le projet de déferrement de la voie ferrée et une étude actualisée du potentiel de cette ligne.

Depuis que le projet de Voie Verte a été monté, le contexte mondial s’est considérablement transformé : Covid, accélération du dérèglement climatique, guerre en Ukraine, explosion des prix du carburant, inflation… Notre pouvoir d’achat se rabougrit de jour en jour et notre dépendance à la voiture devient un fardeau. Le car, sur nos routes sinueuses, n’est une solution ni sûre, ni confortable, ni efficace en temps de trajet.

Le vélo ? Nous sommes pour ! Il existe des tracés alternatifs de voies cyclables le long du Lot et nous proposons que le projet de Voie Verte soit plutôt réorienté vers la ligne déjà déferrée en aval de Cahors (Cahors-Fumel). Entre Cahors et Capdenac, le vélo ne peut répondre à nos besoins quotidiens et l’économie de nos départements ne peut pas reposer exclusivement sur le tourisme. Lycéens, étudiants, salariés, personnes en recherche d’emplois.. : toutes et tous, nous avons besoin du train. Nous ne voulons plus appartenir à des territoires enclavés. Nous voulons nous aussi bénéficier du TER à 1€ chaque premier week-end du mois sur cette ligne :
- Parce qu’elle nous permet d’accéder à des services que nous ne trouvons que dans ces villes : études, administratif, médical, et bien sûr nos emplois.
- Parce qu’elle nous permet de poursuivre nos voyages grâce à aux deux gares terminus reliées à des lignes nationales et régionales.

C’est pourquoi nous demandons :
1/un moratoire sur le projet de voie verte
2/une étude détaillée du potentiel voyageurs et fret de la ligne.
3/un débat public transparent prenant en compte la dimension de projets de territoires viables sur le long terme

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* (C) Pétition : Taxons les superprofits 148.904 signatures sur 150.000 lien pour signer Pétition lancée par NUPES/LFI Notre pays est confronté à une hausse historique des prix. L’inflation dépasse déjà les 6 %. L’impact est considérable pour des millions de jeunes, de salariés, de chômeurs ou de retraités qui ne parviennent tout simplement plus à vivre, à se nourrir ou à se déplacer. Il y a urgence !

Dans le même temps, des grandes multinationales profitent de cette situation. La hausse des prix leur a permis de générer des profits records depuis plusieurs mois. Au premier semestre de l’année 2022, les bénéfices de Total s’élèvent par exemple à 18,8 milliards d’euros… alors que cette entreprise n’a payé aucun impôt en France en 2019 et en 2020. C’est insupportable !

Face à cette situation, l’Espagne, l’Italie ou le Royaume-Uni ont mis en place une taxe sur les super-profits. Le secrétaire général de l’ONU s’est dit favorable à une telle mesure. Les députés de la France insoumise et de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale (NUPES) ont également fait cette proposition à l’Assemblée nationale. Mais Emmanuel Macron, le président des riches, refuse toujours cette mesure pourtant simple à mettre en place.

Nous demandons que soit votée dans les plus brefs délais une loi de taxation des super-profits des multinationales. C’est une revendication de justice face à la situation sociale que connaît aujourd’hui notre pays.

* (C) Pétition : Stoppons les banques

37.399 signatures sur 50.000 lien pour signer

Nous nous dirigeons vers le chaos climatique. À pleine vitesse. Mais il y a un secret que les banques ne veulent pas que vous sachiez : il existe en fait un frein d’urgence. Il y a une règle qui à elle-seule pourrait transformer les projets à énergies fossiles en un investissement cauchemardesque, et empêcher réellement le financement de nouveaux projets de combustibles fossiles.

Avec cette règle, chaque euro investi dans un projet à énergies fossiles devra être couvert par un autre euro, qui en cas de problème servira à couvrir les éventuelles pertes futures. Un “filet de sécurité”, qui double les coûts, assuré par ces géants de la finance eux-mêmes, qui ne pourront plus compter sur les renflouements d’argent public de l’État, autrement dit votre argent.

La bonne nouvelle ? Il y a une VRAIE chance que les législateurs adoptent la proposition : le vote des députés européens est pour bientôt, et il faut impérativement leur faire entendre un autre son de cloche que celui des lobbies de la finance ! Pouvez-vous dire aux députés européens de modifier ces règles d’investissements dans les énergies fossiles pour empêcher les banques de littéralement brûler la planète ?

Les grands groupes pétroliers et gaziers engrangent des bénéfices historiques grâce à la hausse des prix de l’énergie et ce, après avoir bénéficié d’énormes renflouements d’argent public, à vos frais donc. Et devinez qui d’autre se frotte les mains ? Les banques et les assureurs ! Sans leur soutien, aucun projet à énergie fossile ne pourrait voir le jour. Mais dans leur course cupide et égoïste, ils se moquent de mettre en danger la survie de notre économie et de notre planète.

Non seulement il faut les arrêter mais en plus, ce n’est pas aux gens, comme vous et moi, de payer pour les dégâts, malheureusement inévitables. C’est aux banques et assureurs d’assumer l’entièreté de leurs pertes, pas aux citoyens qui en sont déjà victimes. En changeant les règles pour les banques et les assureurs, le Parlement européen a le pouvoir de rendre la finance responsable de la crise climatique trop coûteuse et trop risquée à financer.

La règle est déjà là, nous demandons aujourd’hui aux députés européens d’intégrer les projets à énergies fossiles dans la liste des investissements à “haut-risque". Le vote est pour bientôt, nous devons agir vite : Dites aux députés européens : Pas avec notre argent ! Changez les règles sur les investissements pour contraindre les banques et les assureurs à abandonner les énergies fossiles.

Avec des centaines de milliers d’Européens, d’ONG partenaires, de scientifiques et de responsables politiques, vous vous êtes battus pour une Europe plus verte - et nous en avons fait du chemin. Nous avons poussé l’UE à adopter des lois plus strictes sur les investissements verts, et forcé la BCE à revoir ses investissements les plus polluants au sein de sa politique monétaire. Aujourd’hui, la règle du "Un pour Un" peut mettre un terme au comportement criminel des banques et assureurs.

Unissons à nouveau nos forces et poussons les élus qui sont là pour nous représenter à mettre au pas les banques et les institutions financières, une fois pour toutes : Dites aux députés européens d’adopter la règle du "Un pour Un" et de faire assumer aux banques et aux assureurs leur responsabilité face au chaos climatique.

* (E) Pétition : Doctolib n’est pas très sérieux sur le secret médical...

32.954 signatures sur 50.000 lien pour signer

Pétition adressée à : Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL)
Enquêtez sur Doctolib et assurez-vous que l’entreprise respecte la loi sur la protection de nos données.

Vous avez peut-être déjà utilisé Doctolib, ce service en ligne qui vous permet de programmer un rendez-vous médical sans avoir à appeler le cabinet de votre médecin. Pratique. Mais Doctolib prend un peu trop ses aises avec nos données médicales qui sont pourtant extrêmement sensibles !

Même si vous ne prenez pas de rendez-vous, Doctolib enregistre chaque clic et chaque interaction faite sur le site ou sur l’application mobile. Tout l’historique des pages visitées est collecté. Et certaines de ces données sont envoyées directement aux États-Unis sans être anonymisées, ce qui pourrait être contraire au règlement général sur la protection des données (RGPD).

Pourquoi Doctolib collecte autant de données ? Que fait Doctolib de ces données très sensibles ? Sont-elles revendues ? Nos données médicales ne sont pas à traiter avec autant de légèreté. L’entreprise doit se plier au droit et faire preuve de transparence. Dites à la CNIL d’enquêter sur Doctolib et de forcer l’entreprise et à respecter la loi sur nos données privées. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a le devoir de s’assurer que l’humain passe avant le profit sur internet.

Nos données médicales personnelles sont plus que sensibles, il en va du secret médical, de notre vie privée, de nos droits et libertés. Comment les protéger si n’importe quelle entreprise peut y accéder pour les utiliser à des fins commerciales. Doctolib a déjà été sollicité sur ce sujet, notamment par le chercheur David Libeau. Mais l’entreprise n’a que très partiellement répondu à ses questions, ce qui l’a poussé à saisir une nouvelle fois la CNIL. Il l’avait déjà saisie en juillet 2021 mais la CNIL n’avait pas répondu.

Si des milliers d’entre vous le rejoignent pour demander à la CNIL de faire appliquer le droit, nous pouvons mettre fin à ce qui pourrait bien être une violation flagrante de nos vies privées. C’est aussi l’occasion d’envoyer un message fort aux géants de la tech : nos données sont à nous et à personne d’autre. Dites à la CNIL que Doctolib n’est pas au-dessus des lois !

Il y a un peu plus d’un an, la mobilisation massive de membres de SumOfUs comme vous, avait déjà poussé la CNIL à ouvrir une enquête sur le réseau social Clubhouse, qui aspirait nos données personnelles même si vous n’étiez pas inscrits sur l’application.
Votre mobilisation paye. Alors encore une fois : Demandez à la CNIL d’ouvrir une enquête sur Doctolib.

* (C) Pétition : Des trains de nuit pour connecter la péninsule ibérique et l’Europe centrale !

8.168 signatures sur 10.000 lien pour signer

Back-On-Track a lancé cette pétition adressée à gouvernement français et à 2 autres
En mars 2020, les derniers trains de nuit ont circulé entre Lisbonne, la capitale portugaise, Madrid, la capitale espagnole, et Hendaye, à la frontière française. En mai 2020, la compagnie espagnole Renfe a annoncé la fin de ces liaisons. Cette politique va à l’encontre de la tendance actuelle en Europe, où les trains de nuit connaissent un regain d’intérêt, avec la remise en place de nouvelles liaisons telles que Rome - Amsterdam, Vienne - Munich - Paris, Barcelone - Amsterdam, Berlin - Bruxelles - Paris. Le gouvernement allemand a proposé à l’automne 2020 une stratégie « TEE 2.0 » visant à reconstituer un vaste réseau de trains de jour et de nuit en Europe centrale en associant des opérateurs nationaux partenaires.

La disparition de ces liaisons pose de nombreux problèmes :
* cela va induire un report de trafic vers le transport aérien, qui constitue un important contributeur au changement climatique en accroissant le volume de gaz à effets de serre émis dans l’atmosphère ;
* cela va réduire en parallèle la palette de choix de mobilités pour les clients, les privant en particulier des alternatives les plus écologiques et confortables pour les longs trajets.

Pourquoi est-ce si important ? La relance des trains de nuit est avant tout motivée par l’urgence climatique qui impose d’agir rapidement. Nous déstabilisons l’équilibre physique de la planète à un rythme alarmant, c’est pourquoi il est nécessaire d’agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre à très court-terme avant que les boucles de rétroaction ne rendent le dérèglement climatique incontrôlable. L’avion constitue l’un des modes de transport les plus populaires, mais apparaît également comme l’un des principaux coupables du changement climatique. On estime sa contribution à 5% environ du total des émissions, et sa part augmente très rapidement en raison de la croissance soutenue du trafic aérien. Les émissions du secteur aérien concernent le dioxyde de carbone (CO2), les oxydes d’azote (NOx), des particules ainsi que de la vapeur d’eau qui forme des traînées de condensation. Ces polluants affectent donc notre environnement dans son ensemble, mais sont également néfastes pour la santé des populations vivant à proximité des aéroports.

Avantages et importance des trains de nuit
* Respect du climat et de l’environnement - Le train est l’un des modes de transport les plus écologiques, puisqu’il émet peu de gaz à effet de serre. Cet avantage sera d’autant plus important que les pays opteront pour des sources d’énergie faiblement carbonées pour produire leur électricité. En Espagne, les chemins de fer sont alimentés intégralement par des énergies renouvelables certifiées, ce qui se traduit par des émissions pratiquement nulles. De plus, le train présente d’autres avantages environnementaux, tels que la réduction de la pollution sonore et la limitation de l’artificialisation de terres pour l’aménagement des aéroports.
* Confort - Bien qu’il ne soit pas toujours plus rapide que l’avion, son principal concurrent sur les déplacements long-courrier, le train propose un espace par passager plus important et constitue un moyen de transport plus confortable.
* Flexibilité - Le train convient à différents types de déplacements (loisirs, famille, affaires) et répond à un large éventail de besoins. Des jeunes qui voyagent au meilleur prix aux hommes d’affaires qui exigent un confort avec des cabines privées connectées, en passant par les familles qui peuvent réserver un compartiment couchette entier.
* Simplicité du voyage - Les trains de nuit permettent de s’épargner les pertes de temps et les inconvénients du voyage en avion : nécessité de se rendre à l’aéroport, souvent en dehors de la ville (ce qui ajoute du temps et des frais) ; nécessité d’enregistrer les bagages à l’avance ; temps d’attente des bagages à l’aéroport de destination. Avec les trains de nuit, vous pouvez arriver le matin directement au centre-ville, en évitant les embouteillages pour entrer dans la ville (si vous utilisez une navette ou une voiture). Cela peut permettre d’économiser une nuit d’hôtel et d’éviter les nuits raccourcies ou passées à l’hôtel près de l’aéroport lorsque les vols partent très tôt le matin (ce qui est très souvent le cas avec les offres low-cost).
* Portée - Le train de nuit permet de parcourir de plus longues distances que les trains à grande vitesse de jour.
* Expérience - C’est une façon unique et conviviale de voyager : les rencontres se font facilement et parler avec votre voisin de couchette devient très naturel. Cela permet de faire de nouvelles rencontres, ce qui n’arrive plus si souvent en avion, en bus ou même avec les trains de jour. C’est aussi un bon moyen de concilier des agendas contraints par le travail ou les études, et les longs trajets qui devraient sinon être réalisés en train de jour.
* Investissement dans les infrastructures - Contrairement aux trains à grande vitesse, les trains de nuit ne nécessitent pas d’investissements élevés dans de nouvelles infrastructures étant donné que le réseau existe déjà. Au contraire, il ne s’agit que d’investir dans du matériel roulant lorsque cela le nécessite (ce qui permet de réduire les coûts).
* Viabilité économique - Le train de nuit dispose d’une capacité d’emport importante et d’un taux de remplissage élevé. Il est donc économiquement viable, comme le prouvent les Chemins de fer fédéraux autrichiens (ÖBB, le principal opérateur ferroviaire autrichien), qui est l’une des rares compagnies à avoir renforcé son offre de trains de nuit « NightJet ».
Un document (en anglais) contenant des arguments et des explications supplémentaires est disponibleici.

Nous demandons aux gouvernements espagnol, français et portugais (ce dernier prenant actuellement la présidence du Conseil de l’UE, au premier semestre 2021 - Année européenne du rail) d’envisager non seulement de relancer la liaison ferroviaire de nuit Portugal-France, récemment interrompue, mais aussi de l’étendre jusqu’au principaux hubs ferroviaires européens, comme Paris (ou potentiellement Bruxelles), au lieu de se limiter à Hendaye, à la frontière franco-espagnole.

Nous demandons aux gouvernements espagnol et portugais d’exiger de leurs compagnies ferroviaires nationales de se joindre à la déclaration du 8 décembre 2020 conjointe de la SNCF (France), la DB (Allemagne), les ÖBB (Autriche) et les CFF (Suisse), en faveur de la constitution d’un nouveau réseau européen de trains de nuit.

En outre, nous demandons au gouvernement espagnol d’étudier de nouvelles liaisons ferroviaires de nuit entre la péninsule ibérique et le centre et l’est de l’Europe, notamment Barcelone-Francfort-Berlin et Barcelone-Milan-Rome.

* (C) Pétition : NON A LA FERMETURE > LIGNE NICE BREIL DURANT LES TRAVAUX DU TUNNEL DE BRAUS .... OUI A LA CREATION DE NAVETTE NICE L’ESCARENE

1006 signatures sur 2.500 lien pour signer

Destinataire(s) : Prefet des Alpes Maritimes, Président de la Région Sud PACA, Directeur SNCF Réseau Marseille
SNCF Réseau va entreprendre en 2023 le chantier de restauration du tunnel du col de Braus situé entre les gares de TOUET DE L’ESCARENE et SOSPEL. Durant les travaux sur 2 ans, la SNCF fermera la section NICE > BREIL

La circulation routière aux heures de pointe est paralysée pendantplus de 4 heures entre CONTES, DRAP et NICE et retour. Le maintien des circulations TER entre NICE-VILLE et L’ESCARENE est indispensable pour les déplacements quotidiens de toutes les populations des vallées des Paillons y compris le lycée de FONTANIL-DRAP.

Quelques aménagements techniques permettent de faire de la gare de L’ESCARENE une gare terminus et origine pour la circulation des TER NICE > L’ESCARENE. Populations, élus et associations exigent la création de navettes NICE > L’ESCARENE pendant la durée des travaux du tunnel de Braus, et, la signature de la convention France/Italie qui pérennisera la ligne.

Auteur : NALLINO Germain

PS : Cette pétition est totalement à côté de la plaque ! La réparation du tunnel peut parfaitement se faire sous circulation, de diverses manières d’ailleurs, puisqu’il est en profil en long en toit et au gabarit double voie (qui était indispensable pour l’aération des locomotives à vapeur sur tous les ouvrages longs) sur toute sa longueur.

Il est donc possible avant de réparer la voûte, puisque le gabarit de plateforme existe, de mettre à double voie tout ou partie du tronçon entre les gares de Touet et de Sospel, ce qui ultérieurement fera un beau tronçon de croisement/déplacement sur plus de 8km .

Car la SNCF décide de fermer la circulation pour faire des économies de bouts de chandelle (refuser de faire maintenant un investissement qui lui coûtera plus cher plus tard et emmerdera les usagers deux fois plus longtemps !). Elle explique qu’elle ne peut pas faire les travaux en maintenant la circulation car elle doit stationner les trains de travaux sur la seule voie PARCE QU’ELLE A STUPIDEMENT VENDU LES ESPACES FERROVIAIRES A SOSPEL ET A L’ESCARENE SANS AVERTIR PERSONNE DES PROBLEMES QUE CELA CREERAIT ULTERIEUREMENT !

Si on maintient la disponibilité d’une voie à certaines heures, vu le faible trafic actuel, on n’aura nul besoin de compliquer l’exploitation de la ligne, que la SNCF actuellement n’est même pas capable d’assurer correctement !

Ce qui est nécessaire, comme sur toutes les lignes ferroviaires de voyageurs qui fonctionnent bien, c’est d’une exploitation cadencée à 1 train par heure, à la même heure dans chaque sens entre Nice et Tende (voire Limone pour la correspondance avec la ligne électrifiée italienne), en retrouvant la vitesse normale de construction de 80km/h. Une fois l’offre stabilisée, les clients reviendront s’ils savent pouvoir compter sur un service efficace et suffisamment confortable (wifi à bord !) pour leur permettre de choisir du temps rentable sur le train plutôt que du temps perdu en voiture !