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Pétitions AID 2020-04

Période jusqu’au samedi 21 Mars 2020

samedi 7 mars 2020, par JMT

Nous vous suggérons de suivre :

a) les pétitions du site CYBERACTEURS avec qui nous sommes en contact depuis plus de 19 ans, pour adhérer ou faire un don . Voir la vidéo de l’AG 2018

b) les pétitions du site AVAAZ qui à l’usage s’est avéré plus ouvert que ne le laissaient supposer ses bailleurs de fonds US initiaux. Allez sur les sites et inscrivez-vous pour signer plus facilement les pétitions quand vous en recevez l’avis directement par mél

c) les autres textes à signer particulièrement recommandés se trouvent ci-après :

* SOMMAIRE

- Dernière heure :
* GIRI YAMA et AID pour le HOBBIT BAR

- Référendum Privatisation Aéroports de Paris
* vidéo des Gilets Jaunes de Breil-sur-Roya
* site du conseil constitutionnel

- Les pétitions nouvelles

- Collectes de dons (soutenues par AID)

voir l’interview de Delia Buonomo par JMT et les propositions de relance dans les newsletters 2019

- Initiatives Citoyennes Européennes (en cours pour signature)

- Les pétitions en cours

- Les pétitions stagnantes

- Les pétitions vouées à disparaître

- Les pétitions fermées
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* DERNIERE HEURE :

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* AID et GIRY YAMA s’associent pour aider le HOBBIT BAR de Vintimille

L’Association GIRI YAMA de Tende (06430) apporte depuis 15ans une aide en nature et en argent à des écoles,d’abord au Mali, puis depuis la guerre au Sahel, au Burkina Faso. D’autres projets sont envisageables pour le soutien aux femmes et aux enfants . AID lui a proposé un soutien technique pour développer ses activités en recherchant des donateurs imposables intéressés à soutenir ces actions.
Mais GIRY YAMA ne peut être insensible à la détresse des migrants, dont certains viennent d’Afrique de l’ouest, qui se retrouvent à Vintimille, tentant de franchir la frontière française à une dizaine de kilomètres d’où ils sont durement refoulés et renvoyés en centre ville de Vintimille. Là où il n’existe plus guère qu’un lieu accueillant, notamment pour les femmes et enfants, le bar Le Hobbit situé près de la gare ferroviaire par où souvent les migrants arrivent, bar tenu par Delia Buonommo, surnommée par eux "Mama Africa"..

Boycotté par les clients de Vintimille, le bar ne tourne plus que par les migrants et par les militants associatifs qui y vont chaque fois qu’ils le peuvent. Malheureusement cela ne couvre plus les frais fixes et il faut donc trouver 2000€ par mois. Le challenge entre GIRI YAMA et AID est de faire en sorte que GIRI YAMA récolte 2000€ par mois pour en reverser 1000€ sur le crowdfunding pour Delia (ainsi chacun peut suivre en ligne sur le site du crowdfunding https://www.gofundme.com/f/solidarieta-per-delia)

Donc si vous êtes imposables, merci de faire un virement sur le compte bancaire de GIRI YAMA et de signaler votre virement avec vos coordonnées pour le reçu-don à jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr
IBAN : FR76 1910 6006 2543 5148 5308 946 Code BIC : AGRIFRPP891
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REFERENDUM D’INITIATIVE PARTAGEE : AEROPORTS DE PARIS

a) Mise à jour : pour en savoir plus voir la vidéo réalisée par les gilets jaunes de la Roya. Pour les contacter : Jacques COTTA Tel : +33607878668

b) Pages du RIP sur le site du Conseil Constitutionnel

Au 4 mars 2020, 1 116 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 19 février 2020, 1 100 000 soutiens ont été enregistrés sur le site internet du ministère de l’intérieur dédié à cette procédure.

Au 05 février 2020, 1 085 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 08 janvier 2020, 1 057 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 04 décembre 2019, 1 000 500 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 06 novembre 2019, 924 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 23 octobre 2019, 896 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 25 septembre 2019, 822 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 11 septembre 2019, 761 000 soutiens ont été exprimés au référendum d’initiative partagée

Au 30 Juillet le Conseil Constitutionnel annonçait 615.000 soutiens au RIP dont 97% validés. A compter de fin août l’annonce des chiffres deviendra bihebdomadaire.

* Le site gouvernemental pour signer

* Historique de la procédure sur Wikipédia

* Campagne publique ? Les parlementaires coalisés pour ce référendum exigent qu’il y ait une vraie campagne sur les chaînes de l’audiovisuel public. Le CSA devrait se prononcer ce mardi. Mais les pro-référendums ne se font pas d’illusions.

* Vidéo : Le point sur le RIP sur Aéroports de Paris par Public Sénat

* Vidéo : BUG et vote RIP ADP aéroport de Paris par Laurent Colas
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* (C) Pétition : Pour la fin des privilèges des députés et ministres

7.243 signatures lien pour signer

Nous sommes tous dans le même navire et tous d’accord que les ministres et les députés, et sans oublier nos, sénateurs ne devrait pas avoir autant de privilèges. Que leur salaire soit baissé, que les indemnités de logement, voiture, chauffeur, restauration et bien d’autres soient revues à la baisse et que toutes ces économies soit simplement injectés dans le domaine médical (hôpitaux, et les salariés...) mais aussi dans l’éducation nationale par exemple !

Vous en avez marre de ce système ? Cliquez sur cette pétition, faites la grandir et que le changement commence ! Que la France prenne exemple sur d’autres pays voisins dont certains pays nordiques. Messieurs et dames de la politique, ne représentent plus le peuple français.

* (E) Pétition : Pollution lumineuse : impacts sur la nature, la santé humaine et le climat

9.2633 signatures lien pour signer

Auteur : Pauline Coupé Destinataire(s) : Elisabeth Borne (Ministre de la Transition écologique et solidaire)

La pollution lumineuse engendrée par les éclairages nocturnes publics a des conséquences néfastes sur la biodiversité, la santé humaine et sur le climat ! Elle est une des causes de l’érosion de la biodiversité :
* Les insectes nocturnes sont attirés par la lumière des éclairages et tournoient autour de celle-ci jusqu’à épuisement. Ils peuvent se brûler et mourir au contact du verre chauffé par l’ampoule. Ils sont des proies faciles pour les prédateurs tels que les chauves-souris qui viennent ainsi se nourrir autour des lampadaires. Selon l’ANPCEN (Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l’Environnement Nocturnes), une forte régression de la pollinisation nocturne a été constatée (-62%).
* Les oiseaux migrateurs qui s’orientent grâce aux étoiles sont désorientés et perdus à cause du halo lumineux qui cache les étoiles.
* Les espèces lucifuges (qui fuient la lumière) voient leur habitat se réduire et se fragmenter, ce qui limite les zones d’approvisionnement en nourriture et les rencontres lors de la période de reproduction.
* Les espèces nocturnes, comme diurnes ont besoin d’une obscurité de qualité pour assurer les processus de leur cycle biologique.
* Plus de 60% de mammifères et d’invertébrés et 90% des amphibiens dans le monde sont nocturnes. En France, 95% des papillons sont des papillons de nuit (source : ANPCEN)
* L’activité biologique des plantes soumises aux éclairages est déréglée (photosynthèse, germination, floraison...)

Elle porte atteinte à la santé humaine :
* Comme pour la faune et la flore, le corps de l’être humain a besoin de l’alternance jour/nuit pour bien fonctionner. La lumière intrusive issue des éclairages extérieurs altère la qualité et la quantité du sommeil et perturbe la sécrétion de mélatonine, hormone sécrétée la nuit.
Les éclairages utilisant des LEDs ont un impact sur la vision.
* La consommation énergétique des éclairages a un impact sur le climat :
* La production de lumière artificielle, mais aussi l’approvisionnement, les équipements et le transport des systèmes d’éclairage entrainent des émissions de gaz à effet de serre. L’électricité est également gaspillée : puissance des éclairages et nombre de lampadaires trop élevés par rapport aux besoins, éclairages de zones peu ou pas fréquentées la nuit...

Bien qu’il existe certaines mesures établies pour limiter l’impact de la pollution lumineuse et étant donné l’urgence climatique actuelle et le respect des générations futures, il est primordial de réduire au mieux l’éclairage artificiel, voire de le supprimer, de développer de plus en plus de trames noires et de zones non éclairées sur le territoire français.

Il est par exemple inutile d’éclairer les communes en été car les nuits sont courtes.
Est-il nécessaire d’éclairer les routes alors que les phares de voiture suffisent ?
L’éclairage des monuments et de sites naturels pourrait être supprimé.
Supprimer les lampadaires qui s’allument automatiquement à la tombée de la nuit et au levé du jour car il y a encore de la visibilité.
Les panneaux publicitaires éclairés ne sont pas nécessaires.
Etc...

Agissons ensemble pour le respect de l’être humain, de la nature et de la vie !
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* COLLECTES SOUTENUES PAR AID

* APPEL POUR EXARCHEIA ET POUR SOUTENIR LE QUATRIÈME FILM (AUTOMNE 2019) )

Comme les films précédents depuis des années, L’Amour et la Révolution a financé une part importante des besoins des principaux lieux et collectifs du quartier d’Exarcheia, à Athènes, et environ 70% des moyens apportés par les convois solidaires. Mais depuis la fin de la tournée du film, au terme de l’hiver, c’est terminé. Nous n’avons plus de source de financement régulière pour soutenir les lieux et collectifs. Heureusement, nous avons réussi grâce à vous à sauver de la prison plusieurs membres de Rouvikonas durant le printemps. Puis deux d’entre vous nous ont aidé à remettre à flot le fond d’urgence pour faire face aux priorités suivantes.

Aujourd’hui, la situation a changé. Suite à des élections anticipées en juillet, un nouveau gouvernement vient de se mettre en place et essaie d’entraver nos actions de résistance, de création et d’entraide. Le nouveau premier ministre, Kyriakos Mitsotakis, a mis à exécution sa menace de "nettoyer Exarcheia", le quartier rebelle et solidaire d’Athènes connu pour sa concentration de squats et de lieux autogérés unique en Europe. Nous sommes depuis le début de l’été dans une lutte âpre et difficile pour la survie de cette expérience utopique qui donne à réfléchir sur notre capacité à prendre nos vies en mains.

Nous sommes en difficultés dans plusieurs lieux et collectifs, à commencer par des squats de réfugiés (comme le Notara 26) dont les stocks de nourriture pour adultes et bébés se remplissent puis se vident rapidement en raison du nombre important de personnes aidées dont certaines qui ont fui les camps bâtis en Grèce par l’Union européenne. Des centres sociaux autogérés comme le K*Vox n’avaient plus, par exemple, de porte, suite à des agressions policières répétées accompagnées du gazage des personnes se trouvant à l’intérieur, malgré l’interdiction faite par les conventions internationales (nous avons pris en charge le remplacement de cette porte et d’autres éléments indispensables à la sécurité et aux fonctions d’accueil de ces lieux). Les victimes de violences se multiplient. Les migrants disposant de papiers qui ont réussi à quitter les camps ont également besoin d’aide, etc.

Durant l’été, le collectif Anepos, à l’initiative des films et des convois solidaires, a réussi à emprunter de l’argent pour parer au plus pressé :
- achats de lait infantile et de nourriture pour les adultes et les enfants
- achats pour organiser de la fête des 4 ans du Notara 26
- remplacement de la porte détruite du K*Vox
- aide d’urgence à des réfugiés déplacés, parfois avec des bébés d’à peine deux mois
- aide au frais de santé lourds d’un compagnon de lutte grec bien connu du mouvement
- aide au déplacement de solidaires internationaux expérimentés mais précaires (venu.es principalement de France pour soutenir les lieux et y faire bénévolement des travaux de circonstances)
- achat d’un appareil photo/vidéo de qualité pro pour un camarade grec automédia
- autres besoins matériels, bricolage et protections
- aide d’une camarade grecque très dévouée, récemment en très grande difficulté
- aide aux frais de justice pour plusieurs camarades grec.ques et migrant.es
Au total, nous avons réussi à avancer la somme de 4875 euros durant cette période très difficile.

Côté film, c’est la même chose. Les principaux collectifs et lieux d’Exarcheia nous ont sollicités pour préparer sans attendre un quatrième film en raison de l’accélération des événements. Alors que nous pensions attendre 2020, nous avons commencé subitement ce tournage au cœur de nos lieux et collectifs, aux côtés de nos compagnons de luttes et en concertation avec eux pour tout ce que nous allons vous faire découvrir dans ce film.

Vous serez dans l’envers du décor avec nous, au sein de la défense d’Exarcheia, mais ailleurs aussi du nord au sud de la Grèce, notamment pour empêcher le saccage du bien commun par des multinationales dans des zones sauvages magnifiques, et pour des surprises qui vous réjouiront. Notre idée de titre a fait immédiatement consensus parmi tous nos compagnons de luttes grecs et migrants. Ce quatrième film aura pour titre "Nous n’avons pas peur des ruines".

Cependant, tout film représente un coût et, même si les nôtres sont parmi les moins chers qui existent pour ce niveau de diffusion (à chaque fois 18700 euros), cela nécessite également un appel. Nous avons surtout besoin de 10000 euros pour débloquer certains problèmes, faciliter certains déplacements et racheter du matériel. Ces derniers temps, nous avons subi un vol de caméra dans des conditions troublantes. Notre ordinateur principal adapté à ce travail a rendu l’âme. Ajoutons que le 31 août, Yannis a été chargé par les MAT (CRS) à l’extérieur du K*Vox, côté place, qui ont essayé de lui arracher son appareil photo/vidéo reflex et qui ont finalement réussi à lui arracher le micro qu’ils ont ensuite piétiné (cf. photo des dégâts prise par notre ami photographe anglais Andrew O’Carroll).

C’est pourquoi nous faisons un appel pour 20000 euros, 10000 pour les besoins principaux à Exarcheia et 10000 pour le film en cours de préparation. Si nous pouvions dépasser la somme, cela permettrait de disposer d’un fond d’urgence plus important dans les semaines à venir, côté Exarcheia, et de créer librement, sans contraintes, avec de bien meilleurs outils et en protégeant au mieux notre travail (sauvegardes), côté film.

Merci d’avance de votre soutien (modalités possibles à la fin de ce texte).

Si vous êtes fauché.e et dans l’incapacité de nous aider financièrement, surtout ne dépensez pas le peu d’argent que vous avez. Si vous diffusez cet appel autour de vous, c’est déjà beaucoup.

Si vous fréquentez également l’affreux réseau associal Facebook, vous verrez que s’y trouve une page "Nous n’avons pas peur des ruines" que vous pourrez soutenir et partager.

Pour les autres, sachez que le site internet de "Nous n’avons pas peur des ruines" sera bientôt disponible, ainsi que l’affiche et la première bande-annonce.

Comptez sur nous. On compte sur vous. Car c’est aussi vous qui, ces dernières années, avez diversement soutenu Exarcheia, notamment à travers les convois, pour tenir bon dans l’adversité.

À très bientôt pour d’autres nouvelles,

Maud et Yannis Youlountas po/ collectif Anepos

CQFD : de toutes façons, soutenir le film, c’est également soutenir Exarcheia. Cela va de pair puisque l’une des principales vocations de nos films est de soutenir politiquement et financièrement les lieux et les collectifs, ce que nous faisons depuis toutes ces années.

POUR SOUTENIR EXARCHEIA ET LA PRÉPARATION DU 4ÈME FILM C’EST ICI

Si vous voulez soutenir nos actions à Exarcheia et/ou la préparation du 4ème film, "Nous n’avons pas peur des ruines", trois possibilités s’offrent à vous :

1) PAR VIREMENT

IBAN de ANEPOS : FR46 2004 1010 1610 8545 7L03 730
BIC : PSSTFRPPTOU

Merci de mentionner en objet du virement : Appel Exarcheia et/ou 4e film

2) PAR PAYPAL

3) PAR CHÈQUE

Ordre : ANEPOS (uniquement). N’ajoutez rien sur l’ordre, mais mentionnez au dos du chèque ou en pièce jointe : Appel Exarcheia et/ou 4e film

À envoyer à :
ANEPOS
Action Solidarité Grèce
BP 10 - 81540 SORÈZE - FRANCE

Vous pouvez aussi ajouter des messages de soutien qui seront transmis au collectif de votre choix ou à l’assemblée principale des collectifs du quartier.

Vous trouverez la suite des infos comme toujours sur mon blog : http://blogyy.net

Yannis Youlountas

voir une vidéo

NB : Si vous voulez participer via AID (et bénéficier des 66% de déduction fiscale) contactez jean-marc.tagliaferri@wanadoo.fr

Plus d’infos sur le site

* Appel à soutien financier pour Delia Buonommo et le "Bar des Migrants" de Vintimille
lien de la collecte

21/12/2019 : 6050€ de dons (défiscalisables à 66%) ont été encaissés par GIRI YAMA qui comme convenu a reversé 3025 € (3 paiements CB) sur le crowdfunding pour le bar Le Hobbit à VIntimille qui accueille des migrants. Le reste a servi à financer le solde des projets 2019 de GIRI YAMA.

À Vintimille, à 9 km de la frontière italo-française, des dizaines de milliers de réfugiés passent chaque année. Ils fuient la guerre, la torture, les violences. Ils tentent de traverser la frontière pour rejoindre des proches ou des connaissances en France, en Angleterre et dans d’autres pays européens, risquant leur vie pendant le voyage. Lorsqu’ils franchissent la frontière, ils butent souvent sur des abus, des détentions et des refoulements par la police française. (...)

Dans cette situation dramatique, cependant, une petite partie de la population résiste : parmi elle Delia, dont le bistrot (le bar Hobbit) est devenu l’âme de la solidarité à Vintimille. L’histoire de Delia commence il y a trois ans, lorsqu’elle invite à entrer et offre un repas à des femmes et à des enfants assis sur le trottoir devant le bar. Depuis, grâce au bouche à oreille, le café est devenu un point de repère pour tous les réfugiés qui transitent de Vintimille, ainsi que pour les volontaires et les organisations de soutien. Delia, surnommée "Mama Africa", a aidé des milliers de personnes en transit, offrant des vêtements, un repas chaud, un câlin et un lieu d’accueil à ceux qui en ont besoin.(...) Les enfants ont leur propre coin, que Delia a aménagé avec des jouets reçus en donation. Le bar est souvent le seul refuge pour les plus vulnérables, les femmes enceintes, les mineurs et les victimes de la traite.

Cependant, la solidarité de Delia l’a rendue impopulaire dans le quartier et chez une partie de la population de Vintimille, qui a banni le bar Hobbit, le nommant le « bar des immigrés », le « bar des noirs » ou même des nègres. Les insultes, les agressions et le vandalisme font désormais partie du quotidien de Delia. L’isolement, la perte de clients et les pressions de toutes sortes ont plongé le bistro dans une situation économique de plus en plus grave. Delia n’est plus en mesure de supporter les coûts et a été obligée, malgré elle, de le mettre en vente.

Ne permettons pas que l’un des rares lieux d’humanité et de solidarité qui résistent à Vintimille disparaisse ! Aidez-nous à soutenir Delia et à poursuivre son projet de solidarité active : chaque don, même petit, nous aide à acheter de la nourriture, de l’eau, des boissons et à couvrir les frais du bar.

pour approfondir :
- https://maquistraductions.wordpress.com/2017/07/30/entretien-avec-delia-du-bar-le-hobbit-vintimille-ne-peut-pas-me-voir-et-jai-plus-a-craindre-des-habitants-de-la-ville-que-des-migrants/
- http://www.lobservateurdemonaco.mc/aidants-desempares

07/03/2020 à 17h00 d’après le site, 1.283+03 = 1.285 personnes ont fait un don en 551 jours et 50.710€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .)

22/02/2020 à 15h00 d’après le site, 1.281+02= 1.283 personnes ont fait un don en 537 jours et 50.690€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .

08/02/2020 à 12h00 d’après le site, 1.274+07= 1.281 personnes ont fait un don en 523 jours et 50.625€ ont été récoltés (soit 39,5€ par don depuis le début .

18/01/2020 à 16h00 : d’après le site, 1.241+33= 1.274 personnes ont fait un don en 502 jours et 50.315 € ont été récoltés soit 39,5€ par don depuis le début

21/12/2019 à 16h00 : d’après le site, 1.232+09= 1.241 personnes ont fait un don en 474 jours et 49.433 € ont été récoltés soit 40€ par don depuis le début

* Appel pour une collecte (non défiscalisable) PERMANENTE de nourriture pour Roya Citoyenne

* Dons (non défiscalisables) pour Roya-Citoyenne

* Dons (défiscalisables à 66%) pour l’association HABITAT & CITOYENNETE de NICE

* Dons (défiscalisables à 66%) pour les victimes de l’Agent Orange (permanent) et le procès intenté par Madame Tran To Nga aux fournisseurs de ce produit

* Dons (défiscalisables à 75% dans la limite de 537€ par an et par donateur, 66% ensuite) pour l’association RIVE de Saint-Denis de la Réunion

* Et bien évidemment les dons (défiscalisables à 66%) à AID que vous pouvez flécher ensuite sur les collectes non défiscalisables (renseignements ici )
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ICE : Ending the aviation fuel tax exemption in Europe

Adresse pour signature
Signataires Délai Numéro d’enregistrement

71.565/1.000.000 10/05/2020 ECI(2019)000009
dont France 8.523/55.500
Date d’enregistrement Langue de l’initiative
10/05/2019 English

Pour soutenir une initiative citoyenne européenne, vous devez être un citoyen de l’UE (ressortissant d’un État membre) et être en âge de voter aux élections du Parlement européen.

Pour en savoir plus sur les règles et les conditions applicables à l’initiative citoyenne européenne : http://ec.europa.eu/citizens-initiative

Objet : We call the European Commission to propose to member states the introduction of a tax on aviation fuel (kerosene). The aviation sector enjoys tax advantages despite being one of the fastest growing sources of greenhouse gas emissions.

Principaux objectifs : While greener alternatives to aviation are subject to high taxes, the aviation industry benefits from many unjust tax exemptions. Aviation fuel remains untaxed in Europe and Member States don’t impose VAT on plane tickets, making aviation a more and more attractive transport mode whereas it is the most carbon-intensive. Taxing kerosene would allow the EU to drastically increase its funding for greener mobility as transport is the fastest growing greenhouse gas emissions sector.

Adresse internet de la proposition d’initiative citoyenne dans le registre de la Commission européenne : http://ec.europa.eu/citizens-initiative/public/initiatives/ongoing/details/2019/000009

Appel pour un Pacte Finance-Climat européen

En ce jour de manifestations publiques pour demander à nos élu-e-s de prendre en compte les appels de scientifiques éminents signalant l’urgence de changer nos comportements individuels et collectifs,

AID vous propose toujours de signer cet appel européen lancé par plusieurs dizaines de personnalités que nous connaissons et avec qui nous avons l’occasion de travailler pour certaines. L’appel est également relayé par d’autres organisations avec qui nous sommes en lien . Il a été lancé notamment par Jean JOUZEL climatologue français, ancien vice-président du GIEC

lien pour signer

Nous ne pouvons pas rester sans rien dire. Nous ne pouvons pas rester sans agir. Aujourd’hui, l’esprit se révolte contre le sort qui est promis à l’Homme. Nous, Citoyens d’Europe et Citoyens du monde associés dans une même communauté de destins, n’acceptons pas que l’humanité se dirige, sans réagir, vers le chaos climatique.

Le 31 octobre 2017, l’ONU nous alertait solennellement sur l’écart « catastrophique » qui existe entre les engagements des Etats et les réductions des émissions de gaz à effet de serre qu’il faudrait opérer pour maintenir le réchauffement en-dessous de 2°C.

« Les engagements actuels des Etats couvrent à peine un tiers des réductions nécessaires, soulignait Erik Solheim, directeur du Programme des Nations Unies pour l’Environnement. Gouvernements, secteur privé, société civile doivent combler cet écart catastrophique. Un an après l’entrée en vigueur de l’accord de Paris, nous sommes loin de faire ce qu’il faudrait pour préserver des centaines de millions de personnes d’une vie de misère ». Comment combler cet écart ? Comment rattraper le temps perdu ? Que peut faire l’Europe ?

Puisque c’est « au nom de l’emploi américain » que les Etats-Unis ont décidé de se retirer de l’Accord de Paris, il est fondamental que l’Europe fasse la preuve « grandeur nature » qu’il est possible de diviser par 4 ses émissions de gaz à effet de serre tout en créant massivement des emplois. Il est fondamental aussi que l’Europe prenne pleinement sa part pour cofinancer la lutte contre le réchauffement climatique dans les pays du Sud.

Diviser par 4 nos émissions, d’ici 2050 au plus tard ? Le chantier est colossal mais investir massivement dans les économies d’énergie et les énergies renouvelables pourrait conduire à « 900.000 créations d’emplois en France » selon les dernières prévisions de l’ADEME et plus de 6 millions d’emplois pour toute l’Europe… Voilà un bon moyen de faire reculer nettement le chômage et la précarité. Un bon moyen, donc, de réconcilier l’Europe avec les citoyens.....lire la suite

Voir le site officiel des INITIATIVES CITOYENNES EUROPEENNES
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* (E) Pétition : Changements climatiques : protégeons nos enfants !

50.935 signatures lien pour signer

Voir la vidéo

A l’attention des préfets de région, chargés de la protection des populations face aux risques du changement climatique ;

En tant que parents responsables et inquiets pour la vie de nos enfants, nous soutenons par cette pétition les recours en justice engagés à l’encontre de préfets de régions par d’autres parents, pour manquements à l’obligation d’action contre le réchauffement climatique.

En tant que représentants des DREAL, les préfets de région ont pour missions notamment :

  • D’élaborer et mettre en œuvre des politiques de l’État en matière d’environnement, de développement et d’aménagement durables
  • De développer et diffuser la connaissance sur le changement climatique et ses effets sur la population.

D’après le GIEC et l’Accord de Paris, si nous voulons que nos enfants et petits-enfants survivent aux conséquences d’un réchauffement climatique inférieur à 2 degrés d’ici 2100, nous devons baisser de 50 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici 11 ans… Et pourtant...Elles augmentent de 3 % par an en France ! A ce rythme, nous allons vers des +3 ou +4 degrés, c’est à dire à la mort d’au moins 75% de l’humanité dans le siècle ! D’autres dangers mortels menacent nos enfants : perte de la biodiversité qui soutient l’équilibre des systèmes agricoles qui devront les nourrir, sécheresses agricoles et carences en eaux potables etc.

En tant que parents, nous refusons de jouer à la loterie pour savoir si nos enfants seront parmi les 25 % de survivants !

Or, en quoi les mesures prises par les préfets de région garantissent une baisse de 50% des GES d’ici 11 ans ? En quoi les préfets de région alertent les populations de ces risques mortels à venir ?

Nous sommes en « guerre contre le climat », c’est le gouvernement qui le dit… Alors Mrs et Mmes les préfets de région, en tant de guerre, vous devez choisir : obéir à Vichy, ou rejoindre la résistance… Les préfets de région ne sont pourtant pas soumis aux bas enjeux des mandats politiques électoralistes, alors pourquoi n’agissez-vous pas plus efficacement ?

Afin d’assurer un avenir à nos enfants, et devant le constat que les politiques de croissance verte sont trop lentes (- 13% d’énergies renouvelables en moins dans la part de l’énergie en 2016) nous vous assurons de notre soutien si vous décidez de mettre en place des mesures radicales d’urgence de protection des populations. Nous sommes prêts à accepter les conséquences économiques et la baisse de notre confort d’un État d’urgence climatique. Mais nous sommes des citoyens informés, et nous ne nous faisons plus bernés par les mots et les discours : nous savons qu’un plan Marshall environnemental digne de ce nom doit obligatoirement contenir dans son programme :

  • Une réduction des productions non essentielles (gadgets hi-tech, emballages plastiques, produits de luxe...), dont la perte en emplois sera compensée par des programmes de reconversion des salariés dans les métiers de la réparation et du recyclage.
  • Une reconversion aux énergies renouvelables des industries fonctionnant encore aux énergies fossiles.
  • Une généralisation du fret de marchandises sur voies ferrées et fluviales et des transports en commun pour les personnes (transports : +11% des GES en 2017 en France).
  • Arrêt des subventions à l’agriculture conventionnelle au profit de l’agriculture de conservation ; limitation des élevages industriels (18% des émissions de GES et gaspillage des eaux potables) et des céréales destinées à ces élevages.
  • Limitation des grands projets immobiliers (bâtiment : +23% des GES en 2017 en France), notamment sur des terres agricoles : l’équivalent d’un terrain de foot de terre agricole disparaît en France toute les 5 minutes ! Protégeons la souveraineté alimentaire de nos enfants !

Aucun programme de transition qui ne reprenne ces points essentiels ne peut être sérieusement reconnu comme tel. Si la vie de nos enfants continue d’être mise en danger pour maintenir une politique économique idéologique fondée sur la croissance au péril de la vie, sans que les préfets n’interviennent, il est à prévoir que certains d’entre nous, par amour pour leurs enfants, prendront eux-mêmes des mesures de protection, et vous ne pourrez alors leur en tenir rigueur, puisqu’ils auront paré à vos manquements...

Avec tout le respect que nous gardons pour l’instant pour la noblesse de vos missions ; Des parents inquiets pour la vie de leurs enfants.

* (E) Pétition : 2025 : l’extinction des hérissons ?!

29.298 signatures lien pour signer

Adressé à : Élisabeth Borne, ministre de la Transition écologique et solidaire et Didier Guillaume, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation

Je suis abasourdie.Je viens de découvrir ce matin que le hérisson est en France une espèce en voie de disparition. En France ! En voie de disparition !! Selon plusieurs scientifiques et vétérinaires spécialisés, les hérissons auront disparu d’ici 2030, voire 2025 pour les plus pessimistes. Sommes-nous à ce point déconnectés de la nature que nous laissons une espèce aussi emblématique disparaître sans lever le petit doigt ? Nous sommes en train de décimer une espèce tout entière. Et ce, dans l’indifférence générale.Le hérisson est apparu il y a 60 millions d’années.Serons-nous l’espèce qui mettra fin à tout ça en l’espace d’une demi-génération ?Je ne peux m’y résoudre.

Le hérisson est en déclin constant depuis les années 1950, et cela à plus de 50% à cause de l’activité humaine. Pire, seulement un hérisson sur cinq atteint l’âge de 1 an. Je parle ici de l’industrialisation de l’agriculture qui a largement supprimé les forêts, les haies et tout ce qui pouvait gêner le passage d’un tracteur, mais aussi l’utilisation massive de produits chimiques contre les maladies et les « nuisibles ».
Les premiers tueurs du hérisson sont les pesticides et insecticides… Vous savez les petits granulés bleus que l’on met innocemment autour de ses salades pour se débarrasser des limaces ? Sachez que le hérisson s’empoisonne en consommant les insectes et animaux eux même empoisonnés par nos soins.Vous savez comment j’en suis venue à m’intéresser à cette histoire ? Il s’avère que de plus en plus de jardiniers me demandaient des conseils contre les limaces, certains parlent de « véritable invasion ». J’ai donc remonté la chaîne et j’ai trouvé le véritable problème. En voulant « régler » rapidement nos petites contrariétés au jardin, car soyons honnête une minute nous n’avons aucune patience et ne pouvons laisser la nature faire son travail, nous décimons le principal allié de nos jardins !Et comme toujours lorsque la chaîne de l’écosystème est rompue, les ennuis arrivent…

Je ne sais pas vous mais j’ai personnellement un coup au cœur lorsque je vois le cadavre d’un hérisson au bord de la route…J’aimerais vous dire que cela n’arrive pas souvent, mais je ne suis pas ici pour vous mentir. En vérité, ce petit cadavre de hérisson que vous avez croisé sur la route ce matin en allant au travail est l’un des 1.8 millions (en moyenne) tués sur la route chaque année. Ce chiffre, s’il peut nous effrayer, devrait surtout nous forcer à affronter la situationIl est URGENT d’agir

Si vous avez un jardin, la solution est simple : arrêtez les pesticides et insecticides une bonne fois pour toute.Tout simplement. Ne soyez plus les empoisonneurs de la nature.Je sais que vous ne pensiez pas à mal, nous ne connaissons souvent pas toutes les implications qu’un simple petit geste peut avoir…« Ce n’était que de petites billes bleus … » Mais maintenant que vous savez vous n’avez plus AUCUNE excuse pour continuer. Arrêtez une bonne fois pour toutes les « jardins propres », ne faites pas de votre jardin un cimetière ! Je vous en prie, choisissez d’en faire des arches de Noé…

Si votre propriété donne sur une route et dispose en plus d’une haie, vous pouvez clôturer cette partie pour empêcher les hérissons d’atterrir sur la route. Devenez famille d’accueil ! Aidez les associations débordées ! Le gouvernement ne peut plus fermer les yeux sur ce massacre.La France doit à présent être courageuse et faire de la protection de la biodiversité son fer de lance.

Avant qu’il ne soit trop tard. Pour la santé de sa population, Pour la santé de ses enfants, Pour la richesse de son territoire, Pour la nature sans laquelle nous ne pouvons vivre. Soyons innovants, soyons des précurseurs, soyons le pays courageux qui CHOISI autre chose. Je sais que la France ne manque pas de courage, prouvons-le ! Misons sur la vie plus que sur les lobbys.Ce n’est pas être un leader que de se laisser dicter sa politique par les autres entreprises.

Les VRAIS leaders définissent les règles justes pour le plus grand nombre et font en sorte que les autres s’y tiennent. Arrêtons l’utilisation des produits douteux ou avérés nocifs. Arrêtons d’empoisonner notre terre et nous-même ! Rétablissons les haies et la biodiversité autour de nos cultures ! Aidons les associations de préservation de la nature, donnons-leur les moyens de réussir au mieux leur mission. Ne les laissons plus seuls, soyons bienveillant. Sachez que ce travail n’est pas seulement le leur, c’est notre travail à tous de veiller à la conservation de la nature.

« Nous dénombrons environ 19 centres habilités contre 800 au Royaume-Uni. Nous sauvons environ 1800 hérissons par an contre 30000 au Royaume Uni. » Les Anglais sont-ils plus évolués que nous ? Sur ce point, sans commune mesure. Créons sur nos routes beaucoup plus de lieux de passages pour la faune sauvage ! Partageons les espaces, soyons intelligent pour notre avenir. Pensons les routes du futur, guidons les animaux vers des lieux sécurisant pour eux.

J’espère que mon appel réveillera les consciences et permettra de faire changer les choses durablement. Rappelez-vous, la protection des animaux et de la nature est l’affaire de tous. Nous sommes tous responsables.

* (C) Pétition : STOP à la pollution lumineuse en France

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Adressé à : Elisabeth Borne, Ministre de la Transition écologique et solidaire
Rendons à la nuit ses étoiles :

Madame la Ministre de la Transition écologique et solidaire, vous devez réduire encore plus les nuisances lumineuses en :

* imposant une extinction partielle de l’éclairage dans les grandes villes, et totale dans les petites villes au creux de la nuit ;
* remplaçant les 30% de lampes à vapeur de mercure par des lampes à vapeur de sodium ; [12]
* remplaçant les ampoules à LED (elles consomment moins mais sont plus puissantes que les anciennes ampoules) par des ampoules dont la lumière bleue est fortement réduite ; [13] [14]
* orientant mieux les lumières vers les zones à éclairer ;
* mettant en place des systèmes de gradation de la lumière.

Nous n’avons pas besoin de lampes qui consomment 2 fois plus. Nous n’avons pas besoin de lampes qui éclairent 10 fois plus. Nous avons besoin d’éclairer la chaussée et non le ciel. Aidez-nous à rendre à la nuit ses étoiles. Merci

* (C) Pétition : Violences conjugales : Une victime lance une pétition et demande de l’aide. Pour de vraies lois protectrices aux femmes victimes de ces violences.

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Auteur : AJIDH JUSTICEFIRST OF WORLD. Destinataire(s) : Etat et politiques français, l’union Européenne, L’ONU, CESE

Depuis plusieurs années, les violences faites aux femmes, filles sont une violation des droits de l’homme d’une ampleur pandémique qui se produit dans des espaces publics et privés ; même dans les pays les plus développés, comme la France.Que ce soit à la maison, dans les rues ou pendant la guerre, la violence à l’égard des femmes et des filles se manifeste sous des formes physiques, sexuelles et psychologiques, est devenue une normalité.

Lorsque nous sommes victimes de violences, physiques ou psychologiques nous supportons tout, jusqu’au jour où l’on prend conscience que cet état n’est pas normal. Qu’il faille réellement, aller puiser dans ses ressources pour se protéger et protéger nos enfants. Il faut une force de caractère, une énergie spirituelle et humaine, un amour et soutien de nos ami(e)s qui nous aident à nous dépasser et à sortir de cet isolement. Alors l’instinct de survie se réveille. Fuir ou mourir là est la question. La honte de la victime, sortir du silence demande du courage un non un jugement des personnes aidantes. J’ai été dans cet état, les moyens mis par les pouvoirs politiques, sont misérables et impuissants. Ce n’est pas la fautes de nos administrations, la police, juges etc…

Mais nos politiques eux n’ont aucune excuse. Car les lois actuellement ne favorisent pas l’accompagnement globales pour nous les victimes. Combien de victimes pour nous faire entendre cela ? C’est pourquoi j’ai décidé d’agir, ne plus subir. Je refuse d’être la victime de plus de mon bourreau. Je lance cette pétition pour, demander de véritables moyens, des lois qui doivent protéger la victime, et une aide concrète. De vrais moyens. J’ai décidé à travers de l’association AJDH « justice first of world », dont je suis membre très active de créer un projet « women first world ». Pour l’accompagnement globale des femmes et hommes victimes des 5 violences reconnues par l’ONU.

Une approche globale, capable de créer un réseau humanitaire à travers, « justice first of world » afin d’aider à améliorer les causes profondes de la justice sociale en menant des programmes d’activités avec les institutions et politiques de gouvernent, de sécurité, d’accès aux droits, de santé et d’éducation. Le but de ce projet déposer à L’INPI et un accompagnement global, avec une application des services existant pour accompagner et aider par des professionnelles, mais issu des bénévoles. Les femmes au cœur de ces actions,Dans tout ce programme, nous portons une attention particulière à la condition des femmes, premières victimes de la pauvreté dans le monde. C’est aussi un facteur essentiel dans la lutte contre la pauvreté. C’est pourquoi, mon programme contribue à l’autonomisation des femmes. L’implication des communautés locales.

Les projets sont élaborés en tenant compte des besoins, des attentes et des spécificités culturelles des bénéficiaires. Nos actions se basent sur la participation des acteurs locaux (Les acteurs locaux et instances de l’états communautés, société civile, autorités locales, secteur privé). Leur implication dans l’élaboration et la mise en œuvre des programmes est primordiale pour en assurer la pérennité. Ce sont leurs initiatives, mon projet women first world ne fait que les soutenir.
C’est pourquoi je lance un véritable projet national, européen et mondial, qui était expérimenté au niveau local, pour soutenir et aider les femmes et leurs enfants victimes de violences.

Sabah BIYE Responsable du projet violence faites aux femmes Women first world

* (E) Pétition : Non à l’expulsion d’un couple de forestiers retraités

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Auteur : Geneviève Coupé
A Madame Elisabeth Borne, Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire,
A Monsieur Didier Guillaume, Ministre de l’Agriculture, Ministres de Tutelle de l’ONF,
A Monsieur Bertrand Munch, Directeur Général de l’ONF,

L’ONF vient d’obtenir par la justice la décision d’expulser un forestier à la retraite et son épouse, Raymond et Véronique Vasseur, habitant depuis 45 ans la Maison Forestière de la Croix Morel en Forêt de Retz (forêt de Villers-Cotterêts, dans l’Aisne).Pour mieux comprendre l’injustice qui les frappe aujourd’hui, il me paraît important de retracer l’histoire de ce couple de forestiers dans sa Maison Forestière :

Nommé en poste d’Agent Forestier, Raymond Vasseur se voit attribuer cette Maison Forestière en 1974 par « Nécessité Absolue de Service », (il y a Nécessité Absolue de Service lorsque l’agent ne peut accomplir normalement son service sans être dans les bâtiments où il doit exercer ses fonctions). Durant 37 ans de bons et loyaux services à l’ONF, Raymond Vasseur, passionné de botanique et son épouse Véronique prennent soin de leur Maison Forestière, dépourvue de grand confort et vulnérable de par sa situation isolée en pleine forêt.

Ils y cultivent leur potager avec toujours ce respect de la biodiversité qui les entoure, de la faune et de la flore, si chères à leurs yeux, émerveillés par le Vivant. Durant ces quelques décennies de vie à la Maison Forestière, des poules, quelques ruches, un vieux poney Pottok sauvé de l’abattoir, des chiens et chats recueillis coulèrent et coulent encore pour certains des jours heureux à la Maison Forestière. La Maison Forestière abritant depuis des décennies une colonie de chauves-souris petit rhinolophe, Raymond Vasseur, passionné et fervent défenseur de la Nature, met tout en œuvre pour les préserver et conserver leur habitat.

Mais à partir de 2002, l’ONF connaît sa 1ère grande réforme, et le poste d’Agent Forestier de Raymond Vasseur est sèchement supprimé. N’étant pas encore arrivé à l’âge de la retraite, il se voit attribuer un poste provisoire dans un autre massif forestier, à environ 1h de route de sa Maison Forestière. Il s’y plie de bonne grâce. Puis l’Ingénieur de la Division ONF de Villers-Cotterêts décide que l’eau alimentant la Croix Morel n’est officiellement plus potable, bien que depuis des décennies, cela n’a posé aucun problème à l’ONF d’y faire vivre des forestiers et leurs familles… Tout est d’ores et déjà mis en œuvre pour déloger Raymond et Véronique Vasseur de leur Maison Forestière…

Mais Raymond et Véronique savent que s’ils quittent leur maison, elle sera vraisemblablement abandonnée, saccagée, vouée aux multiples dégradations et à la ruine la plus complète, comme c’est le cas aujourd’hui des innombrables Maisons Forestières en France vidées de leurs occupants, comme par exemple :

- Maison Forestière des XIV Frères (abandonnée, en ruine) en Forêt de Retz,
- Maison Forestière du Pré Gueux (abandonnée et fortement dégradée avant d’être finalement vendue) en Forêt de Retz,
- Maison Forestière des Falaises (brûlée plusieurs fois, non reconstruite) en Forêt d’Halatte,
- Maison Forestière des Bâtis, (brûlée en 2005, rasée en 2006) en Forêt d’Halatte,
- Maison Forestière de Villers-St-Frambourg (abandonnée, en ruine) en Forêt d’Halatte,
- Maison Forestière de Vers sur Launette, Forêt d’Ermenonville (abandonnée, squattée par intermittence)…
Pour ne citer que quelques exemples qui illustrent la dilapidation du patrimoine forestier et historique.

Raymond et Véronique Vasseur restent donc dans leur Maison Forestière, attachés à l’âme de cette vieille bâtisse datant de 1836, gardiens de la vie et de la mémoire de ces lieux. En 2011, lorsque l’heure de la retraite sonne pour Raymond, il demande à pouvoir louer sa maison pour y rester, la maintenir en état ainsi que son environnement. L’ONF ne prend pas la peine de lui répondre, sachant que pourtant d’autres Maisons Forestières sont ou ont été louées à des particuliers, comme la Maison Forestière de Maison Neuve (dans la même Forêt de Retz) pour ne citer qu’un exemple parmi tant d’autres. Pendant 6 ans, l’ONF laisse traîner les choses, prouvant ainsi que la Maison Forestière de la Croix Morel ne lui est nullement nécessaire pour tout autre usage (la Maison Forestière n’étant plus affectée à un poste).

Quand soudain en 2018, un huissier se présente à la Croix Morel pour assigner Raymond Vasseur à comparaître devant le juge des référés pour occupation illégale sans droit ni titre de la Maison Forestière.L’ONF exige leur expulsion et 80 000 € d’indemnités d’occupation ! Le juge des référés est le juge administratif de l’urgence,qui ne juge pas du principal, mais qui permet d’obtenir des mesures provisoires et rapides, comme ici l’ordonnance d’expulsion.

En saisissant le juge des référés, l’ONF esquive un procès qui aurait mis en évidence la discrimination dont sont victimes Raymond et Véronique Vasseur, par le refus de louer à un forestier en retraite sa Maison Forestière laissée vacante ! Par ailleurs, comment justifier de l’URGENCE à faire libérer les lieux, alors que depuis 2011 l’ONF laisse pourrir la situation ? Le 13 septembre 2019 le juge des référés a condamné Raymond Vasseur à 40 000 € d’indemnités d’occupation et ordonné son expulsion dans un délai de 2 mois. Raymond et Véronique sont anéantis et dévastés. Toute leur vie dédiée au respect de la Nature et à la mémoire forestière s’écroule…

A l’issue de la trêve hivernale le 31 mars 2020, Raymond et Véronique Vasseur se retrouveront à la rue, pour que l’ONF puisse décider (ou pas) de laisser tomber en ruine leur Maison Forestière, ou la transformer en relais de chasse, ou pourquoi pas la louer à un tiers arrangeant, comme c’est le cas pour tant d’autres Maisons Forestières…

C’est pourquoi, devant cette décision injuste, incohérente et discriminatoire, nous en appelons, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, Monsieur le Directeur Général de l’ONF, à votre sens de l’honneur et de l’équité, afin d’accepter que les Agents Forestiers admis à la retraite et qui le souhaitent, puissent bénéficier de la priorité pour obtenir la location de leurs Maisons Forestières lorsque celles-ci ne sont plus affectées à un poste de service, comme le stipulait la note de service n° 70-C63 du 21/05/1970 signée par le Directeur Général de l’ONF (ci jointe).

Nous en appelons à votre bienveillance et à votre humanisme afin d’appuyer notre demande et de soutenir ce couple afin que soit effacées les indemnités d’occupation dues, et que l’expulsion de Raymond et Véronique Vasseur soit annulée afin de leur proposer un arrangement afin qu’ils puissent se maintenir légalement et en toute sérénité dans leur Maison Forestière.

* (C) Pétition : Une majorité de citoyennes et de citoyens le demande : retrait de la réforme Macron !

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Depuis le 5 décembre, des millions d’hommes et de femmes se retrouvent dans les grèves, dont beaucoup en reconductible, et les manifestations à l’appel des organisations syndicales.

Ils et elles rejettent la réforme du système de retraites que veulent leur imposer le président de la République et son gouvernement.

Ce projet n’est pas acceptable, car il est porteur de régression des droits de chacune et chacun : toutes les hypothétiques avancées proposées par le gouvernement devraient être financées par des baisses de pensions ou par l’allongement de la durée de la vie au travail. D’autres choix sont pourtant possibles.

C’est pourquoi nous demandons le retrait du projet présenté par le Premier ministre, afin que soient ouvertes sans délai de vraies négociations avec les organisations syndicales, pour un système de retraites pleinement juste et solidaire, porteur de progrès pour toutes et tous, sans allongement de la durée de la vie au travail.

* (C) Pétition : Libérez les herboristes français !

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Auteur : Fanny Leriac de l’Association Internationale pour la Défense des Médecines Naturelles (AIDMN)

Madame, Monsieur,Imaginez cette situation grotesque : En France, dans une ville ou un village près de chez vous…un herboriste à la solution pour soulager vos douleurs, vous redonner du tonus ou calmer votre stress…Mais il n’a pas le droit de vous le dire !

Cette situation ubuesque est pourtant bien celle dans laquelle vous vivez aujourd’hui.Si vous habitiez au Québec, en Belgique ou en Suisse, cet herboriste aurait le droit de vous aider mais en France…Ce même herboriste risque de gros ennuis avec la justice ! En 1941, le Maréchal Pétain a banni le métier d’herboriste en France. Aussi fou que cela puisse paraître, cette loi est toujours en vigueur !

Et l’herboristerie française est aujourd’hui sous respiration artificielle : il ne reste que 15 herboristeries contre 23’000 pharmacies en France. Pire : les rares herboristes français sont traités comme des délinquants ! Ils exercent leur activité dans la clandestinité et s’ils vous conseillent des plantes, ils risquent une condamnation par la justice.C’est ce qui est arrivé à plusieurs d’entre eux au cours des dernières années. La non-reconnaissance du métier d’herboriste nous prive injustement du patrimoine des plantes médicinales pourtant si précieux pour notre santé.

Heureusement…Pour la première fois en 78 ans, une lueur d’espoir est en train de naître.Il y a un an, presque jour pour jour, le Sénat a publié un rapport sur le développement de l’Herboristerie. On parle même d’un projet de reconnaissance officielle du métier d’herboriste par la loi. Ce serait une véritable révolution pour votre santé et celle de vos proches ! Car vous pourriez alors voir refleurir près de chez vous les herboristeries d’autrefois.Et vous pourriez enfin profiter en toute liberté et en toute sécurité des bienfaits des plantes médicinales.

Mais au moment où vous lisez ces lignes…Les laboratoires pharmaceutiques font le FORCING CONTRE le retour des herboristes.Dans les couloirs du Ministère de la Santé, des lobbyistes manoeuvrent pour faire capoter ce projet de loi et empêcher le retour des herboristes dans les rues de nos villes et de nos villages.Pourquoi ? Tout simplement parce que le retour des herboristes est un concurrent qui menace pour les profits de l’industrie pharmaceutique.C’est la raison pour laquelle le lobby pharmaceutique veut enterrer le courageux rapport sénatorial sur l’herboristerie et vous priver du choix de vous soigner comme VOUS le souhaitez.

Pourtant…Ces trésors de la Nature vous appartiennent !Et vous devez pouvoir en profiter librement et en toute sécurité grâce au savoir des herboristes. Si vous estimez que vous, votre conjoint, vos enfants, vos proches et tous les Français doivent avoir le droit d’utiliser les plantes médicinales librement, SIGNEZ MAINTENANT notre grande pétition nationale pour le retour des herboristes ! Faites entendre VOTRE VOIX ! IL Y A URGENCE !

Cela fait déjà un an que le rapport sénatorial sur l’herboristerie a été rendu et ses propositions sont toujours bloquées.De nombreux défenseurs de l’herboristerie pensent que seul un grand soutien populaire à cette cause peut faire bouger les choses. C’est pour cela que je vous supplie de SIGNER MAINTENANT notre grande pétition nationale pour le retour du métier d’herboriste.

En signant cette pétition MAINTENANT, vous demandez à Agnès Buzyn, Ministre de la Santé, de garantir :

  • La mise en oeuvre des 39 propositions du rapport sénatorial sur le développement de l’Herboristerie.
  • Le lancement d’un projet de loi sur le retour de l’Herboristerie en France dès 2020.
  • La reconnaissance officielle du métier d’herboriste interdit en France par le régime de Vichy (loi de 1941).

Ainsi, vous et tous les Français pourrez bénéficier pleinement et en toute sécurité des possibilités nombreuses offertes par les plantes médicinales pour se soigner naturellement. Je compte sur votre soutien : plus nous serons nombreux à faire entendre notre voix, plus nous avons de chances de gagner cette bataille cruciale pour notre santé. Signez MAINTENANT. Je vous remercie pour votre engagement et votre soutien.
Fanny Leriac, Association Internationale pour la Défense des Médecines Naturelles (AIDMN)

* (E) Pétition : Stop au commerce illicite du palissandre au Ghana

125.381 signatures sur 150.000 lien pour signer

À la Commission européenne

Madame la Présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen,
Mesdames et Messieurs les Commissaires européens,

L’Union européenne et le Ghana sont sur le point de signer un contrat commercial portant sur le bois, conformément au plan d’action relatif à l’application des réglementations forestières, à la gouvernance et aux échanges commerciaux (FLEGT). Il est attendu que le Ghana octroie dès 2020 des licences FLEGT dans le cadre d’un accord de partenariat volontaire (APV).

Le Ghana est considéré comme un exemple pour le plan d’action FLEGT en Afrique. Mais une grande partie de la filière bois est illégale et extrêmement corrompue. Cela concerne notamment le commerce du vène (Pterocarpus erinaceus), qui peut conduire à la disparition de cette espèce de palissandre dans la région.

L’Agence d’investigation environnementale (EIA) analyse de manière détaillée dans son rapport BAN-BOOZLED « comment la corruption ainsi que des ententes frauduleuses alimentent le commerce illégal de palissandre au Ghana ».

L’exportation illégale de ce bois précieux ne viole pas uniquement la convention de Washington sur le commerce international des espèces de faune et de flore (CITES), mais également une interdiction nationale. Cela sape les efforts du Ghana visant à établir un système de commerce transparent et légal.

Nous vous demandons donc de faire pression afin que le gouvernement du Ghana mette fin au commerce illégal de palissandre. L’UE et le Ghana doivent s’assurer du respect des règles de la CITES. Plus aucun tronc de vène ne doit quitter le Ghana.

Nous vous prions d’agréer, Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs les Commissaires, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : TOTAL : stop au projet pétrolier Tilenga en Ouganda

172.005 signatures sur 150.000 lien pour signer

Au Président de l’Ouganda, Yoweri Museveni, et aux dirigeants de TOTAL, Tullow Oil, CNOOC, CCCC et Exim Bank of China

Monsieur le Président, Madame, Monsieur, la région qui entoure les chutes de Murchison est un joyau de l’Afrique. Les divers écosystèmes du rift Albertin abritent 500 autres espèces animales dont certaines emblématiques comme le lion, l’éléphant et l’hippopotame. Chaque année, des milliers de touristes venus du monde entier visitent les chutes de Murchison, procurant des revenus substantiels à la population locale et à l’Ouganda dans son ensemble.

Ce trésor naturel unique et les moyens de subsistance de la population sont toutefois menacés si le projet pétrolier Tilenga et la réalisation des infrastructures y afférents se poursuivent. Leur mise en œuvre affecterait également le secteur du tourisme tout comme la réputation de l’Ouganda, considéré jusqu’ici comme un pays soucieux de la protection de la nature et du climat. Les premiers dommages sont déjà visibles, puisque l’extension des routes à travers le Parc national Murchison Falls a déjà commencé.

Nous vous demandons de laisser le pétrole là où il est. Merci de mettre fin au projet Tilenga ainsi qu’à tous les projets liés à l’activité pétrolière, tels que la construction de routes. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Madame, Monsieur, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Ne sacrifiez pas les récifs coralliens à l’industrie du tourisme !

236.701 signatures sur 250.000lien pour signer

Aux dirigeants de Royal Caribbean, Carnival, MSC, Disney et autres compagnies de croisières

Madame, Monsieur, de nombreux touristes d’Amérique du Nord et d’Europe poursuivent ce rêve de croisière aux Caraïbes : des eaux cristallines, une profusion de poissons multicolores, de sublimes récifs coralliens et des plages magnifiques. Vos entreprises le savent bien et font la promotion de ces voyages à coup d’images paradisiaques. Toutefois, ce rêve pourrait virer au cauchemar si les touristes prenaient conscience que les compagnies de croisières participent à la destruction des écosystèmes qu’ils apprécient tant. C’est notamment le cas aux îles Caïmans.

Le gouvernement des îles Caïmans envisage la construction d’une jetée dans le port de George Town. Nous ne sommes pas sans savoir qu’il est reproché aux compagnies de croisières d’exercer des pressions sur de petits États insulaires comme les îles Caïmans pour construire ce type d’installation portuaire, faute de quoi leurs navires cessent de desservir ces destinations. La construction et le trafic maritime croissant dans des zones écologiquement sensibles pourraient détruire des récifs coralliens uniques. Selon les biologistes marins, il est impossible de déplacer les récifs ou de compenser les dégâts sur un autre site. Ceci signerait la perte définitive des récifs, habitat d’innombrables espèces de poissons, coquillages, éponges et plantes.

La destruction des récifs coralliens et des écosystèmes marins est inacceptable ! Les habitants des îles Caïmans se battent pour leur environnement depuis des années. Aujourd’hui, ils en appellent à l’aide de la communauté internationale. Ensemble, ils demandent :
- Ne soutenez pas la construction d’une jetée dans le port de George Town aux îles Caïmans.
- Ne détruisez pas les récifs coralliens de George Town.
- Ne lancez pas, ne promouvez pas et ne financez pas des projets qui endommagent et détruisent les récifs coralliens, les mangroves et autres écosystèmes marins.
- Soutenez la protection des écosystèmes marins dans les Caraïbes et dans le monde.

* (C) Pétition Fin des poursuites contre l’héroïne qui a sauvé des vies en mer

425.369 signatures sur 500.000 lien pour signer

Je vous demande de signer cette pétition en geste de solidarité pour tous les collaborateurs courageux et engagés qui risquent la prison. Je lance également un appel au ministre de l’Intérieur italien de droite, Matteo Salvini, pour qu’il acquitte les sauveteurs immédiatement ! S’il vous plaît, aidez-nous à financer le procès coûteux, je vous demande de soutenir financièrement Pia et son équipe

À mes yeux, chaque vie humaine a la même valeur, c’est pourquoi il est indispensable d’aider ceux qui en ont besoin. Nous ne devons pas être obligés de repenser nos concepts moraux à cause de punitions injustifiées possibles ! Le silence n’est plus une option !

Pour une démocratie forte et libérale.

* (E) Pétition : Stop au diesel à l’huile de palme et de soja, MAINTENANT !

194.456 signatures sur 150.000 lien pour signer

Au Président de la République et au gouvernement français
Monsieur le Président,Madame la Ministre, Monsieur le Ministre,

Le carburant de nos stations-services contient toujours plus de biodiesel produit à partir d’huile de palme et d’huile de soja. Nous demandons au gouvernement d’engager une suppression immédiate de l’huile de palme et de l’huile de soja dans le carburant au niveau national.

La culture de palmiers à huile et de soja est la principale responsable de la https://www.sauvonslaforet.org/petitions/1182/mobilite-il-faut-moins-de-voitures?mtu=438165224&t=5650destruction des forêts tropicales et anéantit la biodiversité. Le biodiesel est jusqu’à trois fois plus nocif pour l’environnement que le diesel fossile. Nous ne voulons pas d’huile de palme et d’huile de soja dans nos réservoirs !

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, l’expression de notre très haute considération.

* (E) Pétition : Mobilité : il faut moins de voitures !

109.637 signatures sur150.000 lien pour signer

Au gouvernement et à l’UE : Madame, Monsieur, L’électromobilité n’est pas respectueuse de l’environnement ni climatiquement neutre. Elle nécessite d’énormes quantités d’électricité, dont la production écologique est loin d’être garantie. La fabrication de voitures électriques nécessite de grandes quantités de métaux et d’autres matières premières, qui doivent être presque intégralement importées de pays tropicaux et de zones de forêts tropicales.

L’électromobilité ne conduit pas au recul du trafic routier, comme en témoignent le nombre en augmentation constante d’immatriculations de véhicules et l’encombrement croissant du réseau routier. Nous vous demandons de réduire le nombre de voitures et le trafic routier. Les populations devraient pouvoir atteindre leur destination de manière rapide et sécurisée à pied, à vélo, en bus ou en train.

Merci de développer des concepts de mobilités efficaces qui profitent réellement aux hommes et à la nature. Nous vous prions d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : N’extradez pas Julian Assange vers les Etats-Unis

408.673 signatures sur 500.000 lien pour signer

Calder Claydon a lancé cette pétition adressée à Sajid Javid, Secrétaire d’Etat à l’Intérieur britannique et à 2 autres

Julian Assange vient d’être arrêté après s’être réfugié pendant 7 ans à l’ambassade d’Équateur à Londres. S’il doit être jugé pour des crimes, il doit l’être en Europe et ne doit en aucun cas être extradé vers les États-Unis, où il risquerait de faire l’objet d’un procès politique. Assange a facilité la fuite de documents américains classifiés qui intéressent tout le monde. Ces fuites ont permis de révéler des violations des droits de l’Homme commises par le Gouvernement américain et ainsi que des cas d’espionnage d’alliés. Toute allégation contre Assange devrait être traitée dans le système de justice pénale britannique ou européen.

Si l’enquête suédoise sur le viol à son encontre est rouverte, il doit bien sûr faire l’objet d’une enquête et être tenu pour responsable. Mais le Ministère de l’Intérieur a déclaré qu’il avait été arrêté suite à une demande d’extradition émanant des États-Unis. Que vous soyez d’accord avec Assange ou non, s’il est remis aux États-Unis, cela créera un dangereux précédent : n’importe quel journaliste pourra être extradé aux États-Unis simplement pour avoir publié des informations complètes et véridiques. Veuillez signer ma pétition appelant les autorités britanniques à refuser de remettre Julian Assange aux États-Unis.

* (E) Pétition : Le Botswana veut réautoriser la chasse aux éléphants !

247.900 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Président de la République du Botswana

Monsieur le Président, le Botswana était jusqu’à présent considéré comme un refuge pour les éléphants. Il jouissait d’une bonne réputation auprès des défenseurs de l’environnement et des touristes participant aux safaris. Nous constatons avec inquiétude que la population des éléphants s’effondre en Afrique et que les braconniers sévissent de plus en plus au Botswana. Malgré cela, vous envisagez de lever l’interdiction de la chasse en vigueur depuis 2014 et de mettre en place un abattage régulier (culling).

Nous vous demandons de rejeter les propositions de votre commission sur la réforme de la protection des éléphants. Des mesures telles que la levée de l’interdiction de la chasse et l’abattage systématique ne menacent pas uniquement la population d’éléphants, mais nuisent également à la réputation de votre pays et au très lucratif tourisme du safari. Les éléphants ont besoin de la meilleure protection possible. Nous vous exhortons en conséquence à :

  • Maintenir l’interdiction de la chasse.
  • Cesser l’abattage ciblé.
  • Lutter contre le braconnage.
    Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Sables bitumineux - stop au monstrueux projet Frontier

2550627 signatures sur 300.000 attendues Lien pour signer

Réaliser la plus grande mine de sables bitumineux de tous les temps. C’est ce que pourrait bientôt autoriser le Canada à l’entreprise Teck Resources. Cet ouvrage démesuré menace une zone sauvage de 292 km², l’habitat des ours et des caribous et le Parc National Wood Buffalo. Mobilisons-nous pour empêcher cette catastrophe écologique !

Au Premier ministre et à la ministre de l’Environnement du Canada

Le projet Frontier mené par l’entreprise Teck Resources est une catastrophe écologique aux conséquences planétaires. Stop à l’extraction de sable bitumineux ! Des trous béants jonchent déjà le nord de l’État de l’Alberta. Du sable contenant des hydrocarbures est extrait dans des mines à ciel ouvert. L’eau polluée par des métaux lourds est stockée dans des lacs artificiels. Des bassins de retenue et des raffineries émettent des gaz toxiques. Le projet Frontier est une hérésie environnementale qui accumule tous les non-sens écologiques. L’entreprise Teck Resources y investit 13 milliards d’euros et veut commencer les travaux en 2019 pour produire 260 000 barils par jour à partir de 2026 - pendant 50 ans. Le pétrole issu des sables bitumineux est celui le plus nuisible au monde pour le climat. Son extraction et sa transformation requièrent des quantités d’énergie bien plus importantes que pour le pétrole conventionnel. Pour protéger le climat, le pétrole doit rester dans le sol - sinon la sortie des énergies fossiles devient illusoire.

Des pipelines sont en projet et constituent d’autres véritables bombes écologiques. Le pipeline Trans Mountain de la société Kinder Morgan doit acheminer du pétrole jusqu’au Pacifique en passant par les Montagnes Rocheuses. Des risques de fuite existent. Si un pétrolier échouait, la marée noire menacerait la côte et l’habitat des orques. L’Unesco s’alarme du danger potentiel du projet pour le parc national Wood Buffalo situé à l’embouchure de la rivière Athabasca. Le cours d’eau est déjà pollué et son état pourrait empirer.

La population souffre aussi de la destruction de l’environnement. Les Premières Nations des Cris de Mikisew et chipewyanne d’Athabasca se sont opposées au projet et ont déclaré la région située au nord de la rivière Firebag « zone interdite ». Les droits des populations indigènes y sont toutefois bafoués.La décision relative à l’autorisation du projet sera prise cet été. Nous devons éviter la catastrophe !

* (E) Pétition Non à l’importation massive de viande bovine d’Amérique du Sud !

329.276 signatures sur 350.000 attendues Lien pour signer

L’UE veut finaliser au plus vite un accord de libre-échange avec quatre pays sud-américains qui espèrent exporter massivement leur viande bovine à bas prix vers le marché européen. Les grandes perdantes seraient les forêts et savanes détruites pour l’expansion des pâturages. Mobilisons-nous contre la signature de l’accord UE-Mercosur.

Lettre à la Commission européenne et aux gouvernements des Etats membres de l’UE

L’accord de libre-échange projeté avec les Etats du Mercosur constitue une grave menace pour l’homme et la nature. Merci de le rejeter. La motivation de l’accord avec l’Amérique du Sud est claire : le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l’Uruguay veulent vendre plus de viande bovine et de volaille, de sucre et d’éthanol dans l’UE, favorisant l’agriculture intensive et ses graves conséquences pour l’homme et la nature.Les quotas d’importation de viande bovine dans l’UE doivent augmenter. Au lieu des 70 000 tonnes initialement prévues, il était question de passer à 99 000 tonnes début mars. Les États du Mercosur espéraient même parvenir à 200 000 tonnes ! Des quotas plus élevés conduiront inévitablement à une augmentation de la production de viande. Des forêts seront détruites pour établir des pâturages et développer la culture de soja. En Europe, la concurrence des pays du Mercosur menace de déclencher une guerre des prix, au détriment de l’agriculture écologique et du bien-être animal.

L’agriculture intensive affecte souvent la population. Ainsi, en Amérique du Sud, des avions épandent du glyphosate dans les champs, polluant les villages au passage. Les conditions de travail ressemblent à de l’esclavage dans certaines plantations. Indigènes et paysans sont expulsés pour augmenter l’étendue des pâturages. L’accord entre le Mercosur et l’UE ne se limite pas aux quotas d’importation et aux douanes, mais s’étend aux « obstacles commerciaux non tarifaires », c’est-à-dire aux normes environnementales, aux droits des consommateurs et des travailleurs. Prenons un exemple : dans la mesure où l’accord doit faciliter les importations de sucre dans l’UE, il sera plus difficile, voire impossible, de mener des campagnes contre l’excès de sucre dans les friandises. Il en va de même pour les plantes génétiquement modifiées telles que le soja et des produits comme le glyphosate. Ce dangereux accord ne doit pas aboutir. Merci de signer la pétition !

* (C) Pétition : Oui au train de nuit !

178.456 signataires sur 200.000 attendus lien pour signer

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De nombreux trains de nuit ont été démantelés en 2016-2017. Le Paris-Nice est menacé en décembre 2017. L’activité demanderait au contraire à être relancée. Le train de nuit est un service efficace et pertinent pour l’avenir :

- Il permet de relier les territoires périphériques et les régions éloignées les unes des autres.

- Voyager pendant notre sommeil, permet d’arriver tôt le matin, sans (demi-)journée perdue dans les transports
- Le train de nuit est une alternative moins énergivore aux transports aériens et routiers. Il est compatible avec la Transition Écologique.

- Les trains de nuit ont une forte capacité (jusqu’à 800 places), et ils affichent toujours de bons taux de remplissage. La "baisse de fréquentation" qui sert de prétexte au démantèlement provient d’abord d’une diminution du nombre de trains.

- L’Autriche relance les trains de nuit en Europe centrale et elle a montré qu’ils peuvent s’autofinancer. Le "déficit supposé" des trains de nuit en France tient aussi aux nombreux dysfonctionnements (absence de promotion commerciale, sortie à la réservation souvent tardive, fréquentes annulations, etc).

Nous souhaitons donc dès aujourd’hui :

* qu’un bilan moins caricatural des trains de nuit soit publié.

* que les trains de nuit soient relancés et qu’ils reprennent leur place dans l’offre des transports.

Le tramway avait lui-aussi disparu au 20ème siècle, et désormais de nombreuses villes en rêvent. Le vélo n’était plus utilisé comme moyen de déplacement dans les années 1990, il est également de retour. Les trains de nuit ont besoin de vous pour revenir à leur tour !

Infos, idées d’actions, et une enquête sur le potentiel des trains de nuit sont disponibles ICI

===>Vous trouverez ci-dessous un communiqué de Presse et une photo en PJ à l’occasion du rassemblement organisé par les Amis du Rail Azuréen le 8/12/2017 à 19h gare de Nice-Ville pour informer les usagers de la suppression du train bleu le NICE PARIS le 9.12.17. Nos actions successives ne sont pas restées dans l’indifférence, les arguments développés tout au long de notre combat pour le maintien du service public ferroviaire, leurs sincérités ont touché les citoyens, les élus peuvent agir plus librement des dizaines de milliers de citoyens les soutiennent dans leurs démarches nouvelles. Les besoins de mobilité sont immenses dans notre ère numérique, les suppressions des lignes intercités sont incohérentes avec les objectifs de mobilité durable et de lutte contre le changement climatique. Nous n’en resterons pas là nos démarches persévèrent jusqu’à la reprise de ce service public. Pour les participants à ces rassemblements qui n’ont pas remis leur adresse de messagerie, les amis qui les ont fait associer à nos démarches leur communique ce mel et nous font parvenir s’ils le souhaitent leur adresse E-mail pour les ajouter à nos listes de diffusion et les tenir informés.

Bien cordialement, Nallino Germain

COMMUNIQUE DE PRESSE : Un avenir au Train Bleu …

Une quarantaine d’usagers avait répondu à l’appel des Amis du Rail Azuréen du 8 décembre pour aller à la rencontre des usagers du train Bleu. Une ambiance joyeuse régnait dans la salle des pas perdus de la gare de Nice-Ville, nous avions communiqué la bonne nouvelle, Philippe TABAROT vice-Président PACA en charge des Transports en réponse à nos initiatives nous annonçait l’implication de la région PACA dans le financement des Intercités et le Train Bleu. Cris de joie, distribution de tracts 500 ce soir, discussion avec des usagers dont certains n’avait toujours pas connaissance de la suppression du Train Bleu. Des commerciaux : « ce n’est pas possible qu’on supprime le train Bleu ! Le programme que nos avions monté pour nos déplacements sur Nice devient obsolète. C’est au moins une nuitée d’hôtel qu’il faudra compter en plus… » Un autre « je ne comprends pas, à chaque montée sur Paris le train est bien chargé, j’ai même eu des difficultés à réserver une couchette préférentielle. Il est certain que ce train pourrait mieux faire s’il était modernisé, espace convivial de détente, espace de travail numérisé, restaurant … avec une bonne publicité, des tarifs attractifs, le respect des horaires je pense qu’il faudrait dédoubler ce train. Trois journalistes radio, Europe 1, France Inter, une Radio régionale interviewaient usagers et organisateurs.

Nous ne pouvons que constater l’intérêt que suscitent les trains de nuit. En Autriche ils ont réussi le tour de force de remettre sur rail 6 liaisons de nuit abandonnées par la DB avec du matériel existant relooké. L’objectif étant de satisfaire une large palette de clientèle aux exigences très différentes : Löw cost, déplacements en famille, en couple ou voyages d’affaires. Tout est possible, de la place assise bon marché jusqu’au compartiment individuel équipé de toutes les commodités (WC, lavabo, douche), avec collation en soirée et copieux petit déjeuner à la carte. Et pourquoi pas chez nous en France ? Toutes rencontres nous ont démontré un potentiel d’usagers importants, la SNCF doit faire les efforts d’adaptation ainsi qu’une organisation ponctuelle. La Région PACA a pris un tournant politique décisif dans l’avenir des Intercités et du Train Bleu, le gouvernement doit être à la mesure de nos attentes. Plus que jamais résistance aux intercités et trains de nuit. Il est toujours temps de se mobiliser en ajoutant son nom aux plus de 28 500 signataires de la pétition www.change.org/p/ouiautraindenuit. Celle-ci a d’ailleurs été signée plus de 1500 fois la semaine dernière.

Nallino Germain, Président,156 bd Napoléon III - Bourgogne A - 06200 NICE Tel : 0493 210875 et 0695 306043 amisdurailazureen06@free.fr

* (E) Pétition Pour les tortues : stop au projet de logements de luxe PSR !

219.483 signatures sur 250.000 lien pour signer

À Tun Dr Mahathir Mohamad, Premier ministre de la Malaisie
Monsieur le Premier ministre, le gouvernement malaisien propose la création de trois énormes îles sur une surface de 1821 hectares au large de Permatang Damar Laut, sur la côte sud de l’île de Penang. Cette poldérisation se destine au développement de complexes et ne répond pas à une pénurie de terres. L’absence de consultation publique et le manque d’informations détaillées sur ce projet sont alarmants au vu de son envergure.

La zone concernée par le projet Penang South Reclamation (PSR) est l’aire privilégiée du dauphin à bosse et du marsouin aptère de l’Indo-Pacifique. Le milieu côtier de Permatang Damar Laut, Gertak Sanggul et Teluk Kumbar serait détruit par cette poldérisation et la pollution qui en résulte et les plages immaculées du sud du Penang seraient anéanties.

L’îlot de Pulan Kendi, riche en coraux, pourrait lui aussi être contaminé. La biodiversité marine s’en trouverait affectée et appauvrie dans un rayon de plusieurs kilomètres. Penang, riche de ses collines, de ses mers et de sa capitale classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, se trouve aujourd’hui à un tournant de son histoire.

Des stratégies de développement durable prudentes sur le plan financier et socialement inclusives sont garantes d’une croissance économique solide. Nous avons la responsabilité de laisser une meilleure planète à nos générations actuelles et futures ! Nous en faisons appel à vous pour sauver nos pêcheurs ! Sauvez notre environnement côtier ! Rejetez la poldérisation !Respectueusement vôtre,

* (C) Pétition : INDEXATION DES RETRAITES SUR L’INFLATION

276.896 signatures lien pour signer

Pétition adressée à TOUS LES RETRAITÉS AINSI QUE CEUX QUI PEUVENT NOUS AIDER Par FRANCINE VERGON
Monsieur MACRON va supprimer la hausse de la CSG injustement établie pour les retraités ayant une retraite de plus de 1200 euros/mois. Cette suppression concernera les personne touchant des pensions de - de 2000 euros.
Les retraites n’ont plus été revalorisées depuis avril 2013 ce qui est scandaleux compte tenu de l’augmentation du coût de la vie.
Tous ceux qui ont une pension de retraite de - de 1000 euros par mois sont les grands oubliés des mesures annoncées par MACRON. Beaucoup d entre nous ont du mal, eux aussi, à finir le mois.
NOUS EXIGEONS L’INDEXATION DES RETRAITES SUR L’INFLATION afin que tous puissent vivre un peu plus dignement !

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* (C) PÉTITION NATIONALE POUR METTRE LE COMPTEUR #LINKY HORS D’ÉTAT DE NUIRE.

166.525 signatures,Par stoplinkyblc Lien pour signer
Pétition adressée à M. Emmanuel MACRON

Monsieur le Président, le déploiement des compteurs/capteurs connectés LINKY constitue une atteinte aux droits de l’homme et les prochaines actions en justice collectives pourraient permettre de confirmer plusieurs infractions au droit pénal, code de la consommation, droit communautaire, code des assurances.

Cet appareil ne peut pas être considéré comme un simple compteur. Il a une fonction indissociable et non désactivable de capteur de données personnelles qui en fait de facto un appareil de surveillance au regard de la loi. Par ailleurs, le Linky nous est imposé et constitue de fait une vente forcée. Pour justifier le concept, les pouvoirs publics nous disent ceci : « les données sont récupérées mais elles ne sont utilisées qu’avec l’accord du client. » Par défaut, c’est le contraire qui doit prévaloir : aucun capteur ne doit permettre de récupérer des données y compris par les lignes électriques privées, sauf dans le cadre d’un nouveau contrat de vente signé par le consommateur avant la pose du compteur, lequel doit en outre bénéficier d’un délai de rétractation en vigueur lors de toute vente à domicile, ce qui n’est pas le cas. De plus, il provoque une pollution électromagnétique du fait des communications CPL incessantes dans toutes les lignes électriques de notre habitat qui ne sont pas prévues dans nos contrats d’électricité.

En France, nous aurions pu décider comme huit pays Européens de ne pas généraliser ce dispositif. Pour répondre aux recommandations de l’Europe, nous aurions pu choisir de coupler la génération de compteurs précédant le Linky à l’ADSL. Les pouvoirs publics et ENEDIS ont préféré un système permettant l’intrusion et la récupération de données au profit du Big data et en négligeant la santé. De plus on a transformé une recommandation en obligation, mais seulement pour ENEDIS. Les usagers eux ne sont pas légalement obligés d’accepter : nous pouvons donc refuser sans craindre de sanction d’aucune sorte malgré la désinformation, voir le harcèlement téléphonique pour ceux qui refusent, tout ceci orchestré de façon inadmissible et jusqu’au ministre de l’Ecologie (qui a changé d’avis depuis qu’il est au gouvernement), qui menace par écrit d’une éventuelle fin de la gratuité de la relève des compteurs pour les usagers récalcitrants ! Tous ces éléments constituent une pose forcée (parfois de manière agressive) de ce capteur connecté qu’il est impossible à l’usager de désactiver, et font la démonstration du mépris que portent les pouvoirs publics vis-à-vis de la population. De plus, des préfets et ENEDIS saisissent le tribunal administratif pour faire annuler les délibérations municipales de refus des plus de 500 maires courageux et responsables.

Les risques pour la santé sont sérieux  : les experts indépendants sont considérés comme des empêcheurs et on préfère conserver des normes excessives qui permettent d’ajouter légalement de nouvelles émissions d’ondes électromagnétiques avec le Linky, les autres compteurs communicants et la 5G au lieu de les réduire ! (L’Allemagne a un seuil de 0.1µt, la France : 6.25µt !). Il suffit de constater sur quelle base a été reconduit le glyphosate en Europe pour soupçonner leur légitimité. Du coup, on nous dit qu’il n’y a pas de nocivité : à l’époque l’amiante n’était pas reconnue comme nocive ! Les pouvoirs publics disent que le Linky n’émet pas plus qu’un téléviseur (en réduisant la comparaison au seul boîtier Linky). C’est omettre de dire que la principale problématique vient de la diffusion incessante de données CPL dans toutes les lignes électriques des habitats. Résultat : comme elles ne sont pas blindées, elles se transforment toutes en antennes émettrices d’ondes électromagnétiques 24h/24 et 7j/7. Le CSTB et l’ANFR le démontrent par des mesures prises chez plusieurs habitants en condition réelle de fonctionnement. Ces nouvelles émissions s’ajoutent aux autres (2G, 3G, 4G, Wifi), dont le cumul est nocif pour la santé humaine, et pourrait créer des changements irréversibles dans l’organisme humain (DC Paul Héroux, rapport Bioinitiative…).

Le coût du déploiement se chiffre à presque 6 milliards d’euros sans compter le bilan financier et écologique de la mise au rebut des 35 millions de compteurs en parfait état de marche et qui ont une durée de vie 5 fois supérieure au Linky. Il faut compter aussi la consommation électrique des Linky, des concentrateurs et des Data center dédiés. Les bénéfices pour les usagers seront négligeables, au contraire, dans bien des cas, ils doivent prendre un abonnement plus élevé. Le rapport de la cour des comptes 2018 confirme que les consommateurs n’y trouveront aucun bénéfice réel et que la gratuité annoncée du remplacement du compteur n’est qu’un trompe l’œil !

Les risques de piratages individuels peuvent faciliter des cambriolages et les risques collectifs peuvent se traduire par des coupures d’électricité de plus ou moins grande ampleur. Des hackers en ont démontré la faisabilité avec des compteurs connectés dans d’autres pays. Les compteurs qu’ENEDIS veut remplacer ne sont pas piratables !Les journaux régionaux font état d’incendies et aucune information officielle sur internet n’est disponible à ce sujet.

Les citoyens sont obligés de faire eux-mêmes le travail d’information en créant des collectifs, blogs et pages Facebook, et en tenant des réunions publiques alors que les médias nationaux sont aux abonnés absents dans le travail d’investigation qui est le leur.

Tous ces éléments nous conduisent à vous demander de faire cesser immédiatement les déploiements du Linky et des autres compteurs communicants. Les communications CPL intrusives des Linky et des concentrateurs déjà posés doivent être désactivées et l’usage du CPL abandonné. Dans un deuxième temps, les usagers devront pouvoir demander un remplacement du Linky sans aucuns frais. Les compteurs communicants installés dans les lieux fréquentés par les enfants (crèches, écoles, lycées…) devront être remplacés systématiquement et le Wifi sur Off.

Tous les éléments évoqués ici sont visibles en détail sur le blog : https://stoplinkyblc.blogspot.fr/ et sur les blogs et pages Facebook des 300 collectifs de France.

Veuillez croire M. le Président, en l’assurance de nos sentiments les meilleurs, et soyez sûr de notre attachement à la préservation de notre santé et de nos libertés.

Le collectif Stoplinkyblc.

* (C) Pétition : Que Nestlé cesse de piller la seule ressource en eau de la petite ville française de Vittel

150.128 signatures sur 150.000 lien pour signer

800 millions de litres par an. C’est la quantité d’eau que Nestlé prélève chaque année dans la nappe souterraine de la petite ville de Vittel, menaçant d’épuisement la ressource principale des habitants. Mais au lieu d’exiger de Nestlé qu’elle cesse ses prélèvements, élus et industriels reportent la responsabilité sur les habitants. Leur solution ? Construire un pipeline de plusieurs dizaines de kilomètres pour venir ravitailler les 30 000 habitants du territoire concerné — et au frais du contribuable bien sûr ! Un projet qui ravit Nestlé mais qui a également conduit à ouvrir une enquête pour conflit d’intérêts contre l’élue en charge du dossier.

Vous l’aurez compris, les habitants ne comptent pas se laisser faire et nos partenaires du Collectif Eau 88 mènent la lutte sur le terrain. C’est pourquoi ils font appel à la communauté de SumOfUs aujourd’hui pour les aider dans leur combat. Les habitants sont seuls face à la multinationale et à l’Etat, unis pour faire triompher leurs intérêts aux dépens de l’avenir des communautés locales.

Nestlé a décidé que la nappe phréatique de Vittel lui appartenait, alors que l’eau est un bien commun censé permettre à chaque population locale de subvenir à ses besoins vitaux. La région des Vosges est certes riche en eau, mais la nappe phréatique très profonde — où Nestlé siphonne l’eau la plus pure — se recharge très lentement… N’ayant pas le temps de se régénérer, la nappe perd irrémédiablement 800 millions de litres chaque année... Exactement la quantité pompée par Nestlé — soit 280 piscines olympiques ! Ainsi, avec son pompage de 800 millions de litres par an, « Nestlé est aujourd’hui responsable de la totalité du déficit », estiment nos partenaires locaux du Collectif Eau 88.

Face à cette catastrophe environnementale, la solution des élus est de creuser un trou pour en reboucher un autre : ils souhaitent construire un pipeline de plusieurs dizaines de kilomètres pour faire acheminer l’eau de territoires voisins. Des travaux qui s’élèvent entre 12 et 30 millions d’euros, financés par les contribuables, les citoyens et peut-être Nestlé pour partie. Ce projet est un véritable cadeau de l’Etat à Nestlé, privatisant de fait la nappe phréatique au bénéfice de la multinationale.Montrons à Nestlé que les habitants de Vittel ne sont pas seuls dans leur lutte et exigeons de la multinationale qu’elle cesse le pillage de la nappe phréatique !

Mais le scandale ne s’arrête pas là. Le projet pourrait également révéler de bien sombre conflits d’intérêts. Claudie Pruvost, conseillère départementale vittelloise ainsi que la Vigie de l’Eau sont actuellement visés par une enquête. Présidente de la Commission Locale de l’Eau qui devait trouver comment mettre un terme à la surexploitation de la nappe, elle est aussi l’épouse de Bernard Pruvost, ex-cadre de Nestlé International et actuel Président de la Vigie de l’Eau, association elle-aussi chargée d’élaborer les solutions... Pour nos partenaires, le risque de prise illégale d’intérêts n’est pas à écarter.

Nous ne pouvons pas laisser Nestlé continuer à privatiser et marchander nos ressources naturelles. La nature n’est pas le réservoir à bénéfices de Nestlé. Que cela soit aux Etats-Unis, au Brésil, en Australie, en Afrique du sud, au Niger, en Afghanistan… ou en Europe, les membres de SumOfUs ont acquis une véritable stratégie d’attaque dans la lutte contre la prédation de Nestlé.Ensemble, une fois de plus, nous savons que nous pouvons faire plier Nestlé et l’industrie de l’eau en bouteille.

* (C) Pétition : Médicaments opioïdes : stop au marché de la honte !

30.485 signatures sur 100.000 lien pour signer

Adressé à : Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn .Stop au marché de la honte !

Madame la Ministre des Solidarités et de la Santé, Une classe de médicaments opioïdes, dits « opioïdes forts », fait actuellement 4 morts par semaine en France. Le phénomène ne cesse de s’amplifier, provoquant des centaines de milliers de morts partout dans le monde. Nous demandons au gouvernement français de prendre immédiatement les dispositions suivantes pour stopper la folle propagation de ces opioïdes forts.

NOUS VOUS DEMANDONS DE RENFORCER DRASTIQUEMENT LE CONTRÔLE DES PRESCRIPTIONS de ces médicaments auprès des médecins et pharmaciens, en multipliant le nombre de conditions astreignantes.

NOUS EXIGEONS LE RETRAIT PUR ET SIMPLE DE LA VENTE DU TRAMADOL, dont l’action addictive et les effets secondaires en font un danger avéré pour la santé publique.

NOUS VOUS DEMANDONS UNE ENQUÊTE DE TOXICITÉ POUR TOUS LES AUTRES OPIOÏDES FORTS, afin que la lumière soit faite sur leur réelle capacité de nuisance sur notre santé.

NOUS EXIGEONS DES LABORATOIRES UNE TRANSPARENCE TOTALE sur les emballages de ces médicaments, afin que tous les dangers y soient vraiment indiqués, clairement et lisiblement.

Nous ne pouvons pas sacrifier la santé des Français à l’intérêt de quelques grands groupes pharmaceutiques, pour qui les « opioïdes forts » sont devenus une manne financière inespérée. Après le Vioxx, le Mediator, la Dépakine, nous voulons pas, chez nous, d’une nouvelle crise sanitaire. Nous ne voulons pas de ces médicaments tueurs !

Je vous remercie, Madame la Ministre, de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête, et vous prie d’agréer l’expression de ma plus haute considération.

Sébastien Duparc

* (C) Pétition : Nous refusons que Total s’implante à Polytechnique

6.905 sur 7.000 signatures lien pour signer

A l’attention d’Eric Labaye, Président de l’école Polytechnique :

10 000 m2 en plein coeur du campus, 250 salariés de Total prévus, c’est du jamais vu ! Dès qu’ils ont pris connaissance de ce projet, une majorité d’étudiantes et étudiants a exprimé son opposition contre le projet. Nous nous joignons à eux pour exprimer notre indignation face à ce projet et vous demandons de refuser immédiatement que Total établisse le site de sa Direction Recherche et Innovation à Polytechnique, et associe son image à la multinationale pétrolière et gazière.

Face à l’urgence climatique, toute institution a un devoir de responsabilité. Polytechnique, une école publique, sous la tutelle du Ministère des Armées, dont la mission première est de former des ingénieur·es qui mettront leurs compétences aux services de l’Etat, de la collectivité, et de l’intérêt général, devrait avoir au moins l’ambition de ne pas légitimer la présence de Total en plein coeur de l’école.

Polytechnique ne peut pas prétendre former ses étudiant.es à construire le futur, tout en ouvrant grand les portes à un acteur qui ne leur en réserve aucun. Total a été historiquement confronté à de multiples allégations de corruption et à la mise en cause de sa responsabilité pour de graves atteintes à l’environnement et aux droits humains. Le dernier rapport du GIEC est sans appel, tout nouveau projet fossile est inadapté au budget carbone conforme aux objectifs de l’accord de Paris. Total prévoit pourtant de les poursuivre ou de les amplifier, notamment dans des pays qui subissent déjà les conséquences les plus dramatiques du dérèglement climatique, comme en Afrique du Sud ou en Mozambique.

Contrairement à son éthique d’excellence, Polytechnique offre en outre son image à un cancre. Total a financé la production d’hydrocarbures pour 9,2 milliards de dollars en 2018 en investissements contre seulement 0,5 milliards dans le secteur décrit comme “bas carbone” à savoir gaz et renouvelables. La légitimité de la Direction de la Recherche et l’Innovation sur les énergies renouvelables de la part de ce géant du pétrole et du gaz est inexistante.

Au contraire, des ressources faramineuses sont mobilisées dans des campagnes de communication et de lobbying, pour duper l’opinion publique et tromper les décideurs. Nous refusons que Polytechnique soit instrumentalisée à ces fins alors que la dynamique pour contrer l’influence de cette industrie n’a jamais été aussi forte, en témoigne la moitié des universités ayant coupé leurs liens avec l’industrie fossile au Royaume-Uni ou les 1150 autres institutions à travers le monde.

Nous demandons :

* L’arrêt du projet de centre de recherche et innovation immédiatement, avant que le chantier de construction du bâtiment débute.

* La suspension de tous les liens avec le géant Total :

* Suspension de Patrick Pouyanné, PDG de Total, du Conseil d’Administration de Polytechnique

* Fin de la chaire d’enseignement et de recherche que Total a négociée dans la foulée en 2018.

* Abandon total du projet : un engagement à ce qu’il ne soit pas transformé discrètement sous une autre forme.

Pour en savoir plus :

* Un rapport de 350.org, les Amis de la Terre et Notre Affaire à Tous dénonce la stratégie du pire de Total et démontre que celle-ci repose sur un scénario prévoyant jusqu’à +3,3°C de réchauffement, mettant ainsi en péril les chances qu’il nous reste de pouvoir enrayer les pires conséquences du dérèglement climatique.

* Lancez une campagne dans votre établissement

* (C) Pétition : STOP 5G Le cerveau humain est de 40 hz et le champ Terrestre 30 hz Maximum

44.683 signatures lien pour signer

voir la vidéo
Imaginez.. Un beau matin, un savant fou, fait intrusion dans votre vie, dans votre maison, vous êtes à table et vous prenez votre petit déjeuner, muni d’un pulvérisateur, notre intrus vous envoie des pesticides ou du round up dans votre assiette, puis vous gave de chimie expérimentale, fait tourner un moteur de voiture sur votre terrasse remplissant l’espace de CO2 et bombarde votre living d’ondes multiples et diverses. Quelle serait votre réaction au bout d’une journée de vie commune ? Et surtout de quel droit vous impose-t-il tout cela ?

Chaque jour des scandales sanitaires et socio-écologiques font la une des médias. Les ondes & les fréquences ne sont pas en reste ! Qu’en est-il de la 5G ? A minima nous sommes tous en droit de poser certaines questions ! Quelles études indépendantes attestent de sa non-nocivité sur la santé publique et sur le vivant au sens large ? Où est le respect des personnes électrosensibles de plus en plus nombreuses, qui n’auront plus aucune zone blanche sur terre où se protéger ?

Wifi, GPS, GSM, MICROS ONDES, RADIO, Quels sont les impacts sur la santé, des ondes cumulées que l’on nous impose dans cette course folle à la surconsommation et à la croissance infinie ? Où sont les études sérieuses sur le sujet ? Quel agenda caché sur le tracking de nos vies privées, alors que ces technologies sont mises en place et validées par des groupes de personnes aux intentions plus que douteuses, l’homme serait-il devenu capable de bienveillance ? A première vue, tout porte à croire que non.

A priori, notre savant fou est aussi aux commandes de l’avion à bord duquel nous nous apprêtons à embarquer. Victor Hugo nous disait " Il est dommage d’observer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas". Mais que nous dicte Dame nature ?

Le cerveau humain fonctionne entre 4hertz en DELTA & 35hertz en BETA. Alors que les champs Terrestres, sur base des résonances de Shumann, fluctuent entre 7 & 30hertz. Sans entrer dans des considérations encore plus scientifiques, il vient déjà deux questions évidentes que tout un chacun est en droit de se poser.

Quel impact sur les champs naturels terrestres, alors que des milliers de satellites supplémentaires vont être mis en orbite afin de ratisser et d’arroser la planète de 5G ? Prenez-vous le risque, d’exposer votre cerveau, principalement composé d’eau (très bon conducteur de champ électromagnétique) à quelques centimètres, voire millimètres de tels appareils ? Il est plus que temps de demander des comptes à notre savant fou, et à défaut d’entendre des réponses cohérentes, bienveillantes et surtout certifiées, de dire STOP, tant qu’il en est encore temps.

Le Danger 5G aujourd’hui est d’abord celui d’agissements en non conscience et de ce qu’ils engendreront pour la santé publique.Agir et demander des comptes c’est maintenant, la 5G ce n’est pas du "FUN", c’est nos santés et la vie d’abord.

Nous pouvons tous agir, visiblement le seul droit de parole qui nous reste, sans risquer de se faire gazer dans les rues, est de porter ensemble ce message aux plus hautes autorités Nationales & Internationales et de conscientiser l’opinion publique, pour cela 2 secondes de votre temps et deux clics pour signer et partager cette prise de conscience auprès du plus grand nombre de vos contacts.

Agissons dans la paix en action, la sagesse et la bienveillance qui prévaut pour tous, politique et lobbyiste y compris, d’ailleurs se sont-ils eux-mêmes posés toutes ces questions pour leur propre famille, amis et enfants, ont ils également connaissance de tous les paramètres ?

Au bout du compte, nous sommes tous exposés aux mêmes radiations et nous partageons le même environnement. Vous pouvez aussi rejoindre et signer la charte " L’accord entre l’homme et sa nature " sur www.ecosfeeria.org/charte. Le futur en conscience n’est pas la responsabilité des autres, mais celle de tous. Merci à toutes et à tous & belle journée

* (E) Pétition : Que voulons-nous, de l’or ou des gorilles ?

196.192 signatures sur 200.000 lien pour signer

À Brett A. Richards, PDG de l’entreprise Banro : Monsieur Richards, la réserve naturelle d’Itombwe en République du Congo abrite un grand nombre de gorilles des plaines orientales, menacés d’extinction, ainsi que des chimpanzés, des éléphants de forêt et de nombreuses autres espèces. Cela n’empêche pas l’entreprise Banro de développer un projet de mine d’or dans cette région aussi importante que fragile du point de vue écologique. Le projet est par ailleurs susceptible de détruire les moyens de subsistance de la population locale et de porter atteinte à ses droits. En raison de ces risques écologiques et sociaux, nous vous prions de mettre fin au projet d’exploitation aurifère dans la réserve naturelle d’Itombwe. La survie des gorilles et d’autres espèces menacées ne doit pas être mise en péril. Nous vous prions d’agréer, Monsieur Richards, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (E) Pétition : Le temps est compté. L’UE doit agir contre la déforestation !

234.555 signatures sur 250.000. Lien pour signer

Saviez-vous que nos habitudes de consommation contribuent à une déforestation massive ? La production de bœuf, de soja, d’huile de palme et de cacao représente 70% de la déforestation mondiale ! Grande importatrice de ces produits, l’UE s’est engagée à arrêter la déforestation d’ici 2020. Elle n’a plus que 20 mois pour agir !
Lettre

À M. Jean-Claude Juncker, Président de la Commission Européenne, Copie aux Vice-présidents Jyrki Katainen et Frans Timmermans et aux Commissaires Cecilia Malmström et Miguel Arias Cañete

L’UE doit rapidement tenir ses engagements contre la déforestation. Un plan d’action de l’UE est urgent pour préserver les forêts et les droits humains.Bœuf, soja, huile de palme et cacao sont les ingrédients de base de produits d’usage courant dans les pays riches : le cacao est transformé en chocolat, l’huile de palme sert à la fabrication de snacks, de produits cosmétiques ou d’essence et plus de 70% de la production mondiale de soja sert à nourrir les animaux dont nous buvons le lait et mangeons la viande. La production de ces ingrédients cause une déforestation mondiale massive, détruisant les forêts en Indonésie, Côte d’Ivoire, Argentine, Brésil et dans de nombreux autres pays boisés. L’expansion des plantations et des fermes est à l’origine d’expulsions, de violence, d’intimidation, de travail forcé, de massacre de communautés locales et d’assassinat d’activistes.L’UE est le deuxième importateur mondial de produits agricoles résultant de la déforestation. La planète a perdu une surface boisée de la taille du Portugal entre 1990 et 2005 à cause de la consommation en UE de produits cultivés sur des terres déboisées, en grande partie de manière illégale.Bien que l’UE se soit engagée à lutter et inverser la déforestation et la dégradation des forêts d’ici 2020, elle n’a encore pris aucune mesure pour freiner les effets désastreux de la consommation de ces biens.Dans 20 mois seulement, nous serons en 2020 : il faut agir maintenant !Signez cette pétition pour demander au Président de la Commission Européenne de tenir ses engagements à arrêter la déforestation et de proposer en conséquence un plan d’action pour protéger les forêts et les droits de leurs habitants. Ce plan devra garantir qu’aucun produit ou qu’aucune transaction financière liée à l’UE ne conduise à la déforestation, à la dégradation de forêts ou à des violations des droits humains.

* (C) Pétition : Hauts fonctionnaires : Stop aux salaires indécents à Bercy !

53.765 signatures lien pour signer

Mesdames, Messieurs, Trop, c’est trop.
À Bercy, au Ministère des finances, il y a 600 personnes qui gagnent plus d’argent que le Président de la République. 17 000 € par mois. Ils sont en charge de récolter et gérer nos impôts mais en profitent pour se sucrer de façon scandaleuse au passage. Même la Cour des comptes, l’organe qui surveille les dépenses publiques s’alarme pudiquement : « Le niveau élevé de la rémunération des administrateurs généraux des finances publiques est difficile à justifier ». Une manière polie de dire que ces super-fonctionnaires s’en mettent plein les poches sans AUCUNE justification. Pourtant, cela fait des années que les gouvernements successifs restent sans rien faire. Ils ont laissé, en toute connaissance de cause, les fonctionnaires de Bercy gaspiller l’argent public à leur propre profit.

Bercy et ses intouchables : Ceci ne serait encore rien s’ils se montraient respectueux des lois… mais ça n’est pas le cas : Vincent Jauvert, journaliste à l’Observateur et auteur du livre Les intouchables de l’Etat les appelle : « la noblesse d’Etat » . Une caste de fonctionnaires surpayés qui semblent au-dessus des lois : 70 % des primes des hauts fonctionnaires de Bercy n’ont « aucune base légale » ! [Ce sont les mots de la Cour des comptes en 2010 et 2011. En 2017 et 2018, rebelote : « les règles juridiques en matière indemnitaire ne sont toujours pas pleinement respectées » On parle ici du ministère des Finances … qui n’applique pas les règles des finances publiques : un comble ! Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais en somme.

Bercy compte « 193 des 219 fonctionnaires les mieux payés de France » : Pour rappel, on parle de salaires « entre 15 000 et 17 000 euros net en moyenne par mois pour les directeurs installés de longue date » Et le pire c’est que cette grille de salaire est certes scandaleuse… mais elle est légale. Avec un salaire de 15 000 euros brut mensuel, même le Premier ministre et le président de la République sont moins bien payés !

Le véritable scandale : les indemnités ! Mais si ces salaires son légaux, c’est avec leurs indemnités « sans fondement légal » que nous pouvons les arrêter. Et selon les rapports de la Cour des comptes, cela se passe à tous les niveaux ! Même lorsque ces hauts fonctionnaires ne sont plus en poste et préfèrent aller jouer leur carte en politique dans les cabinets ministériels, ils continuent à abuser des fameuses indemnités de sujétions particulières (ISP). Elles leur permettent parfois de doubler leur rémunération. Plus grave encore, ces ISP ont « augmenté de 39 % par rapport à 2016, un record, et se montent à 5 484 euros par mois en moyenne, un autre record : s’ajoutant à leur salaire de base, cela leur donne un traitement brut moyen de 12 000 euros par mois ». Mais le pire est que ces indemnités ne sont pas fiscalisées. Ils s’occupent d’appliquer les lois qui sont responsables du matraquage fiscal dans ce pays alors qu’ils ne paient même pas eux-mêmes !

STOP aux abus ! Cela fait plusieurs années que les gouvernements laissent faire. Malgré les informations officielles et vérifiées de la Cour des comptes, ces profiteurs sont épargnés. Nous demandons donc urgemment :

  1. Un contrôle complet de TOUTES les indemnités de « sujétions particulières » (ISP),
  2. Un remboursement avec intérêts de TOUTES les indemnités qui ne sont pas justifiées par la loi,
  3. L’instauration d’un véritable contrôle de ces dépenses pour les prochaines années,
  4. Et le renvoi immédiat de tous les fraudeurs.

* (C) Pétition : Non à la privatisation d’Aéroports de Paris !

336.702 signatures sur 500.000 lien pour signer

Pétition lancée par : David CAYLA et Coralie DELAUME, adressée à Monsieur le ministre l’Économie et des Finances

Après le scandale de la privatisation des autoroutes qui a abouti à des hausses de tarifs pour les usagers et à des rentes de situation exorbitantes pour les concessionnaires, le gouvernement décide de remettre ça. Avec la loi PACTE il s’apprête à se séparer d’Aéroports de Paris, d’Engie et de la Française des jeux, qui lui rapportent pourtant quelques 800 millions d’euros par an. En période de disette budgétaire et de dégradation continue de la qualité des services publics, peut-on vraiment se passer de cette rentrée d’argent ? Ne risque-t-elle pas d’être compensée par l’impôt ? Parmi ces privatisations, le cas d’Aéroports de Paris est de loin le plus préoccupant. Il s’agit d’une infrastructure stratégique, présentant des enjeux de souveraineté, de sécurité, d’aménagement du territoire et environnementaux.

Faut-il le rappeler ? Les aéroports du Bourget, de Roissy et d’Orly forment une frontière stratégique pour notre pays. Avec 101,5 millions de voyageurs en 2017 – en hausse continue – ils représentent même la principale frontière du pays ! Le caractère sensible de ce type d’infrastructures explique d’ailleurs que 86 % des aéroports dans le monde soient publics. Aéroports de Paris est une entreprise rentable. Désormais première société aéroportuaire au monde devant Atlanta, son chiffre d’affaires a progressé de manière très substantielle en 2017 (+22%). Elle verse entre 100 et 200 millions de dividendes à l’État chaque année et sa valeur ne cesse de progresser. ADP, c’est aussi un patrimoine foncier gigantesque aux portes de Paris. Avec la privatisation c’est le privé qui en bénéficiera.

En 2015, alors qu’il était ministre de l’économie, Emmanuel Macron avait vendu l’aéroport de Toulouse à un consortium chinois sans expérience dans la gestion aéroportuaire. Trois ans plus tard, non content d’avoir « vidé les caisses » de l’entreprise en se versant des dividendes considérables – et après avoir été épinglé très durement par la Cour des comptes – le groupe chinois entend le revendre pour un montant supérieur de... 200 millions au prix où il l’a acheté ! Une véritable prédation !

La privatisation d’ADP est un scandale. La loi prévoit une concession extrêmement longue de 70 ans à l’échéance de laquelle l’aéroport ne pourra revenir dans le giron public qu’après une indemnisation des propriétaires. De plus, elle prévoit d’indemniser également les actionnaires minoritaires actuels. Autrement dit, l’État va payer pour privatiser, perdre des revenus et payer à la fin de la concession de 70 ans pour récupérer son dû. Un détroussage en règle et inédit en faveur du privé ! Enfin, tout porte à croire que la privatisation d’ADP est contraire à notre Constitution. Plusieurs juristes l’on fait remarquer, elle entre en contradiction avec le 9ème alinéa du préambule de la Constitution du 27 octobre 1946, qui dit que « tout bien, toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité ». En principe, l’aéroport n’est donc pas constitutionnellement privatisable.

Parce que l’opération sera très coûteuse pour le contribuable et probablement à terme pour l’usager, parce que c’est contraire à notre droit, parce qu’il est irresponsable de faire gérer notre principale frontière par le privé et parce que les précédents (la privatisation de l’aéroport de Toulouse mais également celle des autoroutes) ne cessent de défrayer la chronique, parce que le rôle de l’État en France, enfin, est constitutif de notre identité collective et l’attachement de nos concitoyens au service public très profond, nous demandons au gouvernement de renoncer à la privatisation d’Aéroports de Paris.

* (E) Pétition:La plateforme Biofuture, ni propre, ni verte

136.064 signatures sur 150.000 lien pour signer

Aux gouvernements de l’Argentine, du Brésil, du Canada, de la Chine, du Danemark, de l’Égypte, des États-Unis, de la Finlande, de la France, de l’Inde, de l’Indonésie, de l’Italie, du Maroc, du Mozambique, du Paraguay, des Pays-Bas, des Philippines, du Royaume-Uni, de la Suède et de l’Uruguay.

Suivant l’exemple du Brésil, 20 nations ont approuvé une plateforme Biofuture visant à remplacer notre économie basée sur les énergies fossiles par une économie basée sur les biocarburants, la biomasse et d’autres cultures. Alors qu’il est absolument essentiel d’éliminer les énergies fossiles pour protéger notre planète, remplacer ces dernières par de la biomasse n’est pas la transition dont le monde a besoin. De nombreux gouvernements soutiennent déjà le développement des biocarburants, y compris la combustion d’arbres pour générer de l’électricité et les carburants de transport liquides tels que la canne à sucre, le maïs, l’huile de palme et le soja, entre autres.

Cette « bioéconomie » serait élargie pour inclure l’utilisation de culture et d’arbres pour produire des bioplastiques, des produits biochimiques et toute une série de « bioproduits ». Alors que le terme de « bioéconomie » a été communément adopté, cette économie est faussement présentée comme viable et comme une voie durable vers le bas carbone. En réalité, étant donné l’ampleur de la demande en terre et en eau pour la culture de biomasse, les conséquences seraient désastreuses : reconversion de larges étendues de terres au profit de cultures et de plantations, dégradation continue des écosystèmes naturels restants et déplacements forcés de personnes et de la production alimentaire. La popularité de la bioéconomie repose sur la croyance erronée que nous pouvons maintenir une croissance économique et le statu quo en remplaçant simplement les énergies fossiles par des énergies vivantes.

Une bioéconomie telle que prévue par la plateforme Biofuture serait :

- Mauvaise pour le climat : la plateforme Biofuture prône le passage à la bioénergie et aux biomatériaux pour l’énergie, le transport et l’industrie, en ignorant les effets amplement attestés de la demande en cultures et en plantations qui conduirait à la reconversion de vastes étendues de terre. Il est aujourd’hui scientifiquement prouvé que les biocarburants augmentent les émissions de gaz à effet de serre au lieu de les réduire. Il est bien plus efficace d’investir dans la protection et la restauration des écosystèmes. Mais cela ne peut se faire face à d’importantes demandes en cultures et en bois.

- Mauvaise pour les droits humains : la production de biocarburant à grande échelle a déjà conduit à l’accaparement de terres, ainsi qu’à de violentes expulsions, au déplacement de la production alimentaire et à la faim en raison de la hausse des prix des denrées alimentaires, à la destruction de la souveraineté alimentaire et à des violations du droit du travail. La nouvelle demande massive en terres agricoles pour produire la biomasse nécessaire à maintenir une bioéconomie mondiale ne ferait qu’empirer considérablement ces effets négatifs.

- Mauvaise pour la biodiversité : des forêts et des écosystèmes riches en diversité biologique seraient défrichés pour faire place à la production de biomasse, comme cela a déjà été le cas pour les biocarburants à base de maïs, de canne à sucre, d’huile de palme et de soja. Pour protéger la biodiversité nous devons réduire et non pas augmenter notre demande en terres agricoles, ainsi que diminuer notre utilisation d’eau, d’engrais et de produits agrochimiques.

- Néfaste à des solutions réelles et efficaces : si elle est soutenue, la vision de la plateforme Biofuture ne conduirait qu’à la subvention continue des biocarburants et au détournement des investissements et de l’attention qui devraient être consacrés à des solutions réelles et prouvées. Des solutions qui s’avèrent urgentes si nous voulons enrayer la catastrophe climatique.

Les groupes et particuliers soussignés en appellent aux 20 pays et aux organisations multilatérales signataires de la plateforme Biofuture de cesser leur appui. Nous invitons les autres gouvernements à s’abstenir de tout soutien à la plateforme. Au lieu de cela, nous demandons aux gouvernements de proposer des solutions à la crise climatique qui soient viables et équitables, qui respectent les droits humains, privilégient les technologies à faible émission de carbone, réduisent la surconsommation et les déchets et protègent les forêts et les autres écosystèmes.

Lettre complète (en anglais)

* (E) Pétition : Stop au commerce d’amphibiens !

177.168 signatures sur 200.000 Lien pour signer

Alerte au champignon tueur : partout sur la planète, d’innombrables amphibiens disparaissent, contaminés par un champignon mortel qui infecte leur peau. Le commerce international de grenouilles et autres amphibiens exacerbe la propagation de l’agent pathogène. Demandons la fin de ce commerce afin d’endiguer cette crise mondiale. La crise qui touche les amphibiens est dramatique : au moins 120 des 7.800 espèces connues ont déjà été décimées par le champignon. L’agent pathogène est considéré comme une menace pour la survie des amphibiens.

Le champignon aquatique Batrachochytrium dendrobatidis (Bd) contamine la peau des amphibiens, altère la respiration cutanée et perturbe les processus métaboliques. Très contagieux et souvent mortel, il décime rapidement des populations entières de grenouilles, de crapauds et de salamandres. Bd est « le pire ennemi des amphibiens », explique le biologiste Dirk Schmeller du Centre Helmholtz de recherche environnementale UFZ à Leipzig, qui a participé à une étude internationale sur le champignon. L’agent pathogène du champignon Bd est originaire de Corée et s’est répandu dans le monde entier. Il touche l’Europe depuis les années 90. Cette propagation a été rendue possible par le commerce international d’amphibiens vendus à des fins de recherche, comme animaux domestiques ou aliments. Le commerce de cuisses de grenouille représente des dizaines de millions de dollars et joue un rôle important à cet égard. Les chercheurs redoutent que de nouvelles lignées de Bd soient propagées par le commerce, car elles pourraient s’adapter aux résistances développées par certaines espèces d’amphibiens.

En Europe, les biologistes sont inquiets pour la salamandre tachetée qui est attaquée par le champignon Batrachochytrium salamandrivorans. L’agent pathogène a déjà conduit à une mortalité massive aux Pays-Bas et se propage rapidement en Belgique et en Allemagne. Les chercheurs redoutent que le champignon traverse l’Atlantique. Il n’a encore jamais été observé en Amérique du Nord, où il pourrait menacer des centaines d’espèces. Pour endiguer l’épidémie, nous demandons l’arrêt du commerce d’amphibiens.

Lettre de la pétition : Au Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Copie à la CITES, l’IUCN, l’OMC et l’Organisation mondiale des douanes

Monsieur le Directeur exécutif Solheim, Madame, Monsieur, des scientifiques constatent une mortalité inquiétante des amphibiens dans le monde. Ce phénomène est dû au Batrachochytrium dendrobatidis, un champignon très contagieux et souvent mortel. Selon les études actuelles, le champignon originaire de la Péninsule coréenne s’est propagé jusqu’en Amérique du Sud et en Europe. Cela a été rendu possible par le commerce international d’amphibiens. Les scientifiques préconisent donc la fin de ce commerce. Nous nous joignons à cette demande fondée sur des données scientifiques. Merci de mettre fin au commerce d’amphibiens ! Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Directeur exécutif Solheim, Madame, Monsieur, l’expression de nos respectueuses salutations.

* (C) Pétition : NON aux projets de nouvelles installations nucléaires

25.978 signatures sur 30.000 lien pour signer

Réacteurs EPR, usines polluantes...Refusons de nouveaux projets nucléaires sur nos territoires, interpellons nos élus locaux ! Pétition adressée aux Maires de France, élus municipaux et présidents d’intercommunalités : Une industrie nucléaire à la dérive...

Le chantier du réacteur nucléaire EPR en construction à Flamanville, en Normandie, n’en finit pas de s’enliser. Selon les dernières estimations, il aura plus de 10 ans de retard et coûté 9 milliards d’euros de plus que prévu... Quel gâchis ! Ce fiasco est révélateur de l’état général de l’industrie nucléaire, où les affaires de malfaçons et de fraude organisée s’accumulent, symptôme d’une dérive généralisée de la filière. L’Autorité de sûreté nucléaire elle-même pointe une dangereuse perte de compétences et doute des capacités de l’industrie nucléaire à réaliser de gros travaux.

De fait, EDF est en quasi-faillite malgré la recapitalisation de l’État à hauteur de 3 milliards d’euros en 2017. Aujourd’hui, l’industrie nucléaire est en déroute, c’est un fait.... mais qui part à l’assaut des territoires ! Et pourtant, avec la complicité du gouvernement, l’industrie nucléaire veut implanter de nouveaux projets sur nos territoires en espérant ainsi relancer cette énergie moribonde !Ainsi, malgré le fiasco de l’EPR, EDF compte lancer la construction de six nouveaux réacteurs, sur trois sites différents ! Pour les régions concernées, cela voudrait dire vivre avec le risque d’accident pour des décennies !

Et plutôt que de stopper la production de déchets radioactifs, l’industrie nucléaire veut continuer à parsemer nos territoires de nouveaux sites dédiés à une illusoire « gestion » de cette montagne de substances. Outre le projet Cigéo d’enfouissement de déchets radioactifs dans le Grand Est, on peut mentionner l’installation ICEDA, où seraient entreposés au bord du Rhône des déchets issus du démantèlement, le projet de stockage de combustible nucléaire usé au bord de la Loire, ou encore une blanchisserie radioactive au bord de la Marne...Que ces projets soient ou non implantés directement sur votre territoire, ils vous concernent !

En échange de l’installation de ses projets mortifères dans vos communes, l’industrie nucléaire vous fait miroiter infrastructures, emplois, financement de projets économiques et culturels...Mais ce que vos territoires vont récolter à moyen terme, c’est la désertification d’une région gangrenée par le nucléaire. C’est la dégradation de l’image des produits de votre région, et une perte d’attractivité pour vos communes. C’est vivre avec le risque d’accident, la pollution des rejets chimiques et radioactifs, des déchets, des transports à haut risque, au mépris d’un vrai développement local, de la santé et de la sécurité des populations.

Et même si ces projets ne sont pas implantés près de chez vous, ils vous concernent aussi. Parce qu’au vu de la santé financière désastreuse de l’industrie nucléaire, ils seront financés sur les deniers de l’État, au détriment des services publics dont nos territoires ont besoin. Et parce qu’en cas d’accident sur une de ces nouvelles installations, la pollution ne s’arrêtera pas à la frontière de votre commune.

Je vous demande de vous opposer à la relance insensée de cette industrie qui est un gouffre financier, qui empêche une véritable transition énergétique et qui fait peser sur nous l’épée de Damoclès d’un accident nucléaire et sur nos territoires des pollutions irréversibles.La protection et la santé des populations doit passer avant les intérêts financiers à court terme de l’industrie nucléaire ! Mesdames, messieurs les Maires, élus locaux et Présidents d’intercommunalité ne soyez pas dupes, refusez l’implantation de l’industrie nucléaire dans vos territoires ! Ils méritent mieux que ça ! Le nucléaire n’a pas d’avenir, arrêtons le !

* (E) Pétition : La Chine ne peut pas faire ça !

246.883 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au gouvernement de la République populaire de Chine, Monsieur le Président, Madame, Monsieur,
Nous sommes consternés de prendre connaissance de la volonté du gouvernement chinois d’autoriser à nouveau le commerce d’os de tigre et de cornes de rhinocéros, et ce à des fins « médicales et scientifiques ». Il n’existe aucune preuve scientifique de l’efficacité médicale de ces produits d’origine animale. Cette décision envoie un signal fatal aux braconniers et constitue un coup dur pour la protection des espèces animales menacées au niveau mondial. Elle pourrait signer leur arrêt de mort. L’expérience de l’ivoire montre qu’il est quasi impossible de dissocier les produits légaux et illégaux. Merci de maintenir l’interdiction totale de ce commerce. Nous vous prions de croire, Monsieur le Président, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre considération et de notre vigilance citoyenne.

* (E) Pétition :Banque mondiale : ne financez pas la déforestation au Mozambique !

196.030 signatures sur 200.000 lien pour signer

Alerte au Mozambique ! La société Portucel veut défricher 237 000 hectares de forêt, dont d’uniques écosystèmes de miombo, pour établir des plantations d’eucalyptus et une usine de pâte à papier. Pour la population locale, accaparement des terres et appauvrissement. Demandons à la Banque mondiale de ne pas pas financer ce projet.
Afficher la lettre de pétition

Au président de la Banque mondiale et au directeur général de la Société financière internationale (IFC)

Le projet d’usine de pâte à papier et de plantations d’eucalyptus de Portucel au Mozambique serait une catastrophe écologique et sociale. Ne le financez pas ! Les forêts sèches et savanes de miombo d’Afrique australe forment une mosaïque complexe où les biologistes ont identifié plus de 3E00 espèces d’arbres. Sur les 633 espèces d’oiseaux recensées, 11 sont endémiques et n’existent nulle part ailleurs. De nombreuses espèces d’antilope y trouvent leur habitat, ainsi qu’éléphants, girafes et lions. Aujourd’hui, 114 000 hectares de forêts miombo doivent être abattus dans le nord du Mozambique pour faire place à de monotones plantations d’eucalyptus. Pour la nature, l’impact serait dramatique : rupture de la biodiversité, dégradation des sols et perturbation de l’équilibre hydrologique. Ce projet du papetier Portucel laisse aussi peu de place à la nature qu’aux habitants. De nombreux petits fermiers ont perdu leur terre et leurs moyens de subsistance. Toujours plus pauvres, ils ne savent où s’approvisionner en nourriture. Pour la plupart, les promesses de travail et de meilleures conditions de vie restent une illusion. L’usine doit permettre à Portucel Moçambique de produire 1,5 million de tonnes de cellulose pour le marché asiatique. Les plants proviennent de la pépinière de la société, la plus vaste d’Afrique.Les 3 milliards d’euros investis dans le projet sont la preuve que le grand capitalisme arrive au Mozambique. Pas étonnant donc que l’IFC, membre de la Banque mondiale, participe et détienne 20% des parts. L’usine et ses plantations n’est pas le seul grand projet problématique sur le plan écologique et social. Avec le programme ProSavana, le gouvernement étend l’agriculture industrielle à une échelle massive, suivant l’exemple brésilien. Portucel Moçambique a déjà défriché des milliers d’hectares de forêt. Objectif : établir toutes les plantations d’ici à 12 ans. Il n’est donc pas trop tard pour encore sauver de précieuses zones boisées !

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* (E) Pétition : Le Ghana ne doit pas vendre sa nature à la Chine !

169.118 signatures sur 200.000 . Lien pour signer
Au Président et au Vice-Président de la République du Ghana

Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président, votre pays possède avec la forêt tropicale de montagne d’Atewa un des plus importants trésor naturel d’Afrique de l’Ouest. Elle abrite des espèces animales et végétales extrêmement rares sur le continent, dont certaines endémiques. En novembre 2017, des chercheurs de l’organisation environnementale A Rocha Ghana y ont découvert le Mangabey couronné, une espèce de primate menacée d’extinction. Ce fait remarquable ravive l’espoir de découvrir d’autres espèces, dont nous ne soupçonnons même pas encore l’existence, dans les denses régions de forêt de montagne. Nous vous exhortons à ne pas compromettre cette richesse et ainsi à renoncer à tout projet qui mettrait en péril la forêt de montagne d’Atewa pour des considérations purement économiques. Nous vous demandons d’exclure Atewa de l’accord sur la bauxite avec la Chine et de respecter le droit de la population à disposer d’une information complète et donner son consentement, un droit garanti à l’échelle internationale. Les négociations ne doivent plus être menées à huis clos. Grâce à son incroyable biodiversité, la forêt d’Atewa bénéficie depuis 1926 d’une protection à différents niveaux. Procédez sans attendre à la dernière étape en la déclarant Parc national. Faites-le dans l’intérêt des millions de personnes qui vivent grâce aux ressources en eau offertes par Atewa. Faites-le pour protéger cette faune et cette flore uniques au monde. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, Monsieur le Vice-Président, l’expression de notre profond respect.

* (E) Pétition : Pour une réforme radicale* de la chasse

199.968 signatures sur 200.000 lien pour signer Par One Voice
Pétition adressée à Monsieur Emmanuel Macron, président de la République

*Radical, radicale : adjectif Qui vise à agir sur la cause profonde de ce que l’on veut modifier.

En France, la chasse tue chaque année 45 millions d’animaux sauvages libres ou issus d’élevages (dont 30 millions nés en liberté), sans compter les victimes « collatérales » humaines et animales.La chasse n’est ni un loisir ni un art de vivre ! Et ce n’est pas en remplaçant les termes « tuer » et « abattre » par ceux de « gérer », « prélever » ou « servir » que la pratique en est moins cruelle pour les animaux et moins nuisible pour la nature.Il est temps qu’une activité si destructrice soit interdite. En attendant, voici 10 points pour réformer cette pratique :

  • Indépendance de la police de la chasse ;
  • Interdiction de chasser les espèces en mauvais état de conservation ;
  • Interdiction de chasser en périodes de reproduction ;
  • Interdiction des pièges tuants ;
  • Fin des chasses dites « traditionnelles » (glu, lèques, lacs, pentes, tendelles…) ;
  • Abolition de la vènerie sous terre pour toutes les espèces ;
  • Abolition de la chasse à courre pour toutes les espèces ;
  • Abolition de la chasse dans les espaces protégés (Parcs Nationaux, Réserves naturelles, réserves biologiques) ;
  • 2 jours par semaine sans chasse ni piégeage (dont le dimanche) et l’intégralité des vacances scolaires ;
  • Visite médicale annuelle obligatoire pour le permis de la chasse avec contrôle de la vue.

Nous soussignés demandons aux côtés de l’association One Voice une réforme radicale de la chasse !
Amour de la nature ne rime pas avec destruction, dégradation et souffrance animale mais avec respect et émerveillement.

Avec le soutien des personnalités :
Laurent Baheux - Photographe
Fabrice Nicolino - Journaliste
Laurence Parisot - Dirigeante d’Entreprise
Pierre Rigaux - Naturaliste
Franck Sorbier - Grand Couturier et Maître d’Art
Pierre Athanaze - Naturaliste et forestier
Yolaine de la Bigne - Journaliste et auteure
Vincent Munier - Photographe
Paul Watson - Activiste de la cause animale, capitaine de navire
Marc Giraud - Naturaliste et écrivain

* (C) Pétition : Maladie de Lyme : Stop à l’errance médicale !

30.026 signatures lien pour signer

La maladie de Lyme pourrait être le prochain grand scandale sanitaire du XXIe siècle. Or, la France semble ne pas prendre conscience de l’ampleur du problème. Nous fonçons actuellement droit dans le mur, avec des moyens de dépistage et des traitements obsolètes. Nous dénonçons :
● Des tests non fiables, provoquant un faux diagnostic dans 50% des cas
● Une prise en charge inadaptée des patients, souvent envoyés en psychiatrie
● Des médecins traités comme des criminels, interdits d’exercer ou même condamnés à de la prison

Nous exigeons :
● Une meilleure formation du corps médical sur cette maladie
● Un budget conséquent alloué à la recherche de nouveaux traitements et de tests de dépistage plus fiables
● La fin des poursuites à l’encontre de médecins essayant de traiter cette maladie en dehors des recommandations officielles

Adressons-nous au gouvernement : il est temps de prendre des mesures concrètes pour arrêter l’épidémie qui se profile, et pour que des milliers de malades puissent sortir de l’errance médicale.

* (C) Pétition : NON à la nouvelle réforme des retraites !

9.908 signatures sur 50.000 lien pour signer

5 décembre : grève générale contre la nouvelle réforme des retraites proposée par l’exécutif.Trop, c’est trop. Devra-t-on travailler jusqu’à 70 ans pour une retraite inférieure au SMIC ? Les inégalités se creusent, et les Français continuent d’être traités comme des vaches à lait. Inacceptable !

Infirmiers, professeurs, retraités, cheminots… Solidarité avec ces professions que le gouvernement veut démanteler, tout en saccageant notre héritage social et historique. C’est la goutte de trop ! Le 5 décembre, le peuple a le devoir de reprendre en main la politique. Mobilisons nous contre cette réforme injuste !

* (E) Pétition : Non au train à touristes dans la forêt des Mayas

215.831 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Président mexicain Andrés Manuel López Obrador

Monsieur le Président, la nature est déjà menacée dans le sud du Mexique par le tourisme international, les monocultures industrielles d’huile de palme et de soja, l’élevage, l’exploitation forestière et le commerce illégal des espèces. Des réserves naturelles possédant une valeur écologique et culturelle stratégique ainsi que des communautés d’agriculteurs et de Mayas sont touchées. La construction et l’exploitation du train touristique impliquent une charge environnementale supplémentaire, qui menace les écosystèmes et la biodiversité des zones de forêts vierges de la jungle maya. Une réserve naturelle aussi importante et les sites archéologiques des Mayas doivent être préservés à tout prix.

La nécessité du projet et le tracé de la voie ferrée doivent faire l’objet d’une révision et la dégradation des réserves de biosphère doit être évitée. Cela requiert également la réalisation d’une étude complète sur l’impact environnemental du projet. L’expropriation des terres et l’acquisition de droits de passage, qui concernent les communes de la péninsule de Yucatan, sont une atteinte grave au tissu social. Le projet doit être approuvé par les habitants, ce qui implique de leur fournir des informations complètes et précises sur le projet, comme l’exige la Convention 169 de l’Organisation internationale du travail (OIT).

Les communautés indigènes ne sont pas, selon leurs propres mots, contre le progrès, mais contre des Grands projets qui ne leur apporteront aucun avantage et ne permettront pas de contribuer au développement régional. Les pays, qui préservent au mieux leur patrimoine culturel et naturel, seront les destinations touristiques les plus prisées dans le futur.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : Stop au travail des enfants pour le chocolat !

216.483 signatures sur 250.000 lien pour signer

À la Ministre fédérale allemande de l’Alimentation et de l’Agriculture, Julia Klöckner

Madame la Ministre, le chocolat cache une sombre réalité : 1,2 million d’enfants travaillent dans des plantations de cacao, les ouvriers agricoles ne touchent pas un revenu suffisant pour vivre et les forêts sont détruites au profit de nouvelles plantations. Malgré plusieurs décennies d’initiatives volontaires, la filière cacao mondiale ne s’est guère empressée à attaquer ces questions urgentes.

Une réglementation de l’UE est indispensable pour instaurer un changement à l’échelle de la filière et pour que tous les acteurs soient tenus responsables de leur conduite environnementale et sociale. En tant que principale exportatrice, transformatrice et consommatrice de cacao, l’UE pourrait entraîner toute la filière cacao à réguler ses importations à sa suite. Ceci viendrait compléter la réglementation déjà en place en matière de chaîne d’approvisionnement dans les secteurs du bois, de la pêche et des mines.

Une approche réglementaire peut également présenter de solides avantages pour les producteurs. Ils pourraient ainsi respecter les droits humains et préserver l’environnement sans craindre une sous-cotation des prix par leurs concurrents au détriment de la durabilité. Lors de la Conférence mondiale sur le cacao de 2018 à Berlin, la déclaration finale a conclu que « le respect volontaire n’a pas eu d’impact suffisant » et que des « mesures réglementaires potentielles prises par les gouvernements » sont nécessaires. Les consommateurs européens veulent s’assurer que le chocolat qu’ils achètent :
– est exempt de violations des droits humains, y compris de travail des enfants et de travail forcé ;
– fournit un revenu suffisant aux ouvriers agricoles pour nourrir leurs familles ;
– ne résulte pas de la déforestation et de la destruction environnementale.

La France s’est déjà déclarée en faveur d’une loi de l’UE sur le cacao. Il est temps que l’Allemagne prenne le relais. Malgré des signaux positifs de certaines agences gouvernementales allemandes, le ministère fédéral de l’Alimentation et de l’Agriculture (BMEL) n’a manifesté aucun intérêt apparent à soutenir une loi qui protègerait les enfants et notre planète. Merci d’agir pour protéger les enfants, les populations rurales et l’environnement dans les pays producteurs de cacao et de plaider pour une règlementation de l’UE vis-à-vis de la filière cacao mondiale. Nous vous prions d’agréer, Madame la Ministre, l’expression de notre haute considération.

* (E) Pétition : Aidez-nous à sauver la forêt pluviale du Mulu !

219.174 signatures sur 250.000 lien pour signer

Au Premier Ministre de la Fédération de Malaisie et au Ministre en chef de l’Etat du Sarawak

Monsieur le Premier ministre,Monsieur le Ministre en chef, La forêt pluviale est en train d’être détruite à proximité immédiate du Parc national du Gunung Mulu pour établir des plantations de palmiers à huile. Ces défrichements, réalisés contre la volonté des communautés locales Penan et Berawan, menacent la biodiversité dans la zone voisine, pourtant classée au patrimoine mondial de l’Unesco.

Le gouvernement malaisien ne respecte pas sa promesse de ne plus laisser détruire de forêt tropicale au profit des cultures d’huile de palme. Mais il n’est pas trop tard pour empêcher cette catastrophe. Merci d’annuler sans plus attendre les concessions déjà octroyées et d’adopter un moratoire interdisant toute nouvelle plantation de palmiers à huile.

Merci de soutenir le combat des Penan et des Berawan en mettant fin aux déboisements dans l’exceptionnelle forêt pluviale du Mulu. Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier ministre, Monsieur le Ministre en chef, l’expression de notre profond respect.

* (C) Pétition : Référendum sur l’extension de l’aéroport de Nice

13.882 signatures lien pour signer

Auteur : ViVA ! NICE 2020
Destinataire(s) : Tous les Niçois.es et les habitant.e.s des communes alentour
L’extension de l’aéroport de Nice, avec plus de 20 millions de passagers à l’horizon 2030 contre 13 millions aujourd’hui, est un projet stratégique majeur aux enjeux écologiques, économiques et sociaux déterminants, avec des conséquences directes pour la santé publique.

Nous exigeons :
- la suspension de toute décision
- la tenue d’un véritable débat démocratique
- l’organisation d’un référendum, comme cela a été le cas pour le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, puisqu’il s’agit là-aussi d’une "question locale ayant une incidence sur l’environnement".

A Nice et dans toutes les communes touchées, les habitantes et les habitants ont le droit de décider...

* (E) Pétition : Renforçons la législation pour réduire l’exposition des abeilles à TOUS les pesticides !

83.415 signatures lien pour signer

Voici un nouveau rapport très attendu sur la réglementation des pesticides et la protection des abeilles qui a de quoi donner des sueurs froides à Bayer, Syngenta, Dow et compagnies ! L’Anses - l’agence chargée d’évaluer les risques dans les domaines de l’alimentation et de l’environnement - y met en évidence l’inefficacité de la réglementation actuelle et demande de renforcer la législation française pour réduire l’exposition des abeilles à TOUS les pesticides ! Les lobbyistes de Bayer doivent certainement déjà s’affairer dans les couloirs des ministères pour étouffer ce rapport. Mais ensemble, nous avons le pouvoir de braquer les projecteurs sur ces recommandations et de pousser les décideurs à agir.

Ce rapport est une occasion inespérée de faire pression sur le gouvernement pour obtenir une action immédiate. Il y a urgence Nathalie, et c’est pourquoi, à l’occasion de la Journée mondiale des abeilles, nous lançons cette campagne de mobilisation avec nos partenaires de l’Union Nationale de l’Apiculture Française (UNAF). Joignez-vous à nous pour exiger la refonte de la réglementation actuelle et ainsi sauver nos abeilles de tous ces pesticides tueurs. Dites aux ministres français de l’Agriculture et de la Transition écologique de suivre les recommandations de l’ANSES et de durcir la réglementation pour stopper les pesticides tueurs d’abeilles !

Pour calmer le jeu, le gouvernement a assuré la mise en place d’un « groupe de travail ». Or pour Henri Clément, porte-parole de l’UNAF*, le gouvernement ne doit pas noyer le poisson : « Par le passé, la discussion en la matière a conduit au maintien du statu quo au détriment des pollinisateurs. (...) C’est avant tout de volonté politique que nous aurons besoin pour concrétiser les avancées réglementaires indispensables pour la survie de nos abeilles. Nous attendons des signaux forts. ». Et des signaux forts il va en falloir car si ces produits nocifs sont réglementés depuis 2003, plus de la moitié dérogent aux interdictions comme le rappelle un récent rapport de l’UNAF ! Sous la pression des lobbies des pesticides, la dérogation est bel et bien devenue la règle. Et les conséquences sur les abeilles sont accablantes : ils impactent leur durée de vie et le développement des larves.

Au delà des insecticides, la nocivité des fongicides et herbicides est aussi dans le viseur du rapport, car leurs risques pour les abeilles mellifères et sauvages sont de plus en plus documentés. Il est temps d’exiger que le gouvernement adopte les mesures urgentes nécessaires pour stopper ce massacre et préserver nos abeilles de ces produits tueurs. Dites aux ministres français de l’Agriculture et de la Transition écologique de suivre les recommandations de l’ANSES et de durcir l’homologation pour stopper les pesticides tueurs d’abeilles !

Les apiculteurs, premiers témoins de cette hécatombe, ont été les premiers à dénoncer les effets combinés et catastrophiques des insecticides, fongicides et herbicides sur nos abeilles. Nous perdons massivement nos populations d’abeilles et d’insectes volants. Selon les chiffres d’une enquête menée par le ministère de l’Agriculture, près de 30% des colonies d’abeilles sont mortes durant l’hiver 2017-2018 — c’est autant qu’en un an habituellement. Pour les insectes volants, le déclin est vertigineux : une chute de 80% de leur population en 25 ans.

Ensemble nous avons franchi tellement d’étapes et remportés d’incroyables victoires dans la lutte contre les multinationales du toxique. Vous avez été des centaines de milliers de membres de SumOfUs à vous être mobilisés pour obtenir l’interdiction de tous les néonicotinoïdes en France et de trois des plus dangereux dans l’Union Européenne ! Nous savons qu’ensemble nous avons le pouvoir de pousser nos gouvernements à faire les bons choix. Aujourd’hui, réclamons au gouvernement français la refonte de la réglementation actuelle et d’encadrer le plus strictement TOUS les pesticides : Dites aux ministres français de l’Agriculture et de la Transition écologique de suivre les recommandations de l’ANSES et de durcir l’homologation pour stopper les pesticides tueurs d’abeilles !

Campagne lancée par SumOfUs et l’UNAF

* (C) PETITION : DES CENTRES D’ACCUEIL POUR METTRE LES FEMMES SDF EN SÉCURITÉ

398.563 sur 500.000 signatures Lien pour signer

Mise à jour sur la pétition du 14 Décembre 2018
C’est gagné, la pétition part au sénat. 154 voix pour, 0 contre ! voir la vidéo

C’est gagné, grâce à toutes vos signatures notre pétition part au sénat avec des préconisations qui pourraient enfin changer réellement la situation. Ils ont demandé à ce que la cause des sans abris, soit une cause nationale ! qu’il existe, entre autre, une prévention et un numéro d’urgence avant une totale expulsion qui amène à la rue.
Pour la question des femmes, ils demandent que le gouvernement fasse une priorité et bien d’autres choses !

Vous étiez nombreux à suivre en direct mon entretien avec les membres du CESE pour effectuer un compte des préconisations. Mais si vous avez raté ce direct ou souhaitez le revoir, cliquez ici :
https://www.facebook.com/Change.orgFrance/videos/780760485591464/

Sachez que d’autres centres pour femmes sdf vont commencer à ouvrir et que la jeune femme enceinte de 24 ans qui dormait dans une tente et bien au chaud maintenant. Une autre femme qui vit dans un parking va aussi pouvoir entrer dans un des centres car je vais demander à ce qu’ils aillent la chercher aussi. Enfin, du concret et cela grâce vraiment mais vraiment....à vous tous ! un énorme merci
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Le quotidien d’une femme SDF consiste à fuir les multiples agressions dont elle est victime. Ceci n’est pas une vie.Chaque nuit elle risque de nouvelles agressions physiques et sexuelles.Une image me hante : celle de cette femme recroquevillée au dernier étage d’un parking tremblant de peur à l’idée d’être à nouveau agressée. Malheureusement nous ne la voyons pas car elle se cache pour tenter de se protéger. Pourtant les femmes SDF représentent 38 % des personnes sans domicile d’après l’Insee.

Noa (son nom a été changé) m’a confié que lorsqu’elle était SDF, elle avait été violée 70 fois en 17 ans. Sa vie était un enfer de violence.Les maraudes que je fais dans Paris m’ont permis de découvrir l’horreur de cette réalité. Un homme SDF m’a même interpellé une nuit sur leur vulnérabilité « nous on peut encaisser » il m’a dit.
La rue les prive de dignité, nous devons la leur rendre !

Monsieur le Président, vous avez fait de la cause des femmes une priorité de votre quinquennat. Les femmes SDF sont doublement vulnérables pour être femme et SDF. Nous vous demandons de mettre en place dès 2018 des centres d’accueil dédiés pour leur offrir sécurité, dignité et leur apporter l’accompagnement spécifique nécessaire pour affronter leur trauma. Parce qu’elles ne peuvent plus attendre car leur vie est en jeu, j’ai décidé de lancer une collecte GoFundMe pour rénover un hébergement d’urgence pour loger 8 femmes SDF.Maintenant, ensemble, nous pouvons les secourir en attendant que les autorités prennent la relève et leur apportent une solution permanente.

Merci à toutes et tous de participer en signant cette pétition, en donnant pour la collecte ou en diffusant à vos familles, à vos amis, à vos proches pour partager ce grand élan de solidarité. Sarah de Réchauffons nos SDF

* (C) Pétition : Pour l’entrée de Molière au Panthéon

10.477 signatures sur 20.000 lien pour signer

En 2022, nous fêterons les 400 ans de la naissance de Jean-Baptiste Poquelin, plus connu sous son nom de plume : Molière. Molière, dont les œuvres contribuent au rayonnement de la France dans le monde depuis 4 siècles. Molière, qui appartient à notre plus beau patrimoine culturel et artistique. Quelle plus belle occasion de rendre hommage à cet immense auteur que de le faire entrer au Panthéon, monument qui a pour vocation d’honorer les grands personnages ayant marqué l’histoire de notre pays ?!

Alors mobilisez vous aux côtés de Francis Huster, acteur, metteur en scène et scénariste, 463e sociétaire de la Comédie Française, passionné de théâtre, que vous avez pu apprécier sur les planches comme au cinéma dans « Chacun sa vie » (2019), « Un homme et son chien » (2009), « Le dîner de cons » (1998), « Tout ça… pour ça ! » (1992), « Si c’était à refaire » (1976) et tant d’autres…… Joignez-vous à son appel au Président de la République et signez la pétition « Pour l’entrée de Molière au Panthéon ».

* (E) Pétition : NON au sale marché avec l’huile de palme

274.124 signatures sur 300.000 lien pour signer

Voulons-nous faciliter l’importation d’huile de palme en Europe ? C’est un enjeu majeur de l’accord de libre-échange négocié actuellement entre l’UE et l’Indonésie. Pour ne pas aggraver la déforestation et le changement climatique, des organisations indonésiennes demandent l’exclusion de l’huile de palme de cet accord. Soutenons-les !

Afficher la lettre de pétition

Aux participants des négociations sur l’APEG entre l’Indonésie et l’UE

L’UE doit tenir compte de ses propres études climatiques et exclure en conséquence l’huile de palme de l’accord de libre-échange négocié avec l’Indonésie.L’UE négocie actuellement un accord de libre-échange avec l’Indonésie. La question de l’huile de palme domine le débat.Les groupes écologistes indonésiens craignent que l’APEG facilite le négoce d’huile de palme et aggrave la déforestation et les conflits sociaux. Ils demandent donc le retrait de l’accord de l’huile de palme. « Seuls les grands groupes profitent du libre-échange », avertit Yuyun Harmono de l’ONG WALHI. Les biocarburants génèrent plus d’émissions de gaz à effet de serre que les carburants fossiles car forêts et tourbières sont détruites au profit de plantations de palmiers à huile. Et le réchauffement climatique empire. Yuyun Harmono et d’autres défenseurs de l’environnement exigent l’arrêt des plantations de palmiers à huile.

L’Indonésie est responsable de la moitié de la production mondiale d’huile de palme. L’UE en est la principale importatrice après l’Inde. Ces dernières années, le déboisement de forêts de tourbes a été massif. Les émissions des sols tourbeux calcinés causent chaque année un désastre écologique et humanitaire. Après les incendies de forêts de 2015, le gouvernement indonésien a interdit la plantation de palmiers à huile sur des zones brûlées et sur la tourbe. L’APEG réduirait ces efforts à néant.Parallèlement aux négociations, l’UE décidera bientôt de sa politique énergétique d’ici à 2030. La persistance à recourir aux agrocarburants perpétuerait l’ère des énergies fossiles et nuirait à une politique énergétique plus écologique. Le Parlement de l’UE plaide pour une réduction des sources d’énergie issues de plantes, et notamment de l’huile de palme. L’APEG serait un pas en arrière pour la politique énergétique de l’UE. « Asimetris », le nouveau film du réalisateur indonésien Dandhy Laksono, est un témoignage frappant de la réalité de l’huile de palme.

* (C) Stop aux violences sexuelles au Sénégal

97.182 signatures sur 100.000 lien pour signer

Le Sénégal est sous le choc après une série d’abus sexuels et de meurtres de jeunes femmes. Face à l’indignation, l’artiste sénégalaise Black Queen vient de lancer une pétition avec ONE pour demander l’adoption rapide d’une loi criminalisant le viol, encore considéré comme un simple délit au Sénégal. Black Queen a besoin du plus grand nombre de signatures pour inciter le gouvernement à l’action. Signez et partagez la pétition !

Maître Malick Sall, ministre de la Justice du Sénégal ; Madame Ndèye Sali Diop Dieng, ministre de la Femme, de la Famille et du Genre, nous vous appelons à tout mettre en oeuvre pour faire adopter et appliquer au plus vite une loi criminalisant le viol au Sénégal. Face à la recrudescence des actes de violence envers les femmes, il est temps d’agir avec fermeté pour protéger les femmes et les filles.

* (E) Pétition : DITES NON à l’extraction de pétrole près du sanctuaire marin d’Abrolhos au Brésil !

1.226.385 signatures sur 1500.000 lien pour signer

Je m’appelle Tamires, je suis une militante de l’environnement et des droits des animaux. Vous ne le savez peut-être pas, mais le parc marin brésilien Abrolhos compte plus de 90 000 hectares et protège 1 300 espèces d’animaux. Il possède l’une des plus grande biodiversité marine au Brésil et dans le sud de l’océan Atlantique ! Abrolhos protège une vaste zone de récifs côtiers à Bahia et comprend un archipel. Il sert également de région de reproduction pour les baleines à bosse et offre un abri aux communautés autochtones et autres communautés traditionnelles du Brésil. Mais tout cela est menacé par le projet du gouvernement Bolsonaro d’autoriser l’exploration pétrolière le long du parc marin. L’analyse technique de l’Institut brésilien de l’environnement (IBAMA) a recommandé de ne pas explorer le pétrole dans les zones proches d’Abrolhos, comme indiqué par Associated Press. Le risque de déversement d’hydrocarbures dans les "zones de haute sensibilité" est dangereux. Mais le président de l’IBAMA, Eduardo Bim, a ignoré ces informations et autorisé la vente aux enchères.

Je suis scandalisée par cette histoire. Je sais qu’un incident avec des déversements de pétrole pourrait endommager de manière irréversible la région et détruire l’équilibre environnemental à Abrolhos. Le rôle d’IBAMA est de protéger l’environnement et le président de l’agence devrait suivre ce principe. Afin d’éviter un tel risque de catastrophe, je demande aux dé1putés brésiliens et aux sénateurs du Congrès national d’agir pour la défense d’Abrolhos. J’adresse ma demande aux Nations Unies (ONU) et à l’Organisation des États américains (OEA), qui devraient faire pression sur le président brésilien, Jair Bolsonaro, pour qu’il renonce à ce projet. Enfin, je compte sur la justice fédérale pour exclure les sept blocs de pétrole de la vente aux enchères, car ils sont les plus proches du parc marin Abrolhos.

Il faut faire vite ! La vente aux enchères de concession pétrolière est prévue pour le 10 octobre. Le président Jair Bolsonaro, le ministre de l’Environnement, Ricardo Salles, et l’Agence brésilienne du pétrole (ANP) ne peuvent changer d’avis que par votre signature et votre pression.L’exploration du pétrole à côté d’une zone aussi importante ne devrait même pas être envisagée ! Signez si vous êtes d’accord avec la préservation du parc national des Abrolhos !

* (C) Pétition : Violences faites aux femmes : la Belgique doit respecter ses obligations

9.964 signatures sur 50.000 lien pour signer

Un phénomène d’une ampleur affolante... En Belgique, les femmes subissent encore de nombreuses violences, qu’elles soient psychologiques, physiques, sexuelles ou institutionnelles. Allant du harcèlement de rue, dont sont victimes 98 % des femmes selon une enquête de Vie féminine de 2018, à sa forme la plus extrême, le féminicide, dont au moins 21 femmes ont été victimes cette année.

Selon les statistiques de criminalité diffusées par la police, le nombre de viols déclarés a augmenté entre 2014 et 2018, passant de 3188 à 3416. Cependant, on estime que seuls 10 % des victimes portent plainte, et donc le nombre total de viols est en réalité bien plus important. Un sondage réalisé en 2014 par Amnesty International a montré que près d’un quart des femmes interrogées ont été victimes de viol conjugal, et 13 % de viol en dehors du couple. En 2018, une étude de Vie féminine a montré que 98 % des femmes sont victimes de harcèlement dans les lieux publics.

... qui persiste malgré les bonnes volontés En 2016, la Belgique a ratifié la Convention du conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, appelée également Convention d’Istanbul. Dans le cadre de la procédure de suivi de son application, plus de cinquante associations belges se sont coalisées pour contribuer à la rédaction d’un rapport alternatif sur sa mise en œuvre. Il en ressort que malgré les différents Plan d’action officiels contre les violences faites aux femmes, la violence persiste. La Belgique ne dégage toujours pas l’ensemble des mesures nécessaires pour y parvenir.

Les problèmes constatés sont vastes, allant du manque de données officielles disponibles sur les violences au déficit de places d’hébergement d’urgence pour les victimes de violence conjugale, en passant par de grandes lacunes dans la prévention primaire et l’éducation anti-sexiste ou encore par une insuffisance de formation destinée aux professionnels de première ligne. En outre, en matière d’asile et de migration, les conditions de protection des femmes victimes de violences dans le cadre d’un regroupement familial sont très strictes et ne tiennent pas compte de leurs problèmes spécifiques.

Il est plus que temps d’agir Amnesty International exhorte le gouvernement belge et les entités fédérées à assurer un profond changement de pratiques, mettre en place une politique intégrée impliquant tous les niveaux de pouvoir en collaboration avec les associations et assurer une revalorisation des budgets alloués à la lutte contre les violences, qui doit devenir une priorité systématique. Vous aussi, soutenez le changement de politique et de pratiques en Belgique dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Signez notre pétition.

* (C) Pétition : Des pistes cyclables et des vélos pour les Réunionnais !

439 signatures lien pour signer

Auteur : Mélissa Destinataire(s) : Les élus de la Réunion

Les amateurs de vélo à la Réunion ne manquent pas ! On en veut pour preuve le nombre de familles déferlant sur la route des Tamarins lors des quelques éditions de l’ opérations Route Libre. Un tour sur la plateforme Leboncoin nous renseigne aussi sur la qualité de l’équipement cycliste des Réunionnais. Nous n’hésitons pas à mettre le prix pour nous équiper ! Dans les quartiers, même les plus défavorisés, nous croisons des tout jeunes s’amusant sur des vélos. En fait, dès qu’un espace est libéré par la voiture, les enfants l’investissent avec leurs trottinettes et vélos.

Les Réunionnais aiment ce mode de déplacement ! Le vélo sportif fonctionne déjà bien. De nombreux clubs proposent des descentes VTT et des tours cyclistes. On a même une compétition de niveau international avec la Mégavalanche. Ce qu’il manque c’est les pistes sécurisées et les infrastructures pour que le vélo devienne un mode de déplacement à part entière à la Réunion et un loisir accessible aux plus jeunes.

Ce qui a surtout manqué jusqu’ici c’est la volonté des politiques ! Les politiques dans les Communes et Intercommunalités doivent cesser de considérer le vélo avec condescendance, ils doivent envisager l’intérêt que cela représente en terme de déplacement, de loisir, de santé, de réduction des embouteillages, de réponse aux enjeux climatiques. Nous demandons à tous les candidats aux élections municipales de 2020 de :

  • - Développer sur leur commune des pistes cyclables sécurisées, des voies partagées à priorité vélo.
  • - Prévoir des box pour laisser les vélos en toute sécurité, particulièrement sur les plages et autres lieux de villégiature (cinéma, restaurants...)
  • -Travailler avec les supermarchés et autres zones commerciales pour que ces box puissent être aussi installés sur leurs parkings.
  • -Prévoir des espaces en bas d’immeuble pour les stocker.
  • -Encourager les entreprises , les administrations et les écoles à faire des parkings sécurisés pour les salariés (indemnités kilométriques) et leur prévoir des douches !
  • - Proposer un service de location longue durée de vélos spécifiques :électriques, cargo, etc.
  • - Apporter un soutien aux associations qui oeuvrent pour cette promotion.

A ceux qui soutiennent que le territoire est trop pentu pour faire du vélo, nous répondons qu’ils ne sont probablement jamais monté sur un vélo électrique !☺ A ceux qui soutiennent que le vélo électrique est trop cher, nous répondons que son coût est sans commune mesure avec celui d’une voiture ( prix d’achat, coût de carburant, coût de l’entretien, assurance). De plus, la collectivité pourrait en proposer à un coût réduit en location pour que chacun puisse essayer avant d’acquérir. Il serait si agréable de pouvoir se réapproprier nos espaces extérieurs ! Le vélo le permet.

* (C) Pétition : Jeunes migrants en danger à la Croix Rousse

5.191 signatures sur 7.500 lien pour signer

Le collectif soutien migrants Croix-Rousse – Collège Sans Frontière Maurice Scève a lancé cette pétition adressée à LA METROPOLE DE LYON et à 1 autre

Exigeons de la Métropole et de la Préfecture de Lyon qu’elles prennent leurs responsabilités pour les jeunes migrants du Collège Sans Frontières Maurice Scève.

Près de 450 mineurs et jeunes majeurs migrants vivent dans des conditions indignes dans l’ex-collège Maurice Scève sur le plateau de la Croix-Rousse, à Lyon. Ils ont connu le drame de l’exil forcé : jetés sur les routes par la guerre, la famine, l’abandon social et les effets du réchauffement climatique, ils ont pour beaucoup connu l’enfer libyen, ont pris tous les risques en Méditerranée, dans l’espoir de trouver asile en Europe.

Le collège est plein à craquer et nous ne pouvons accueillir les nouveaux arrivants qui se présentent chaque jour. La Métropole menace de cesser d’apporter, le 15 novembre, l’aide sommaire que le collectif de soutiens et d’habitants avait obtenu (approvisionnement alimentaire, 9 douches et WC, aide juridique, aide aux travaux) au prétexte que la population du squat augmente. Comme si ses habitants étaient responsables du manque criant de places d’hébergement à Lyon.

La Préfecture ne donne jamais aucune suite aux demandes répétées d’hébergement alors qu’elle en a la responsabilité légale pour les demandeurs d’asile. Les services de la Métropole et de la Préfecture, incapables de proposer un hébergement aux jeunes exilé.e.s dont ils ont légalement la charge, continuent d’indiquer l’adresse du collège comme refuge possible, nous mettant dans une situation de plus en plus difficile à gérer.

Nous, citoyen.ne.s et futurs électeurs et électrices pour les municipales de 2020, appelons la Métropole de Lyon à ne pas abandonner l’aide sommaire qu’elle apportait jusque-là aux habitants du collège. Nous appelons les autorités compétentes (Préfecture, Métropole, Ville de Lyon) à se mobiliser pour apporter des solutions d’hébergement dignes et pérennes pour les demandeurs d’asile, comme la loi l’exige. Signez et partagez cette pétition !

* (C) Pétition : Crédit Suisse, cessez de financer les compagnies minières qui déversent leurs déchets toxiques dans les océans

111.909 signatures lien pour signer

Chrome. Nickel. Cuivre. Ce sont 30 millions de tonnes de produits chimiques toxiques et de métaux lourds en plus qu’une société minière financée par Crédit Suisse s’apprête à déverser dans un pur et magnifique fjord protégé norvégien - réserve naturelle de nombreux saumons.

Les scientifiques ont indiqué que ce déversement contaminera immédiatement toute la faune du fjord et auraient des conséquences épouvantables durables, même sur des zones bien plus éloignées. Aujourd’hui vous pouvez arrêter ce massacre. Ces compagnies minières criminelles n’ont de pouvoir que parce qu’elles sont financées à coup de millions par des banques telles que le Crédit Suisse.

Si ces compagnies se croient intouchables, les banques qui les financent, elles, sont dépendantes de ce que des personnes comme vous et moi pensons : et elle ne veulent surtout pas que nous exposions leurs VRAIS agissements derrière l’image respectable et propre qu’elles cherchent à se donner.Dites à Crédit Suisse d’arrêter de financer des mines qui déversent leurs déchets miniers toxiques dans les océans.

* (E) Pétition : Par respect de toutes vies sur l’île, sur Terre ou dans la mer, NON A L’INCINERATEUR !

2.873 signatures sur 5.000 lien pour signer

LaRéunionDurable ENVIRONNEMENT a lancé cette pétition adressée à "ileva" et à 26 autres

Un marché d’Incinérateur déjà signé ! Notre combat n’est pas terminé : mobilisons nous il est encore temps !

Un projet coûteux et risqué ! Les 515000 administrés d’ILEVA (CASUD CIVIS et TCO) devront débourser 374 M € HT soit 404 M € TTC, pour brûler 130000t de déchets et créer seulement 60 emplois !
Des impacts lourds sur notre santé ! Emissions de dioxines (classé cancérigène) furanes (particules toxiques passant par les pores), métaux lourds (brome, plomb, mercure) incidences directes de maladies dégénératives comme Alzheimer, Parkinson et cancers du poumon, sclérose en plaque, insuffisance rénale, fatigue chronique, maux de tète, nausées, troubles du sommeil...
Des impacts forts sur l’environnement ! Résidus hautement toxiques (REFIOM) 5500t qui devront être exportés dans un des 14 centres de stockage de déchets dangereux en métropole. 15000t de mâchefers, cendres d incinération qui seront enfouies !!!
Une alternative est possible  : La Réduction, le Réemploi, le Recyclage, la valorisation thermochimique des déchets non recyclables pour les transformer en gaz (carbone oxygène hydrogène)
NON à l incinérateur ! Oui à l’Economie circulaire ! Oui à une Réunion Durable !!

* (C) Pétition : Oui à un référendum sur la réforme des retraites

28.612signatures lien pour signer

Auteur : Dominique DUTILLOY Destinataire : Son Excellence, Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République

« Monsieur le Président de la République, de graves erreurs me semblent avoir été commises dans cette réforme des retraites et dans cette disparition programmée des régimes spéciaux.

Alors, pour débloquer cette situation, pour faire cesser ces grèves paralysantes, Monsieur le Président de la République, ne serait-il pas possible que vous demandiez , au Peuple français, de voter, lors d’un référendum, "POUR" ou "CONTRE" la réforme des retraites et la disparition des régimes spéciaux (Cf. Article 11 de la Constitution de la Ve République).

Monsieur Cédric Villani a fait la même proposition que la mienne = https://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/cedric-villani-appelle-a-un-referendum-sur-la-reforme-des-retraites-1203331.html
Là, les choses auraient été plus claires, car, quel que soit le résultat de ce référendum, le Gouvernement et les syndicats auraient été obligés de se conformer au vote du Peuple français, qui est souverain...

Merci d’avance pour votre réponse. Recevez, Monsieur le Président de la République, l’assurance de ma très haute considération. Dominique Dutilloy »

* (C) Pétition : Pour améliorer et garantir une retraite à 60 ans, par répartition, décente pour toutes et Tous !!

20.494 signatures lien pour signer

Auteur : Pesier Destinataire(s) : Mr Macron
Exigeons toutes et tous ensemble la mise en oeuvre de mesures améliorant et garantissant réellement une retraite par réparatition décente :

1. Un départ à 60 ans à taux plein et un revenu de remplacement qui corresponde à 75 % du revenu d’activité et calculé sur les meilleures années.

2. Un minimum de retraite à 1.800 € pour tous les travailleurs, financé par les cotisations sociales pour permettre de sortir de la pauvreté des centaines de milliers de retraités.

3. Un droit à un départ anticipé dans tous les métiers qui connaissent la pénibilité et une prise en compte de tous les critères, comme par exemple le port des charges ou les vibrations mécaniques dans notre secteur, etc..

4. L’inclusion des années d’étude et le temps de la première recherche d’emploi dans le calcul pour la retraite.

5. L’indexation des retraites sur la moyenne des salaires, et pas sur l’inflation, ni sur le SMIC.

* (E) Pétition : Faisons barrage pour la réserve de Selous en Tanzanie

291.684 signatures sur 300.000 souhaitées lien pour signer

Au Président de la Tanzanie John Pombe Joseph Magufuli
La réserve de gibier de Selous est un trésor écologique avec ses éléphants et ses lions. Merci de préserver ce site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Avec ses troupeaux d’éléphants et ses girafes traversant la savane, ses hippopotames pataugeant dans des eaux peu profondes, ses lions se faufilant entre les herbes à l’affût de proies et ses rhinocéros noirs récemment observés par des biologistes, la réserve de gibier de Selous regorge de vie. Mais un désastre écologique la menace aujourd’hui : le projet de barrage de Stiegler Gorge doit être construit sur le fleuve Rufiji en plein cœur du site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le Président John Magufuli veut raser 2,6 millions d’arbres. 1 500 km² de forêt en passe d’être submergés par le lac artificiel doivent être déboisés. Le gouvernement vient d’octroyer en décembre 2018 le permis de construire du barrage à un consortium égyptien.

Des écologistes s’opposent au projet. Ils redoutent la destruction définitive de la zone protégée déjà dégradée. Une mine d’uranium menace déjà de détruire une partie de la réserve. La population d’éléphants s’est effondrée. L’UNESCO a donc placé en 2014 la réserve de Selous sur la liste du « patrimoine mondial en péril ». En février, elle a envoyé une lettre incendiaire au gouvernement – sans effet. Le barrage provoquerait des dommages en aval jusqu’au delta et dans les forêts de mangroves, affectant 200 000 habitants. La construction doit débuter à l’été 2019, bien que le financement reste à préciser. Le président Magufuli veut apparaître comme un homme d’action non soucieux de la critique. Un membre du gouvernement a même menacé de prison des opposants au projet. La population de Tanzanie a besoin d’un meilleur approvisionnement en électricité. Mais le projet de barrage de Stiegler Gorge n’est pas une solution. Non au sacrifice de la réserve de Selous pour un projet insensé ! Merci de signer et partager notre pétition au plus vite.

* (C) Pétition : Retrait de la BRAV ( Brigade répression action violente )

20.333 signatures lien pour signer

Auteur : Le pouvoir du peuple 22
Destinataire(s) : Mr Castaner
Nous demandons le retrait de cette unité, qui a fait trop de blessés dans les manifestations. Nous dénonçons leur façon de faire régner l’ordre, violente agressive, humiliante et insultante !

* (E) Pétition À l’UNESCO : inscrivez les grands singes au patrimoine mondial !

292.951 signatures sur 300.000 lien pour signer

Madame la Directrice générale, Madame, Monsieur,

Les différences génétiques entre l’homme et les grands singes hominoïdes sont très minces. Nous partageons ensemble une histoire évolutive commune de plusieurs millions d’années. Pourquoi laissons-nous nos plus proches parents disparaitre dans l’indifférence ?

Les grands singes devraient être reconnus comme des membres de notre propre généalogie / famille. Nous demandons en conséquence à l’UNESCO de déclarer les quatre espèces de grands singes - bonobo, orang-outan, chimpanzé et gorille - comme « PATRIMOINE MONDIAL VIVANT ».

Nous vous prions de croire, Madame la Directrice générale, Madame, Monsieur, en l’assurance de notre respectueuse considération.

* (C) Pétition : Ferrero : arrêtez tout travail des enfants !!

98.799 signatures sur 125.000 lien pour signer

Ferrero International S.A., son directeur exécutif, Giovanni Ferrero, et son PDG, Lapo Civiletti ; et Ferrero Hazelnut Company et Marco Gonçalves, son PDG

Notre enquête révèle que le Nutella, les Kinder Bueno et les Ferrero-Rocher contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants exploités en Turquie. Nous vous exhortons à mettre fin immédiatement au travail des enfants et à soutenir un prix juste et équitable des noisettes turques afin que les travailleurs perçoivent un salaire décent.

Notre enquête, publiée aujourd’hui dans le Guardian, révèle que les produits de l’entreprise Ferrero contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants en Turquie . Les chocolats que vous avez achetés à vos enfants pour les fêtes de fin d’année en font partie. Nutella, Kinder Bueno, Duplo ou encore Ferrero-Rocher… : la liste est longue.

Cet été, nos partenaires, le Center for Child Rights en Turquie , ont récolté des preuves vidéo qui montrent des enfants de 11 ans travaillant dans des fermes de noisetiers en Turquie. Les enfants travaillent de longues heures pour un salaire faible, dans des conditions souvent dangereuses. Beaucoup ont dû abandonner l’école. Parce que les salaires sont si bas, il est courant pour les cueilleurs de noisette d’emmener leurs enfants travailler avec eux à la ferme. Autrement, ils ne pourraient pas se payer un logement ou même se rendre dans les fermes de noisetiers.

Ferrero, l’un des premiers producteurs mondial de chocolat, fabricant du Nutella et des Ferrero-Rocher, est le premier acheteur de noisettes en Turquie, qui produit 70% des noisettes dans le monde . Alors que le Guardian vient de publier son enquête, nous pouvons démontrer que les produits de Ferrero contiennent probablement des noisettes récoltées par des enfants.

Deux producteurs de noisettes turcs confirment dans l’une de nos vidéos qu’ils doivent embaucher des enfants ; dans le cas contraire, leurs parents ne peuvent pas venir travailler dans leurs fermes. Ces mêmes producteurs affirment que Ferrero achètent leurs noisettes. Selon l’un d’eux, « 99% des noisettes de la région sont achetées par Ferrero et ici, tout le monde embauche des enfants ». Nous avons pu suivre la piste de noisettes récoltées dans l’une des fermes qui fait travailler des enfants jusqu’au négociant qui les achète. Celui-ci a ensuite confirmé par écrit au Guardian qu’il vendait des noisettes à Ferrero.

A ce jour, Ferrero ne révèle pas l’identité des exploitations agricoles qui approvisionnent ses fournisseurs, alors qu’elle s’est engagée à garantir la traçabilité de 100% de ses noisettes d’ici 2020. Mais Ferrero a admis que ce chiffre s’élevait seulement à 39% en 2018.

Ferrero affirme appliquer une "tolérance zéro" au travail des enfants ou à toute autre forme d’esclavage. « Nous sommes déterminés à prévenir et à éliminer le travail des enfants tout au long de notre chaîne d’approvisionnement, avec la conviction que chaque enfant doit être protégé, par tous les moyens possibles, contre toute forme d’exploitation. En outre, ils ont un projet qui vise à protéger les enfants contre les pires formes de travail, d’exploitation et de violence. », peut-on lire sur le site de l’entreprise.

Mais encore aujourd’hui, le travail des enfants est un phénomène largement répandu en Turquie. Pour les agriculteurs et les négociants, les initiatives de Ferrero contre le travail des enfants sont inefficaces car elles n’impliquent pas ou n’atteignent pas tous les enfants qui, chaque année, sont exploités dans les vergers de noisetiers.

La racine du problème ? Le prix que Ferrero se dit prêt à payer pour les noisettes. Les agriculteurs et les recruteurs de travailleurs saisonniers soutiennent qu’ils ne seraient pas obligés d’embaucher des enfants si le confiseur italien achetait les noisettes à leur juste prix. Ferrero doit respecter ses engagements. Les cultivateurs interviewés estiment que Ferrero peut mettre fin à toutes les formes de travail des enfants au sein de leur chaîne d’approvisionnement s’ils le veulent vraiment, à condition qu’ils paient un juste prix pour les noisettes.

Appelez Ferrero à mettre fin au travail des enfants payer et à soutenir un prix équitable pour leurs noisettes en Turquie afin que les travailleurs perçoivent un salaire décent ! En 2020, nous planifions une grande action où nous remettrons vos signatures à Ferrero afin de nous assurer que les pâtes à tartiner et les chocolats dégustés par vos enfants ne soient pas fabriqués par... des enfants

* (C) Pétition : Pour la démocratisation de l’Europe

117.633 signatures sur 150.000 lien pour signer

Cette pétition vous est adressée par Manon Bouju, Lucas Chancel, Anne-Laure Delatte, Stéphanie Hennette, Thomas Piketty, Guillaume Sacriste et Antoine Vauchez

Manifeste

Nous, citoyens européens venus d’horizons et de pays différents, lançons aujourd’hui un appel pour transformer profondément les institutions et les politiques européennes. Ce Manifeste contient des propositions concrètes, en particulier un projet de Traité de démocratisation et un projet de Budget, qui peuvent être adoptés et appliqués en l’état par les pays qui le souhaitent, sans qu’aucun pays ne puisse bloquer ceux qui souhaitent avancer. Il peut être signé en ligne(www.tdem.eu) par tous les citoyens européens et les citoyennes européennes qui s’y reconnaissent. Il peut être repris et amélioré par tous les mouvements politiques.

Après le Brexit et l’élection de gouvernements anti-Européens à la tête de plusieurs pays membres, il n’est plus possible de continuer comme avant. Il n’est plus possible de se contenter d’attendre les prochaines sorties, les prochains démantèlements, sans rien changer de fondamental à l’Europe actuelle.

Notre continent se retrouve aujourd’hui pris en tenaille entre d’un côté des mouvements politiques dont le seul programme est la chasse aux étrangers et aux réfugiés, un programme qu’ils ont maintenant commencé à appliquer ; et de l’autre des partis qui se disent européens, mais qui au fond continuent de s’imaginer que le libéralisme pur et dur et la mise en concurrence généralisée de tous (États, entreprises, territoires, individus) suffisent à définir un projet politique, sans réaliser que c’est précisément le manque d’ambition sociale qui nourrit le sentiment d’abandon.

Certains mouvements sociaux et politiques tentent de briser ce dialogue mortifère en tentant la voie d’une refondation politique, sociale et environnementale de l’Europe. Car les urgences proprement européennes ne manquent pas au terme d’une décennie de crise : sous-investissement public structurel, notamment dans le domaine de la formation et de la recherche, montée des inégalités sociales, accélération du réchauffement climatique, crise de l’accueil des migrants et des réfugiés. Mais ces mouvements peinent souvent à formuler un projet alternatif concret, c’est-à-dire à décrire précisément comment ils souhaiteraient organiser l’Europe de l’avenir et la prise de décision démocratique en son sein.

Nous, citoyens européens, mettons sur la place publique avec ce Manifeste, ce Traité et ce Budget des propositions précises. Elles sont imparfaites mais ont le mérite d’exister : chacun pourra s’en saisir pour les améliorer. Elles reposent sur une conviction simple : l’Europe doit bâtir pour ses citoyens un modèle original de développement social, équitable et durable, et elle ne pourra les en convaincre qu’en sortant des promesses vagues et théoriques. L’Europe ne se réconciliera avec ses citoyens que si elle apporte la preuve concrète qu’elle est capable d’établir une solidarité entre Européens et de faire contribuer, de manière équitable, les gagnants de la mondialisation au financement des biens publics dont l’Europe a aujourd’hui cruellement besoin : c’est-à-dire de faire contribuer les grandes sociétés davantage que les petites et moyennes entreprises, et les contribuables les plus riches davantage que les plus modestes, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

Nos propositions reposent sur la création d’un Budget de démocratisation discuté et voté par une Assemblée européenne souveraine, qui permette enfin de doter l’Europe d’une puissance publique capable à la fois de faire face sans attendre aux urgences européennes et de produire un ensemble de biens publics dans le cadre d’une économie durable et solidaire. C’est ainsi que l’on pourra donner enfin sens à la promesse inscrite dès le traité de Rome d’une « égalisation dans le progrès des conditions de vie et de travail ».

Ce Budget, si l’Assemblée européenne le souhaite, sera financé par quatre grands impôts européens, marqueurs concrets de cette solidarité européenne, qui porteront sur les bénéfices des grandes sociétés, les hauts revenus (au-delà de 200 000 euros par an), les hauts patrimoines (au-delà de 1 million d’euros), et les émissions carbone (avec un prix minimum de 30 euros par tonne, qui a vocation à être réhaussé annuellement). S’il était fixé à 4% du PIB, comme nous le proposons, ce budget pourrait financer la recherche, la formation et les universités européennes, un ambitieux programme d’investissements pour transformer notre mode de croissance, financer l’accueil des migrants et accompagner les acteurs de la transformation ; mais aussi redonner une marge de manœuvre budgétaire aux États membres pour réduire les prélèvements régressifs pesant sur les salaires ou la consommation.

Il ne s’agit pas ici de créer une « Europe des transferts »qui chercherait à prendre l’argent des pays « vertueux » pour le donner à ceux qui le seraient moins, le projet de Traité de démocratisation (www.tdem.eu) le dit explicitement, en limitant l’écart entre les dépenses reçues et les recettes versées par un pays à un seuil de 0,1% de son PIB. Ce seuil pourra être augmenté s’il existe un consensus en ce sens, mais le véritable enjeu est ailleurs : il s’agit avant tout de réduire les inégalités à l’intérieur des différents pays et d’investir dans l’avenir de tous les Européens, à commencer bien sûr par les plus jeunes d’entre eux, sans favoriser un pays plutôt que l’autre. Ce calcul exclut les dépenses et investissements réalisés dans un pays en vue de satisfaire un objectif d’intérêt commun bénéficiant également à tous les pays, comme par exemple la lutte contre le réchauffement climatique. Parce qu’il permettra de financer des biens publics européens qui bénéficieront de manière similaire à l’ensemble des Etats membres, le Budget de démocratisation induira de facto un effet de convergence entre les Etats européens.

Parce qu’il faut aller vite mais aussi sortir l’Europe de l’ornière technocratique, nous proposons la création d’une Assemblée européenne qui permettra de discuter et de voter ces nouveaux impôts européens comme ce budget de démocratisation, sans qu’il soit nécessaire dans un premier temps de modifier l’ensemble des traités européens.

Cette Assemblée européenne devra bien sûr dialoguer avec les instances de décision actuelles (en particulier l’Eurogroupe qui réunit de façon mensuelle et informelle les ministres des finances de la zone euro), mais c’est elle qui, en cas de désaccord, aura le dernier mot. Il en va de sa capacité à être le lieu où se forme un nouvel espace politique transnational où partis, mouvements sociaux et ONG pourront reprendre enfin la main. Mais il en va aussi de son efficacité même puisqu’il s’agit d’arracher enfin l’Europe à l’éternel immobilisme des négociations inter-gouvernementales. N’oublions pas que la règle de l’unanimité fiscale en vigueur dans l’Union européenne bloque depuis des années l’adoption de tout impôt européen et nourrit l’éternelle fuite en avant vers le dumping fiscal en faveur des plus riches et des plus mobiles, qui continue encore aujourd’hui, malgré tous les discours, et qui continuera tant que d’autres règles de décision n’auront pas été mises en place.

Parce que cette Assemblée européenne aura compétence pour adopter des impôts et rentrer au cœur même du pacte démocratique, fiscal et social des Etats membres, il importe d’y associer parlementaires nationaux et européens. En accordant aux premiers une place centrale, on transformera de facto les élections législatives nationales en élections européennes : les députés nationaux ne pourront plus se contenter de se défausser sur Bruxelles, et n’auront d’autre choix que d’expliquer aux électeurs les projets et budgets qu’ils comptent défendre au sein de l’Assemblée européenne. En réunissant les parlementaires nationaux et européens au sein d’une même Assemblée, on créera des habitudes de co-gouvernance, qui n’existent aujourd’hui qu’entre chefs d’État et ministres des finances.

C’est pourquoi nous proposons, dans le Traité de démocratisation disponible en ligne (www.tdem.eu), que l’Assemblée européenne repose pour 80% de ses membres sur les députés des Parlements nationaux des pays qui rejoindront le Traité (en proportion des populations des pays et des groupes politiques), et pour 20% des membres de l’actuel Parlement européen (en proportion des groupes politiques). Ce choix mérite une ample discussion. En particulier, notre projet pourrait également fonctionner avec une proportion plus faible de députés nationaux (par exemple 50%). Mais si cette proportion devenait trop faible, alors l’Assemblée européenne risquerait à nos yeux d’être moins légitime pour engager l’ensemble des citoyens européens sur la voie d’un nouveau pacte social et fiscal, et des conflits de légitimité démocratique entre élections nationales et élections européennes pourraient vite miner le projet.

Il faut maintenant agir vite. S’il est souhaitable que tous les pays de l’Union européenne rejoignent ce projet rapidement, et s’il est préférable que les quatre plus grands pays de la zone euro (qui représentent ensemble plus de 70% du PIB et de la population de la zone) l’adoptent d’emblée, l’ensemble du projet a été conçu pour qu’il puisse être juridiquement et économiquement adopté et appliqué par n’importe quel sous-ensemble de pays qui le souhaite. Le point est important, car il permet aux pays et aux mouvements politiques qui le souhaitent de démontrer leur volonté concrète d’avancer en adoptant dès maintenant ce projet, ou une forme améliorée de ce dernier. Nous appelons chacune et chacun à prendre ses responsabilités et à participer à un débat précis et constructif pour l’avenir de l’Europe.

* (C) Pétition : Dicamba : l’herbicide de l’apocalypse)

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Pétition contre le Dicamba ! Adressée à madame la ministre de l’Écologie, Elisabeth Borne

Madame la ministre de l’Écologie, Depuis quelques années maintenant, l’entreprise Monsanto commercialise aux États-Unis une nouvelle formule de l’herbicide Dicamba. Cette substance est pourtant soupçonnée d’être tératogène, d’altérer le processus de reproduction, de provoquer une perte d’appétit, des vomissements, des douleurs musculaires, des AVC, des problèmes respiratoires, des troubles visuels…De plus, cet herbicide a la particularité de se « re-vaporiser » après épandage. Il se répand autour des plantations et dans les forêts environnantes. Les seules plantes pouvant lui résister sont des plantes transgéniques commercialisées par l’entreprise Monsanto.

Il faut prendre des précautions contre l’entreprise Monsanto qui, depuis plus de 50 ans, commercialise des produits toxiques… et collectionne les scandales sanitaires.
Cette multinationale a une force d’action qui lui permet de convaincre les responsables politiques. Grâce à ses lobbys, elle avait fait plier la Commission européenne sur le Roundup en obtenant un sursis en 2017 et désormais, la nouvelle date d’expiration de l’autorisation du glyphosate en Europe est fin 2022.

NOUS REFUSONS que le Dicamba soit testé sur le sol français. NOUS REFUSONS d’être les cobayes de Monsanto. NOUS EXIGEONS qu’une étude menée par des experts indépendants soit menée systématiquement pour chacun des produits Monsanto commercialisés en France.

C’est pourquoi nous vous demandons, monsieur le Ministre, d’agir pour faire barrage à l’utilisation des herbicides de Monsanto sur le sol français. Ne laissons pas l’avenir de la planète entre les mains des entreprises d’OGM et d’herbicides. Je vous remercie, madame la Ministre, de l’attention que vous voudrez bien porter à notre requête, et vous prie d’agréer l’expression de ma plus haute considération.

* (E) Pétition : Amazon vend tout, même la planète

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AMAZON ET OBSOLESCENCE PROGRAMMÉE : QUEL LIEN ?voir la vidéo
La multinationale pousse à la surconsommation et entretient la société du tout jetable, au lieu de réparer les produits pour allonger leur durée de vie. La multinationale a vendu 5 milliards de produits en 2017, grâce à la guerre des prix et au non respect de la loi sur notre droit à réparer. Un gâchis colossal pour la planète et nos ressources naturelles !

LA PLANÈTE EN RUPTURE DE STOCK
Les nouvelles technologies ont pris une place croissante dans nos vies. Alors que la fabrication et le transport des produits électroniques ont un impact écologique et social catastrophique, leur durée de vie a diminué de moitié en 25 ans : ainsi, un smartphone est utilisé deux ans en moyenne, en France. 40 millions de biens tombent en panne chaque année en France, sans être réparés. En parallèle, 37% des emplois de réparateurs ont disparu

Avec Amazon : tout doit disparaître... même la planète !

AMAZON HORS-LA-LOI : ACTION EN JUSTICE CONTRE LA MULTINATIONALE
Amazon est hors-la-loi : les Amis de la Terre ont enquêté et dénoncent des violations en matière de droit du consommateur. Depuis plusieurs années, la multinationale Amazon propage un modèle commercial qui se joue des frontières et des lois pour proposer des prix de vente toujours plus bas au détriment de la planète et de ses habitants.Amazon a développé une importante activité de place de marché, c’est-à-dire qu’elle héberge sur son site des offres de vendeurs tiers. Selon Amazon, ce rôle d’intermédiaire la dégage de toute responsabilité envers les consommateurs français. Pourtant, Amazon n’est pas un intermédiaire mais bien un distributeur qui offre des services d’expédition et de stockage à ces vendeurs, il devrait donc être tenu de la garantie légale de la réparation (pendant 2 ans après la date d’achat) et du recyclage de ces produits.L’irresponsabilité d’Amazon permet à des fabricants de refuser la réparation, même lorsque les produits sont défectueux.

QUE DIT L’EUROPE DANS TOUT CA ?
Le droit européen est très laxiste sur la responsabilité des sites de e-commerce. Nous continuerons le combat en justice afin de prouver qu’Amazon n’est pas, comme elle l’affirme, un simple intermédiaire, mais bien un distributeur de produits puisqu’elle a mis en œuvre une stratégie active pour “capter” l’offre à bas prix de revendeurs situés en Chine et de sociétés écrans, en proposant des services de traduction et d’expédition et de stockage des produits. Au moment où les injonctions se multiplient dans l’Union européenne et en France pour allonger la durée de vie des produits et réduire nos niveaux de consommation insoutenables, il existe donc une véritable dé-corrélation entre les discours volontaristes et la façon dont le marché se comporte.
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* (C) Pétition : STOPPONS le CORVICIDE ! - NON à La BACC 87 (Brigade d’Action Contre les Corvidés)

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Pétition adressée à Ministre de la Transition Ecologique et Solidaire, Préfet de la Haute-Vienne, Par Crow Life

En mai dernier en Haute-Vienne, la Chambre d’Agriculture et la Fédération Départementale des Chasseurs se sont associées pour former une « Brigade d’Action Contre les Corvidés » alternativement et publiquement dénommée « la BACC ».

Une prime pour chaque oiseau tué ! « Dégâts de corbeaux ? La BACC recrute ! » peut-on lire sur son site. Déclarer des dégâts agricoles permet de demander l’autorisation de tirs de destruction et leur délégation aux chasseurs lesquels pourront alors faire des cartons toute l’année, cartouches fournies gracieusement par la Chambre d’Agriculture. En prime, un chasseur se verra remettre « trois cartouches par oiseau tué » ! Une généralisation qui incite autrui à la destruction des corvidés sans discernement d’espèces.

Où est le crime de ces oiseaux ? Tout simplement de prélever leur nourriture pour survivre, et de jouer leur rôle de régulateurs dans l’écosystème. Or, le véritable scandale est ailleurs : toute action visant à leur destruction est un corvicide*.

Crow-Life dénonce : Nous dénonçons l’usage d’une dénomination imitant celle de la Brigade Anti-Criminelle et son acronyme (la BAC ou la BACC, l’homophonie est parfaite). Un usage qui opère insidieusement, guidant vers l’association d’idées ‘’corvidés = criminels’’. Pire, la dénomination« Brigade d’Action Contre les Corvidés » comme les termes « dégâts de corbeaux ? La BACC recrute ! » entraînent une confusion des espèces susceptible d’inciter autrui à la destruction d’espèces protégées, une action illégale. Deux espèces de corvidés, la Corneille noire et le Corbeau freux, viennent d’être classées sur la liste noire des ESOD (ex-"nuisibles’’, désormais « susceptibles d’occasionner des dégâts ») en Haute-Vienne sans que les conditions de ce classement aient été remplies. Aucune espèce de corvidés ne devrait avoir le statut ESOD ou ‘’nuisible’’ aujourd’hui !

Crow-Life rappelle que : Dix espèces de corvidés sont présentes en France et la majorité d’entre elles ont le statut d’espèces protégées (6/10) ; la Fédération départementale des chasseurs et la Chambre d’agriculture de Haute-Vienne ne peuvent donc (se) proposer d’agir contre les corvidés en général, ni y inciter autrui ;
Deux espèces de corbeau, le Corbeau freux et le Grand corbeau, sont présentes en France comme dans le 87 et l’une de ces deux espèces est protégée ; la Fédération départementale des chasseurs et la Chambre d’agriculture de Haute-Vienne ne peuvent donc (se) proposer d’agir contre « les » corbeaux ni y inciter autrui.

Crow-Life demande :

  • D’interdire la dénomination « Brigade d’Action Contre les Corvidés » et l’acronyme “BACC” ou “BACC87” ;
  • De rappeler à la chambre d’agriculture et à la fédération départementale des chasseurs de Haute-Vienne leur devoir d’information et de formation de façon fiable et rigoureuse, non de produire ou à entretenir une confusion susceptible d’entraîner la destruction d’espèces protégées ;
  • De condamner fermement toute incitation d’autrui à la destruction de spécimens appartenant à des espèces protégées, que cette incitation ait été ou non suivie d’effets.

(*) Au sens où Crow Life l’entend et l’emploie, un « corvicide » désigne un meurtre animal, l’action de tuer ou de détruire méthodiquement des spécimens appartenant à l’une ou l’autre des espèces de la famille des corvidés. Le terme peut également désigner le ou les responsable(s) d’un tel acte.

* (E) Pétition : Pas de polluants radioactifs dans notre eau potable !

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DEMANDE DE PROTECTION
En France, des millions de personnes consomment de l’eau contaminée par le tritium, un radionucléide rejeté en grande quantité par les installations nucléaires. Pour les autorités il n’y a aucun problème puisque les concentrations sont très inférieures à la limite de potabilité (10 000 Bq/l) et même à la référence de qualité (100 Bq/l). L’étude de la CRIIRAD a montré que les limites sanitaires définies pour la contamination radioactive de l’eau potable conduisent à un risque de cancer plus de 100 fois supérieur au maximum toléré pour les polluants cancérigènes chimiques. Il faut mettre fin à ce régime d’exception et fixer des limites qui protègent réellement la population. En soutien à la lettre que la CRIIRAD a adressée le 11 juillet aux autorités :

  • Je demande la suppression des privilèges accordés aux activités nucléaires et la révision à la baisse de toutes les limites sanitaires relatives à la radioactivité de l’eau.
  • Je demande en particulier l’abandon immédiat de la limite de 10 000 Bq/l que l’OMS a fixée pour le tritium.
  • Je demande le recensement de toutes les communes alimentées par de l’eau potable contaminée par le tritium et l’information de toutes les personnes concernées. Un plan d’actions correctives doit être établi avec un ordre de priorité qui tienne compte notamment de la durée et de l’intensité de l’exposition des habitants.

DEMANDE D’ENQUETE
Début juillet, la CRIIRAD avait appelé ses adhérents à contrôler le niveau de tritium de l‘eau de leur commune. Le travail de vérification basé sur ces constats a révèle des anomalies très graves dans le dispositif de contrôle de la radioactivité de l’eau et dans l’information du public. Contrairement à ce qu’affirme le ministère de la Santé, des millions de personnes sont privées de toute information sur le niveau de contamination de l’eau qui sort de leur robinet. Des analyses sont faites mais ne sont pas publiées ; des analyses obligatoires ne sont pas réalisées. Dans certains cas, aucune analyse n’a été réalisée depuis 2005, date de l’entrée en vigueur de l’obligation de contrôle ; dans d’autres cas, le contrôle a commencé avec des années de retard, parfois avec plus de 10 ans ; encore ailleurs, les analyses sont bien effectuées mais selon une fréquence très inférieure à celle requise par le code de la santé publique.

  • Je demande l’ouverture d’une enquête pour faire toute la lumière sur les anomalies, incohérences et irrégularités détectées par la CRIIRAD.
  • Je demande que l’intégralité du fichier soit adressée sans délai à la CRIIRAD pour lui permettre d’aller au bout de ses investigations.

DEMANDE DE TRANSPARENCE
L’accès aux résultats d’analyse de la qualité de l’eau se fait à partir du site du ministère de la Santé. Le dispositif est archaïque et opaque. Le temps nécessaire à la consultation des résultats est souvent dissuasif et interdit toute étude d’ensemble. Paris bat tous les records : il faut 15 mn pour récupérer 1 seule analyse de tritium, près de 3 h pour les résultats d’une année ! Sans compter les incohérences incompréhensibles entre les différentes sources de données.

  • Je demande que les résultats soient publiés sous une forme facilement consultable, qui permette de sélectionner les données selon différents critères et de récupérer les données dans un tableur pour analyse.

Les installations nucléaires sont autorisées à rejeter leurs effluents radioactifs, chimiques et thermiques dans l’environnement. L’essentiel des rejets radioactifs liquides s’effectue par vidange des réservoirs ce qui provoque des injections massives dans les cours d’eau et explique la présence du tritium jusqu’à l’embouchure des fleuves et dans tous les réseaux de distribution qu’ils alimentent. En dépit de demandes répétées, la CRIIRAD n’a jamais pu obtenir la transmission à l’avance des dates, heures et durées des opérations de rejets. En l’absence de ces informations, les contrôles indépendants sont réalisés en aveugle ce qui les prive d’une grande partie de leur efficacité. Ces informations devraient également être utilisées pour éviter de pomper l’eau des cours d’eau lorsqu’elle est la plus contaminée

  • Je demande la levée du secret sur les dates et heures des rejets massifs de radioactivité dans l’environnement.

Pour plus d’information, lire le dossier de la CRIIRAD. En savoir plus sur la CRIIRAD : http://www.criirad.org. Nous écrire : contact@criirad.org

La CRIIRAD est une association. Pour la soutenir dans son travail d’investigation et ses démarches pour une meilleure protection contre les pollutions radioactives, vous pouvez faire un don ou adhérer à l’association.

Attention : la page d’appel à don destiné à diffuser la pétition et qui s’affiche à la suite de votre signature est une page du site Mes Opinions pour l’aider à diffuser les pétitions. Il ne s’agit pas de l’appel à don de la CRIIRAD qui lui s’effectue sur le site de notre association (voir liens ci-dessus).

* (C) Pétition : IL FAUT que Jean-Paul DELEVOYE, très récent ex-Haut-Commissaire aux Retraites, délégué auprès de la Ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès BUZIN, SOIT POURSUIVI !

26.589 signatures lien pour signer

Auteur : Collectif ELECTEURS EN COLERE Destinataire(s) : Pouvoir Judiciaire (s’il est bien indépendant en France et notamment aujourd’hui), du Pouvoir Exécutif

Nous avons assisté,stupéfaits, ce matin, mercredi 18 décembre 2019, en grande pompe ponctuée de "Mon cher Jean-Paul" de multiples fois répétés et à l’opposé de la discrétion qu’elle aurait nécessité, compte-tenu des circonstances, M.J.P. DELEVOYE ayant été contraint à la démission, à la "passation de pouvoirs" entre M. Jean-Paul DELEVOYE, depuis deux ans " Haut-Commissaire aux Retraites délégué auprès de Mme Agnès BUZIN, Ministre des Solidarités et de la Santé " et son successeur, membre de son équipe, M. Laurent PIETRASZEWSKI, passation de pouvoirs qui s’est déroulée sans aucune mention des raisons de la démission de M. J.P. DELEVOYE . Un comble ! Tout au contraire, tant Mme BUZIN que M. PIETRASZEWKI et comble du comble, J.P. DELEVOYE lui-même n’ont cessé de pommader le nombril de M. DELEVOYE, comme s’il n’y avait absolument rien, rien de rien, à lui reprocher !!!

Pas un mot sur les raisons de sa démission ...De qui le Pouvoir Exécutif français se moque-t-il donc une fois de plus ??? Les français continuent à être pris pour des crétins (pour ne pas employer un autre mot commençant par la même lettre, qui serait plus approprié, mais d’un registre de langue différent ...) Cela est INSUPPORTABLE et ne saurait être toléré plus longtemps !

Nous demandons au Pouvoir Judiciaire de démontrer son indépendance du Pouvoir Exécutif en poursuivant M. Jean-Paul DELEVOYE , qui a enfreint les dispositions de l’article 23 de la Constitution française du 4 octobre 1958, toujours en vigueur, qui stipule : "Les fonctions de membre du gouvernement sont incompatibles avec l’exercice de tout mandat parlementaire, de toute fonction de représentation professionnelle à caractère national et de tout emploi public ou de toute autre activité professionnelle. "

Or, M. Jean-Paul DELEVOYE (à ce que l’on sait à ce jour, informations dévoilées au compte-gouttes ) aurait cumulé,, en plus de son poste de Haut-Commissaire aux Retraites (rémunéré 10.135 Euros par mois), rien moins que 13 telles fonctions, certaines assez grassement rémunérées ( de l’ordre de plus de 5.000 Euros par mois) et d’autres bénévoles ou semi-bénévoles . Et nous ne parlons pas là des retraites perçues par M. DELEVOYE (voir les récents articles de presse à ce sujet)

Les manquements de M. Jean-Paul DELEVOYE à la règle fondamentale, tant au plan éthique qu’au plan pénal, édictée par l’article 23 de notre Constitution l’expose à une peine de 3 ans de prison et 45.000 Euros d’amende.

Nous, signataires de la présente pétition, demandons au Pouvoir Judiciaire de la France, notre pays, de poursuivre M. Jean-Paul DELEVOYE pour ces manquements et ce quelles que puissent être les éventuelles pressions dont il pourrait être l’objet d’où que ce soit, fût-ce au plus haut niveau de l’Etat.

Collectif ELECTEURS EN COLERE

Pour information, le successeur de M. J.P. DELEVOYE, M. Laurent PIETRASZEWSKI est député LREM et a été responsable depuis 1990, au sein du groupe AUCHAN, de la gestion des carrières, du recrutement et de l’évaluation avec un salaire annuel net de 60.000 Euros.dont il a fait l’objet d’un licenciement économique en 2019 (Source Internet Wikipedia)

* (E) Pétition : Ne fermons plus les yeux sur le coût écologique du streaming !

4.498 signatures sur 25.000 lien pour signer

Le streaming, c’est quoi ? Le streaming (stream : flux, courant), c’est par exemple, le fait d’écouter de la musique sur son ordinateur ou sur son téléphone sans l’avoir téléchargée. Il suffit de s’inscrire sur une plateforme de streaming, moyennant un abonnement, pour avoir un accès illimité à la base de stockage musicale. Fondée sur le même principe, Netflix, une multinationale américaine créée par Reed Hastings, a élargi l’offre en devenant le leader de la distribution et de l’exploitation des œuvres cinématographiques et télévisuelles. Un véritable succès, puisque fin 2018, selon le rapport de l’Arcep, Netflix représentait à lui-seul 23 % du trafic internet français, avec plus de 5 millions d’abonnés.

Netflix 23% du trafic internet français Un succès aux conséquences écologiques désastreuses Oui mais voilà : par ce geste anodin entré dans la vie quotidienne, ce que la plupart des internautes ignorent, c’est qu’ils contribuent indirectement à un désastre écologique !Le streaming vidéo est en effet pointé du doigt et accusé par un certain nombre d’associations d’être une véritable usine à CO2. Ainsi, le groupe de réflexion The Shift Project, engagé pour « décarboner » l’économie, affirme dans une étude publiée en juillet 2019 que le streaming vidéo est responsable en 2018 de l’émission de 306 millions de tonnes de CO2 dans l’atmosphère, soit l’équivalent de la production de gaz à effet de serre émis par l’Espagne !

Le lien entre cette pratique qui enchante pourtant les internautes, et le dégagement de dioxyde de carbone peut étonner. L’équation est pourtant simple : le stockage d’une telle quantité de vidéos requiert d’énormes quantités d’énergie pour fabriquer, alimenter et entretenir les centres de données.Une consommation estimée par Greenpeace à 7% de la consommation mondiale d’électricité en 2017, mais ces chiffres risquent d’augmenter de façon considérable avec l’intensification du trafic internet et l’explosion des besoins de stockage.

Qu’attendons-nous pour réagir ? La priorité face à cette menace bien réelle, c’est tout d’abord de sensibiliser la population quant aux conséquences d’une utilisation exagérée du streaming. Un défi de taille dans un monde de consommation frénétique, puisque la plupart des internautes sont séduits par cette technique permettant un accès direct et illimité à toutes sortes vidéos. Mais ce besoin compulsif ne peut-il être freiné, au regard des enjeux environnementaux qui mettent en péril notre planète ?

  • Il est aujourd’hui essentiel de pouvoir faire évoluer les pratiques par une prise de conscience des enjeux écologiques à l’échelle de chaque citoyen !
  • Il faut ensuite faire pression sur les entreprises du secteur informatique pour les obliger à s’engager pour un approvisionnement basé sur des énergies renouvelables.
  • Il est donc urgent de pousser Netflix à abandonner les énergies polluantes pour faire fonctionner ses énormes serveurs de stockage !

Et pourquoi ne pas s’inspirer du modèle mis en place par le moteur de recherche Ecosia, qui investit une partie de ses bénéfices dans la plantation d’arbres ?
Ecosia
Une initiative originale qui ouvre la voie (et la voix) vers une infinité de solutions, sous réserve que chacun, entreprise comme particulier, participe activement à la sauvegarde de l’environnement.

Demandons tous ensemble à M. Reed Hastings, PDG de Netflix, de s’engager sans plus tarder dans la sauvegarde de notre planète !

* (C) Pétition : Ville de Marseille - L’ECOLE ANTOINE DE RUFFI DOIT ETRE L’ECOLE DE TOUS NOS ENFANTS

1.437 signatures sur 1.500 lien pour signer

Depuis 15 ans les élèves et les enseignants du secteur de l’école primaire publique RUFFI sont contraints d’étudier et d’enseigner dans une école en préfabriqué qui ne devait être que… provisoire. Les conditions d’accueil et de sécurité de cette école sont indignes pour les 17 classes de maternelle et de primaire qui y sont affectées.

Une nouvelle école primaire publique de 20 classes, ANTOINE DE RUFFI, ouvrira enfin à la rentrée 2020, à 200 mètres de l’école en préfabriqué. Mais le conseil municipal de la Ville de Marseille, par sa délibération du 25 novembre 2019, vient de modifier la sectorisation de l’école ANTOINE DE RUFFI, reléguant ainsi la plus grande partie des élèves de l’école RUFFI hors du nouveau périmètre.

Nous demandons la possibilité pour TOUS les enfants actuellement scolarisés dans l’école indigne RUFFI d’accéder à la nouvelle école ANTOINE DE RUFFI à la rentrée 2020. Pour nos enfants et pour tous les enfants de Marseille que la Ville laisse étudier dans l’insalubrité et l’insécurité, et pour ceux et celles qui y enseignent, signez cette pétition ! Merci.

* (E) Pétition : Bouteilles en verre - POUR le retour de la consigne

50.168 signatures sur 50.000 lien pour signer

Actuellement, le cycle de vie d’une bouteille en verre est le suivant : une fois vide, elle est jetée, brisée, puis fondue dans un four à 1 500 °C pour recréer une nouvelle bouteille. Seulement, le verre est un matériau très résistant : il peut être réutilisé jusqu’à 50 fois. Auparavant, un système de consigne existait en France et perdure toujours dans certains pays comme l’Allemagne. Alors, pourquoi avoir changé de système ? Les lobbies, encore et toujours
La consigne a officiellement disparu en France en 1992. Mais dès les années 60, l’explosion des emballages jetables lui fait concurrence. Pourquoi ?

Selon le Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets (CNIID) :
« ce ne sont pas des considérations environnementales, mais avant tout commerciales qui ont conduit à la disparition de la consigne pour la réutilisation, au profit des emballages à usage unique ». De nombreuses marques ont même milité activement contre le retour de ce système. Parmi elles, surprise, Coca-Cola.

En 2016, une fuite de documents stratégiques de Coca-Cola Europe révélait ce schéma :

Dans la partie entourée en vert, on aperçoit que la consigne est considérée comme une menace « ayant un risque de se matérialiser » et doit être donc combattue activement. Pourquoi ? Car la consigne pour le réemploi des bouteilles implique des productions plus localisées (collecte des emballage, lavage, remplissage…). Cela gêne les multinationales qui veulent pouvoir délocaliser à leur gré là où le coût de la main d’œuvre est le plus bas. Une évidence sur le plan économique ? Pourtant, c’est pour ces mêmes raisons que la consigne est un atout ! Car avec l’abandon de la consigne, la charge des déchets a été transférée des entreprises… aux collectivités. Et ainsi, au contribuable, via la taxe d’enlèvement des ordures ménagères. Or, le recyclage coûte 35 euros par tonne et la consigne… zéro euro.

In fine, le retour de la consigne permettrait de faire des économies à la fois pour le consommateur, et pour le contribuable (économies sur les coûts de gestion des déchets, baisse du prix des produits…). Par exemple, pour vendre 1 000 L de boisson, le système consigné de la bière alsacienne Météor coûte 256€ au total, là où son équivalent en bouteille à usage unique coûte 517 €. De plus, la réintroduction de la consigne permettrait la création de nombreux emplois non-délocalisables : lavage, remplissage etc. … et écologique

Réutiliser les emballages permettrait de limiter l’usage des ressources naturelles et donc d’économiser 75 % d’énergie et 33 % d’eau par rapport au recyclage ; de réduire de 65 à 85 % son impact environnemental global.

La consigne sur le verre est largement plébiscitée par les citoyens !Pas étonnant donc, que 88% des français estiment utile de disposer d’emballages réemployables/ réutilisables dans leurs commerces. Ecocup dans les festivals ou vaisselle consignée dans les food-trucks, l’idée a déjà fait son bout de chemin ! Le moment idéal pour déclarer la guerre au tout-jetable

Cet automne, le projet de loi dit « anti-gaspillage » sera débattu au Parlement.Un vote crucial sur les sujets de l’économie circulaire qui est annoncée comme une grande loi du quinquennat. Reste qu’en l’état, le texte est insuffisant ! : « il peut être fait obligation aux producteurs ou à leur éco-organisme de mettre en œuvre sur le territoire un dispositif de consigne pour recyclage, réutilisation ou réemploi des produits ». Traduisons : peut-être qu’en fait, on pourrait hypothétiquement, demander gentiment aux entreprises de ne pas jeter l’intégralité des emballages, enfin s’ils sont d’accord. Pour des engagements concrets, on repassera.

Et surtout, cette consigne pourrait en l’état s’agir d’un recyclage déguisé. Non, le système de consigne doit avant tout servir un changement drastique de paradigme : celui du basculement des emballages jetables au réutilisables.

Des mesures concrètes, et vite. Un nouveau texte de loi ambitieux doit obliger les grandes entreprises productrices de boissons à atteindre une proportion minimale d’emballages réutilisables pour leurs produits ; obliger les grandes surfaces (plus de 400m²) à reprendre les emballages en verre consignés pour réutilisation contre le paiement de la consigne au client ; financer les infrastructures nécessaires à la conception, au lavage et à la collecte des emballages en verre consignés ; développer des emballages standardisés pour les bouteilles, mais aussi les boîtes, pots et bocaux

C’est le moment de se mobiliser ! Un vent de changement est en train de souffler.
Chacun à sa mesure, prend conscience que oui, la situation écologique est grave.
Seulement, loin de perdre espoir, des solutions existent et peuvent être mise en place rapidement et assez facilement.

Ce qu’il faut désormais ? Une mobilisation citoyenne, pour que ces changements de mentalité puissent être inscrits dans la loi et débouchent sur des changements concrets. Alors, prêts ? A vous de jouer !

* (E) Pétition : Déclarons l’Urgence Écologique et Climatique !

168.142 signatures sur 200.000 lien pour signer

Mathieu HESTIN a lancé cette pétition adressée à Monsieur le Président de la République, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Président du Sénat, Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale

Messieurs, Vous avez l’honneur et la responsabilité d’être à la tête de notre pays à l’heure où l’humanité fait face à la pire menace de son histoire. À vrai dire, pour retrouver trace d’une crise de cette ampleur, il faut remonter quelques millions d’années en arrière, bien avant qu’Homo Sapiens ne foule le sol de la Terre. C’est de notre survie, et de celle de millions d’espèces qui peuplent cette planète, qu’il s’agit. Aucun chef d’État, aucun responsable politique, n’a, de toute l’histoire de l’humanité, eu à exercer dans des circonstances aussi décisives et aussi dramatiques.

Qu’il s’agisse du climat ou de la biodiversité, nos scientifiques sont à la tâche, pour observer, comprendre, évaluer, mettre en garde et alerter. GIEC, IPBES, leur message ne pourrait être plus clair : l’humanité est responsable d’un dérèglement climatique et d’une chute de la biodiversité d’une ampleur qui menace de crise grave ou d’extinction, dans les prochaines décennies, de millions d’espèces, dont la nôtre.

Il y a quelques mois, au lendemain de la démission de Nicolas Hulot, j’ai lancé un appel intitulé « Non, Monsieur Hulot, vous n’êtes pas seul ». Je ne pouvais pas me résoudre à l’impuissance et à l’inaction. Près de 150 000 personnes ont rejoint cet appel, des personnes conscientes de la gravité de la crise écologique, et prêtes à se mobiliser pour changer. De cet appel est né le collectif Un Climat de Changement, qui a contribué, parmi bien d’autres groupes, à l’élan citoyen qui se manifeste en France depuis, à travers les marches, les pétitions, les actions, les tribunes, et d’innombrables initiatives. Cet élan ne cesse de s’amplifier, et nous sommes nombreux à prendre notre part de responsabilité et à être prêts à des changements radicaux.

Mais ce n’est pas suffisant, et aujourd’hui, nous nous tournons vers vous pour sonner à nouveau l’alarme : la crise écologique en cours mérite une mobilisation sans précédent. Toute notre action, en premier lieu la vôtre, en tant que responsables politiques, doit être tendue vers les objectifs de limiter la catastrophe et nous y préparer. Il nous reste très peu de temps.

Nous vous appelons donc :

- À déclarer solennellement, devant la Nation, l’Urgence Écologique et Climatique.
- À dire la vérité à nos concitoyens : à quelles menaces faisons-nous face, à quelle échéance ? Qu’est-ce que cela implique dans nos façons de vivre, d’être au Monde ?
- À ne prendre plus aucune décision incompatible avec ces objectifs. A revenir sur les décisions passées qui sont contradictoires avec ceux-ci.
- À reconnaître le crime d’écocide en droit pénal français et à faire condamner les atteintes à l’environnement, pour lutter contre l’impunité vis à vis des actes de destruction de la nature et de la biodiversité.

Messieurs, l’urgence est absolue. Nous n’avons plus le temps, et nous n’avons plus le droit de faillir. C’est le combat de notre génération, c’est le combat de tous les Vivants.

Le Royaume-Uni l’a fait le 1er mai. (https://metro.co.uk/2019/05/01/mps-declare-climate-emergency-calling-government-act-9378336/). L’Irlande lui a emboîté le pas le 9 mai (https://www.lemonde.fr/international/article/2019/05/10/apres-le-royaume-uni-le-parlement-irlandais-declare-a-son-tour-l-urgence-climatique_5460459_3210.html). Ne tardons pas à les imiter !

Cet appel a été initié par Un Climat de Changement, collectif des signataires de la pétition « Non, Monsieur Hulot, vous n’êtes pas seul », qui travaille depuis plusieurs mois à informer, sensibiliser, interpeler au sujet de la gravité des enjeux écologiques. Je tiens à remercier tous les membres du collectif pour leur soutien et leurs suggestions !

Ils soutiennent l’appel : Boycott Citoyen, United4Earth, Little Citizens for Climate, Unis pour le Climat

* (C) Pétition : Blanquer doit partir

8.347 signatures sur10.500 lien pour signer

Fondation COPERNIC a lancé cette pétition adressée à Enseignants et à 4 autres

Le ministre Blanquer détruit les valeurs de l’Ecole, brise le métier d’enseignant, bloque la réussite des jeunes issus de milieux populaires. Cela peut-il continuer ?
La réforme Blanquer du lycée général sépare les élèves entre de multiples spécialités. Cela casse le « groupe classe » qui perd toute stabilité, alors qu’il permettait entraide et dynamiques d’apprentissages. Cela casse l’égalité : seuls les parents les plus informés, c’est-à-dire les plus socialement favorisés, repèrent l’articulation des spécialités qui font les parcours d’excellence. Jusqu’à 30 enseignants peuvent désormais intervenir devant les élèves d’une même classe. Résultat d’un tel fractionnement : chaque enseignant a de plus en plus de mal pour connaître ses élèves et aider les plus fragiles à progresser.

C’est ainsi la mission même des enseignants qui est sabordée. Les enseignants s’étaient engagés par vocation : faire acquérir des savoirs, favoriser l’examen critique, faire patiemment progresser leurs élèves. Le Bac en contrôle continu n’en laisse plus le temps. Ils doivent noter, noter, hiérarchiser, sélectionner le plus tôt possible. Quels élèves y gagnent ? Plus qu’hier, ceux qui héritent des capitaux culturels de leurs familles ou qui bénéficient d’un soutien scolaire privé onéreux. Le métier d’enseignant, dont la charge de travail s’intensifie, perd tout sens.
Mais l’Ecole façon Blanquer n’est pas faite pour aider tous les enfants. Le budget par lequel les Etablissements soutiennent les familles en forte difficulté (pour les transports, le matériel scolaire, les lunettes, l’audition) va baisser de 59 à 30 millions d’euros.

Dans les beaux quartiers, les mamans, foulard Hermès, à loisir accompagnent les sorties scolaires. Dans les quartiers pauvres, pas de sorties scolaires si une maman affiche une identité culturelle qui déplait à J-M. Blanquer, ancien de l’Ecole catholique Stanislas. Souci des femmes ? Non. J-M. Blanquer, à la direction de l’enseignement scolaire de 2009 à 2012, participa à la suppression de dizaines de milliers de postes stables dans l’éducation, très majoritairement occupés par des femmes. Depuis 2017, il poursuit la saignée, dans l’enseignement primaire très féminisé et dans les disciplines des lycées professionnel ou général, où les femmes sont légion.

En fait, J-M. Blanquer, ex patron de l’ESSEC, un temps Recteur, aime l’ordre, le contrôle, la hiérarchie et les économies budgétaires. Les enseignants sont sous-payés, les postes ouverts aux concours réduits, mais en dix ans, le personnel d’enseignement précaire (en CDD, renouvelable 6 fois) a doublé. Et les inspections des enseignants deviennent des réquisitoires : la liberté pédagogique, l’autonomie des enseignants, est de moins en moins tolérée. Une directrice d’école, absolument dévouée, croule sous la charge de travail maintenant imposée, et se suicide. Nulle compassion mais par contre, en réponse, le ministre envisage que les directeurs dans le primaire deviennent les supérieurs hiérarchiques de leurs pairs, professeurs des écoles. Tout est dit.

J-M. Blanquer n’a qu’une obsession : dociliser. Les rapports de pouvoir, d’exploitation ne doivent plus être questionnés. L’école doit produire une main d’œuvre docile. En lycée professionnel, nombre d’heures de lettres et d’histoire ont été supprimées. Les jeunes des classes populaires sont, de la sorte, privés du droit d’accéder à la « science de leur malheur ». En lycée général, les sciences économiques et sociales, comme l’observe le Manuel Indocile de sciences sociales, célèbrent maintenant l’entreprise privée, le marché. Silence sur l’extorsion de la plus-value, la reproduction sociale. Exit les comparaisons ethnologiques montrant que d’autres mondes sont possibles. Rien sur les ségrégations urbaines et si peu sur le chômage, la précarité, qui structurent les rapports à l’emploi.

Blanquer et son monde n’aiment ni l’Ecole publique, ni ses valeurs, ni celles et ceux qui les font vivre. Ce ministre répand la défiance, la discorde, dans l’institution scolaire.Formé par et pour les grands intérêts privés, venu de l’Institut Montaigne financé par AXA, il fait carrière contre le service public,divise, stigmatise, précarise,vide l’Education nationale de sa raison d’être. Dans la guerre du privé menée contre l’Ecole, il est ce général au service de l’ennemi qui décourage et décime ses propres troupes.
Le monde de l’Ecole n’en peut plus. Le monde de l’Ecole n’en veut plus. Discrédité par ses propos et ses actes, Blanquer doit partir.

Premiers signataires : Christian Baudelot (sociologue), Jacques Bidet (philosophe), Eric Berr (économiste), Philippe Boursier (professeur de sciences économiques et sociales), Philippe Chailan (professeur de lettres modernes), Alexis Cukier (philosophe), Clément Cordier (professeur de sciences économiques et sociales), Christine Delphy (sociologue), Clara Da Silva (professeure de philosophie), Christian de Montlibert (sociologue), Marianne Fischman (professeure de sciences économiques et sociales), Isabelle Garo (professeure de philosophie), Anthony Geffrault (professeur de sciences économique et sociales), Jean-Marie Harribey (économiste), Rose-Marie Lagrave (sociologue), Dany Lang (économiste), Olivier Lecour Grandmaison (historien), Alain Leveneur (professeur de mathématique), François Lopez (professeur de Lettres-Histoire), Frédéric Lordon (philosophe), Jean Malifaud (mathématicien), Morgan Marc (professeur d’Histoire-Géographie), Gérard Mauger (sociologue), Gérard Moreau (secrétaire général d’Académie honoraire), Ugo Palheta (sociologue), Irène Pereira (philosophe), Willy Pelletier (sociologue, Fondation Copernic), Louis Pinto (sociologue), Dominique Plihon (économiste), Bernard Pudal (politiste), Régis Roussillon (professeur de sciences économiques et sociales), Yasmine Siblot (sociologue), Nadia Taibi (professeure de philosophie), Christian Topalov (historien), Sandrine Troquet (professeure de mathématique)

* (E) Pétition : Stop au massacre des Roussettes noires à l’île Maurice

356.052 signatures sur 400.000 lien pour signer

PETITION TERMINEE

À la Présidente, au Premier ministre et au gouvernement de la République de Maurice

Madame la Présidente, Monsieur le Premier ministre, Madame la Ministre, Monsieur le ministre,

Le gouvernement de Maurice est en train de procéder à un "abattage contrôlé" de 10 000 roussettes noires. Cette décision donne raison aux cultivateurs qui accusent les chauves-souris frugivores de décimer leurs cultures. Des défenseurs de l’environnement ont manifesté leur opposition à ce projet, la population de chauve-souris étant bien moindre que les 65 000 roussettes noires annoncées. Elles n’excéderaient même pas les 50.000 individus estiment des scientifiques. La mise en œuvre de cette tuerie pourrait pousser l’espèce vers l’extinction prévient l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Le statut des roussettes noires pourrait passer de "vulnérable" à "en danger critique d’extinction".

La responsabilité des roussettes noires concernant les mauvaises récoltes est sérieusement remise en cause par des scientifiques. Les chauves-souris seraient responsables de seulement 11% des pertes fruitières. La mise à mort massive n’aidera pas les producteurs de fruit et n’a aucun sens d’un point de vue économique. Le projet laisse les aspects écologiques et moraux totalement de côté : il ne prend pas en compte la contribution des roussettes noires à la pollinisation et à la propagation des espèces fruitières dans l’île ; il ignore qu’à cette période de l’année, les chauves-souris allaitent ou sont en gestation, augurant d’infimes chances de survie pour la génération à venir.

La population mauricienne rejette massivement la mise à mort des roussettes noires. Selon un sondage, plus de 90% des personnes interrogées nourrissent pour l’animal des sentiments allant de « neutres à très positifs ». En risquant délibérément l’extinction d’une espèce endémique, votre action nuira considérablement à l’image de Maurice à travers le monde. Je vous exhorte à prendre les alertes des scientifiques au sérieux et à annuler l’abattage programmé des roussettes noires.

Je vous prie de croire, Madame la Présidente, Monsieur le Premier ministre, Madame la Ministre, Monsieur le ministre, à l’assurance de ma considération et de ma vigilance citoyenne.

* (E) Pétition : Empêchons le massacre des hippopotames en Zambie

222.133 signatures sur 250.000 lien pour signer


Selon les estimations, il ne reste plus que 130.000 hippopotames à l’état sauvage. (© Frei)

PETITION TERMINEE

Lettre au Président de la République de Zambie
Autoriser l’abattage de 2.000 hippopotames est inadmissible. Merci de mettre fin sans plus attendre au terrifiant projet de votre gouvernement. Le drame se joue dans la célèbre vallée de Luangwa, où des chasseurs seront autorisés à tuer 2 000 hippopotames au cours des 5 prochaines années. L’agence de voyages de chasse Umlilo propose des safaris permettant à chaque tireur de tuer 5 animaux pour 14.000 $ par personne. Le gouvernement justifie cette tuerie en prétextant une surpopulation d’hippopotames, qui menacerait les conditions de vie d’autres espèces et l’écosystème du fleuve. Cette action permettrait également de prévenir les foyers d’anthrax. Le ministre du Tourisme zambien confirme le plan d’abattage, tout en précisant qu’il se limite à 250 hippopotames par an.

Les défenseurs de l’environnement critiquent vertement le projet : Le gouvernement ne fournit aucune justification scientifique à cette prétendue surpopulation. Une étude prouve même que des opérations de ce type ne sont pas efficaces. L’ argument de lutter contre la propagation de l’anthrax en abattant des animaux en bonne santé n’est pas convaincant. D’autant plus qu’il apparaît douteux du point de vue éthique de tuer des animaux pour préserver la nature. En réalité, le gouvernement semble être motivé par d’autres considérations, notamment par l’argent des chasseurs étrangers. Ce faisant, il nuit surtout à la réputation touristique de la Zambie. Cette action est d’autant plus irresponsable que les hippopotames figurent sur la Liste rouge des espèces menacées et sont considérés comme vulnérables. Selon des estimations, seuls 130 000 hippopotames vivent encore à l’état sauvage. En 2016, le gouvernement zambien avait prévu une action similaire, mais abandonné son projet sous la pression internationale. Nous devons l’en empêcher une nouvelle fois ! Écrivons au gouvernement de la Zambie pour lui demander de laisser les hippopotames vivre en paix. Merci de signer notre pétition !