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Article en deux parties

Mortalité et cas graves suite à la « vaccination anti-Covid »

Par Dr Bruno BOURGEON

lundi 13 septembre 2021, par JMT

Mortalité et cas graves suite à la « vaccination anti-Covid » (I)

Suite à la pandémie de COVID-19 les pays développés ont adopté une curieuse stratégie sanitaire : plutôt que de soigner les malades avec des traitements efficaces ( Ivermectine, Hydroxychloroquine) et qui sont connus depuis des décennies, ils ont accepté, dans l’urgence, des soi-disant "vaccins". Et pourtant, en plus de 40 ans de recherches, aucun vaccin efficace et sûr n’avait jamais été mis au point contre les coronavirus... Jusqu’à ce jour ?

En temps normal, il faut environ 8 à 12 ans pour qu’un vaccin soit autorisé mais l’urgence de la pandémie et le nombre catastrophique de morts a incité les gouvernements à accepter des autorisations temporaires de mise sur le marché, sans aucun recul sur les conséquences sanitaires d’une telle décision.

La pandémie de COVID-19 a tué environ 2,2 millions de personnes en un an, à comparer aux quelque 40 autres millions de morts évitables par an mais qui n’intéressent guère (cancers, autres maladies infectieuses, maladies cardio-vasculaires)…

En France, cette stratégie est avant tout politique et financière : la vente des "vaccins" rapporte beaucoup d’argent notamment à Pfizer dont les revenus ont bondi de 92 %. Le débat scientifique est muselé et les malheureux médecins qui ont administré des traitements ont été menacés par l’Ordre des Médecins.

Cet obscurantisme incroyable est l’oeuvre de la propagande de l’Etat qui martèle sur tous les canaux de communication l’urgence de se vacciner, un mot d’ordre appuyé avec force par les médias mainstream qui ridiculisent et méprisent la plupart des voix dissidentes.

Les messages abrutissants et les mesures liberticides sont tellement puissants que 40 % de la population mondiale est maintenant vaccinée et 5,4 milliards de doses ont été injectées : la plus grande expérience médicale de l’histoire de l’humanité.

Les conséquences, étouffées et cachées par les politiques et la plupart des journalistes, sont pourtant édifiantes.

Aujourd’hui, aux Etats-Unis et en Europe, 3 vaccins sont principalement administrés : COMIRNATY (BioNTech et Pfizer) - Vaccin à ARNm, COVID-19 VACCINE MODERNA - Vaccin à ARNm, et VAXZEVRIA (ASTRAZENECA) - Vaccin à vecteur viral.

Les deux premiers ne sont pas des vaccins traditionnels, c’est-à-dire avec des virus atténués ou inactifs : ils se basent sur l’ARNm (ARN messager), une révolution médicale qui aurait mérité plus d’études, de précaution et de temps avant d’être massivement utilisée sur la population. En effet, ces "vaccins" sont administrés massivement alors qu’ils sont encore en phase de test pour au moins 2 ans.

Dans l’Union Européenne, c’est la base de données sur les effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments EudraVigilance () qui est utilisée pour remonter les conséquences néfastes des vaccins anti-COVID.

Notons l’avertissement du site web EudraVigilance : "Les informations présentées sur ce site web ne reflètent aucune confirmation d’un lien potentiel entre le médicament et le(s) effet(s) observé(s)." Si la confirmation n’est pas évidente, la suspicion est toutefois suffisante : pourquoi y aurait-il tout d’un coup une hausse considérable des remontées d’effets indésirables après vaccination alors qu’aucun traitement (qui pourrait induire des effets indésirables) n’est encore autorisé notamment en France ? En outre, très peu d’effets indésirables sont véritablement remontés (autour de 10%).

La compilation des données de cette base est fastidieuse mais montre que près de 22 000 personnes seraient mortes des suites de la vaccination dans l’Union Européenne. Ces cas sont reportés sur EudraVigilance.

En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un « suivi hebdomadaire des effets indésirables des vaccins » qui détaille les effets secondaires des 4 vaccins administrés.

Malgré les quelques 1 000 décès et les 20 000 cas graves (officiels), leur rapport se borne à affirmer que cela "ne montre pas de spécificité particulière en faveur d’un rôle du vaccin", une conclusion difficilement acceptable d’autant plus que les remontées d’effets secondaires sont rares, compliquées et souvent rejetées.

Depuis le 16 juillet 2021, Santé Publique France ne communique plus les données sur la mortalité enregistrées suite à la "vaccination". En outre ces données n’ont jamais été accessibles publiquement.

En France, la vaccination est plus dangereuse que la maladie pour les personnes jeunes et en bonne santé : "pour les personnes âgées de moins de 45 ans, le risque de décès après vaccination est 1,4 fois plus élevé (Astrazeneca) par rapport à la mortalité Covid-19 et le risque de séquelles très graves entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé est jusque 5,2 fois plus élevé pour Pfizer. Pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.

Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est de 41 à 56 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé." REINFOCOVID

Sur les réseaux sociaux, FB a censuré par deux fois un groupe qui donnait la parole aux victimes de la "vaccination" : moins de deux mois après le début de la campagne de vaccination, le groupe comptait plus de 260 000 personnes et des dizaines de témoignages accablants par jour. Le groupe a été supprimé arbitrairement par Facebook.

Un deuxième groupe a été ouvert avec la même popularité, il a également été supprimé. Depuis un 3e groupe "Recensement effets indésirables 3" a été ouvert, il compte 70 000 membres et son lot quotidien d’histoires tragiques... Jusqu’à sa prochaine fermeture attendue…

Dans la même veine, on ne compte plus les chaînes Youtube et les comptes Twitter fermés, ou les vidéos censurées y compris de soignants qui dénoncent les effets indésirables des "vaccins". Dernièrement l’édito de Patrick Cohen dans l’émission « C’est à vous », en face d’Olivier Véran.

De nombreux soignants commencent à témoigner malgré les pressions et les risques pour leur situation professionnelle.

Notons que d’après l’analyse du collectif REINFOCOVID , pour les personnes de moins de 45 ans, la létalité supposée liée au vaccin est plus importante que la mortalité liée à la Covid-19 et pour les personnes sans comorbidité, le vaccin apparaît délétère pour les moins de 65 ans.

La morbidité d’une population se définit comme étant le « nombre de personnes malades ou le nombre de cas de maladies dans une population déterminée, à un moment donné ».

Labase de données de pharmacovigilance VAERS est la plus transparente et la plus exploitable, elle est américaine. Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Treatment Fund a rassemblé 19 médecins et scientifiques pour enquêter sur les risques sanitaires des vaccins et donner une estimation basse des décès à l’aide de données aux Etats-Unis et dans le monde.

Ils ont publié leurs résultats et leurs questionnements sur le site des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) . Leur conclusion est alarmante : "nous avons trouvé des preuves qui démontrent clairement que les vaccins actuels sont nettement plus dangereux qu’on ne le croyait auparavant".

Le Dr. Robert Malone, inventeur de la vaccination via ARNm fait partie de ces 19 personnalités scientifiques. Il a immédiatement reconnu les dangers des vaccins lorsque les données de biodistribution dans l’organisme ont été publiées. C’est l’une des premières personnes qui a alerté le monde sur les dangers de ces "vaccins".

Selon la base de données VAERS sur les effets des vaccins et médicaments de 1990 à fin août 2021, l’excès de mortalité en pleine période de vaccination contre la COVID-19 est édifiante. L’analyse des scientifiques montre une réalité qui ne correspond pas du tout aux données rassurantes martelées par les laboratoires pharmaceutiques fabricants, une majorité des politiques au pouvoir et journalistes : aucun "vaccin" anti-COVID ne réduit la morbidité toutes causes confondues et c’est même le contraire qui se produit : ils ont considérablement augmenté la morbidité (de 1,5 à 4,2 fois plus).

Ils estiment qu’environ 150 000 Américains seraient déjà morts des suites de la "vaccination" en 2021 (13500 sur la base de données VAERS), alors que la pandémie de COVID aux USA a tué environ 658.000 personnes depuis début 2020.

Ces affirmations stupéfiantes sont étayées par des analyses scientifiques à partir de plusieurs méthodes indépendantes. Les scientifiques sont formels : "Il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre d’événements indésirables graves et de décès signalés au VAERS. Ce rapport fournit des preuves solides que l’augmentation n’est pas due principalement à une augmentation du nombre de vaccinations administrées, ni à des déclarations exagérées.

Après avoir pris en compte le nombre de doses de vaccin, le taux de déclaration des décès suite aux vaccins COVID-19 est 30 fois plus élevé que le taux de déclaration pour tous les vaccins combinés de 2010-2020. De plus, le taux de déclaration des événements graves et décès par dose de vaccin est significativement plus élevé pour les vaccins COVID-19 que pour les vaccins de la grippe depuis 2015, atteignant jusqu’à 98 fois le taux de déclaration de décès et 370 fois le taux de déclaration de thromboses chez les 65 ans et plus."

Vu ces nouvelles données sur les conséquences tragiques de la "vaccination" massive, les auteurs de cette étude demandent, comme tant d’autres médecins et chercheurs, l’arrêt immédiat de la vaccination, notamment chez les personnes de moins de 50 ans. Un cri d’alarme d’autant plus audible qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux.

Cela n’empêche pas les CDC d’affirmer sans aucune précaution sur leur site web : "Les vaccins contre la COVID-19 sont sûrs et efficaces"... Pourtant, même leur efficacité est maintenant largement remise en question comme en témoignent les statistiques troublantes des pays les plus vaccinés au monde (Israël est devenu un cas d’école).

Le malaise est perceptible aux Etats-Unis puisque Marion Gruber, directrice de l’agence de recherche et d’avis sur la vaccination de la FDA et Phil Krause, directeur adjoint de la FDA (Food and Drug Administration) ont présenté leurs démissions le 31 août 2021, au moment où l’administration Biden préconise une 3e dose, appelée "booster shot" aux américains et qu’il serait même prévu que les américains prennent une dose tous les 5 mois ! En effet la FDA n’avait pas fini d’auditer l’ensemble "vaccins" et juge la troisième vague de vaccination prématurée…

Cette mortalité vaccinale (qui n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves) est donc inédite, elle est particulièrement grave et sa dissimulation l’est plus encore. Soyons clair : dissimuler d’une façon ou d’une autre un tel danger est tout simplement criminel vis-à-vis de la population.

Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocere), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale, à étudier beaucoup plus en détail les données de cette pharmacovigilance (en particulier selon les classes d’âge et en fonction des différents facteurs de risque) et, au terme d’une analyse bénéfices/risques méticuleuse, à déterminer à quelles catégories bien précises de la population il est possible de proposer la vaccination sans risque que les effets secondaires graves soient plus nombreux que les formes graves de la Covid dont elle est censée les protéger.

Toute autre approche ne relève pas de la santé publique mais de postures idéologiques ou d’un marketing commercial." déclarent également plusieurs chercheurs français dans un article publié dans REINFOCOVID.

Il n’empêche, en France, le 2 septembre 2021, lesSénateurs socialistes viennent de déposer une proposition de loi ( ) pour imposer la vaccination obligatoire contre la COVID pour tous…

Sujet sur la table en Italie.

Références et sources

* Hannah Ritchie, Edouard Mathieu, Lucas Rodés-Guirao, Cameron Appel, Charlie Giattino, Esteban Ortiz-Ospina, Joe Hasell, Bobbie MacDonald, Diana Beltekian, Max Roser ; Coronavirus Pandemic (COVID-19) - Our World in Data

* Steve Kirsch, Robert Malone, Geert Vanden Bossche, Byram Bridle, Peter McCullough, Ryan Cole, Bret Weinstein, Chris Martenson, Pierre Kory, Paul Alexander, Ira Bernstein, Jessica Rose, Meryl Nass, Sin Hang Lee, Mathew Crawford, Charles Hoffe, Marc Girardot, George Fareed, Tyson Gabriel, Stephanie Senef : Comment from COVID-19 Early Treatment Fund - CDC

* Pourquoi la protéine Spike est toxique dans le COVID-19…(https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins)

* Et aussi dans les vaccins ARNm et ADN France-Soir

* Xavier Azalbert, Anne-Typhaine Bouthors, Michel Brack, Dominique Cerdan, Walter Chesnut, Gérard Guillaume, Jean-François Lesgards, Luc Montagnier, Jean-Claude Perez ; Le SARS-COV2 accélérerait l’âge biologique - France Soir

* COVID-19 vaccine safety update COMIRNATY BioNTech Manufacturing GmbH - EMA

* Classen B. US COVID-19 Vaccines Proven to Cause More Harm than Good Based on Pivotal Clinical Trial Data Analyzed Using the Proper Scientific Endpoint, “All Cause Severe Morbidity”. Trends Int Med. 2021 ; 1(1) : 1-6.

* Laurent Mucchielli, Hélène Banoun, Emmanuelle Darles, Éric Menat, Vincent Pavan, Amine Ulmile, La vaccination à l’épreuve des faits : Une mortalité inédite – REINFOCOVID

Par Dr Bruno Bourgeon
D’après https://www.notre-planete.info

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Mortalité et cas graves suite à la « vaccination anti-Covid » (II)

Les effets délétères des "vaccins" sur les populations jeunes et en bonne santé ne doivent pas masquer leurs bénéfices sur les populations âgées et à risque, notamment pour les premières souches du SARS-CoV-2 : une récente étude publiée dans The Lancet d’après des données recueillies (du 8 décembre 2020 au 4 juillet 2021) via une application smartphone chez les britanniques suggère que la vaccination (par rapport à l’absence de vaccination) était associée à une probabilité réduite d’hospitalisation ou d’avoir plus de 5 symptômes pendant la première semaine de maladie après la première ou la deuxième dose, et d’avoir des symptômes de longue durée (≥ 28 jours) après la deuxième dose.

De plus, presque tous les symptômes ont été signalés moins fréquemment chez les personnes vaccinées infectées que chez les personnes infectées non-vaccinées, et les participants vaccinés étaient plus susceptibles d’être complètement asymptomatiques, surtout s’ils avaient 60 ans ou plus.

Cependant, les dernières données britanniques Briefing #21 du 1er février 2021 au 15 août 2021 pour le variant delta , montrent qu’il y a 2,66 fois plus de morts du variant delta chez les vaccinés que chez les non vaccinés...

Cela pourrait s’expliquer par le variant delta qui échappe en grande partie aux "vaccins" actuels.

Le conseiller scientifique en chef du gouvernement anglais Sir Patrick John Thompson Vallance vient de confirmer dans une allocution télévisée du 4 septembre 2021 que 60 % des personnes admises à l’hôpital pour COVID avaient eu leur 2 doses de vaccins.

Israël est souvent cité car il fut un des premiers pays à se vacciner et au 02 septembre 2021, 63 % de sa population avait reçu deux doses de "vaccin" (60 % en France). Et pourtant, le pays connaît une 4e vague très forte avec un nombre de cas jamais atteint (+ 20 500 le 01/09/2021 ainsi qu’un grand nombre d’hospitalisations et de morts). Unarticle publié dans Science mi-août 2021 indiquait que "près de 60 % des patients gravement malades sont entièrement vaccinés".

Quand certains y voient un échec de la stratégie de vaccination, le Professeur Salman Zarka, en charge de la lutte contre le coronavirus en Israël, a appelé le 4 septembre 2021, sur la radio publique Kan, à se préparer à l’administration d’une 4e dose de vaccin contre la Covid-19.

A en croire les statistiques et clips du Ministère de la Santé, la France semble être le seul pays au monde où la vaccination est très efficace puisque 85% des personnes hospitalisées pour COVID ne seraient pas vaccinées. Une exception : un cafouillage sur le croisement des bases de données (https://www.youtube.com/watch?v=hLARwm6jqbA) françaises ?

Autre pays intéressant : la Suède (https://www.lasuedeenkit.se/le-covid-19-en-suede/). Si 68 % de la population a eu au moins une dose de "vaccin" (58% une dose), il y a très peu de morts et peu de cas alors que les principales mesures de restrictions ont été levées le 15 juillet 2021 et que le masque n’est pas obligatoire.

Enfin, mentionnons les pays africains qui restent très peu affectés par la mortalité dû au COVID-19 et qui pourtant n’ont pas accès aux "vaccins", mais qui ont le droit de traiter leurs patients.

Même sur certaines revues médicales réputées (The Lancet, New England Journal of Medicine et Annals of Internal Medicine), des études sont supprimées et ou refusées lorsqu’elles contredisent l’efficacité des masques, de la vaccination ou les bons résultats des traitements.

Une certitude : les "vaccins" n’empêchent absolument pas d’être contaminés et contagieux, ce qui pose un énorme problème de santé publique et rend contre-productif le "pass sanitaire" imposé notamment en France : les personnes vaccinées - qui peuvent être malades sans le savoir puisqu’elles ne sont pas soumises aux tests - peuvent se rassembler alors qu’elles sont aussi contaminantes que les non-vaccinés ! Cela peut engendrer des contaminations importantes notamment chez les soignants et les malades.

Plusieurs mécanismes sont évoqués par les chercheurs et médecins pour expliquer cette mortalité et ces cas graves inédits, d’autant plus sur des personnes en parfaite santé. En voici quelques uns : les "vaccins" à ARNm induisent la production de la protéine Spike par nos propres cellules pendant 5 à 15 jours après l’injection.

Or la toxicité de la protéine Spike est connue depuis plus de dix ans (Chen IY et al., 2010) avec le SARS-CoV1 :

- La protéine Spike est suffisante pour provoquer les dommages cardiovasculaires associés au COVID-19.

- La protéine Spike engendre une forte réponse inflammatoire immunitaire en particulier dans le poumon et le foie. Cela peut conduire à une "tempête de cytokines", à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort. Elle pourrait également engendrer une inflammation dans les vaisseaux du cerveau et dans le cerveau lui-même.

- La protéine Spike induit de l’inflammation et un stress oxydatif en se fixant sur les récepteurs ACE2 présents dans tout l’organisme (Lesgards JF, 2021). "Etant donné la gravité des effets secondaires observés et le fait que les mécanismes biochimiques soient en partie similaires, on peut émettre l‘hypothèse que les vaccins ARNm peuvent oxyder les guanines de l’ADN et en partie des télomères." (Xavier Azalbert et al. ) Ce qui entraînerait un vieillissement prématuré et significatif de nos cellules et donc de notre âge biologique.

- L’ARNm des vaccins peut atteindre le cerveau (Bahl et al., 2017), comme le précise aussi l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à hauteur de 2% de la concentration plasmatique (European Medicines Agency, 2021). Cet ARNm peut y produire de la protéine spike et les récepteurs ACE2 étant très nombreux dans le cerveau, on peut s’attendre à des problèmes neurologiques, de dégénérescence, des états dépressifs voire suicidaires (Klempin F et al., 2018) (de Melo LA et al., 2020).

- La protéine Spike stimule la production d’anticorps. Cependant, ces anticorps produits en trop grand nombre pourraient attaquer les tissus de plusieurs organes vitaux comme le cœur, le foie, le cerveau, les ovaires et la rate et engendrer toutes sortes de maladies dégénératives (voir l’explication de la chercheuse Stephanie Seneff du MIT )

- Certains des adjuvants et les nanolipides entourant l’ARNm sont aussi préoccupants et peuvent participer aux effets secondaires graves observés, dont, en particulier, les thromboses. (Lesgards JF, 2021)

- La vaccination entraîne, chez la majorité des personnes, la formation de nombreux caillots sanguins microscopiques (révélés par un test D-Dimères). Ceux-ci peuvent entraîner des embolies pulmonaires et dégrader de manière irréversible les organes (poumons, coeur…)

- La présence maintenant révélée (c’est un "secret commercial" pour les laboratoires qui l’ont donc soigneusement caché) d’oxyde de graphène réduit (rGO) (Dr. Robert O. Young, 2021). Les vaccins à ARNm utilisent l’oxyde de graphène pour protéger l’ARNm particulièrement fragile et instable. Or, l’oxyde de graphène pourrait être toxique pour l’organisme.

Rappelons qu’en 1976, l’apparition de la grippe porcine H1N1 aux Etats-unis, faisait craindre une épidémie comparable à la grippe espagnole de 1918 (50 à 100 millions de morts). Une vaccination massive était alors lancée le 1er octobre 1976 sans données suffisantes sur le rapport bénéfices / risques.

En 10 semaines, 45 millions de personnes étaient vaccinées mais la campagne fût stoppée après la découverte d’environ 450 cas de syndromes de Guillain-Barré (10 fois plus que la normale) et "seulement" 35 morts. Cette histoire n’a semble-t-il pas servi de leçon puisqu’au bas mot la vaccination anti-COVID a fait plus de 35 000 morts rien qu’aux Etats-Unis et en Europe, du jamais vu dans l’histoire de la pharmacovigilance…

Soulignons qu’une dizaine de vaccins sont administrés à une très grande partie de la population mondiale depuis des décennies sans que de tels effets néfastes soient constatés, nous ne pouvons donc pas considérer que la "vaccination" actuelle est exceptionnelle en terme de couverture vaccinale et que par conséquent, le nombre de décès et de cas graves le seraient aussi.

Enfin, cette crise pourrait engendrer une grande défiance envers les vaccins dans leur ensemble, y compris de futurs vaccins sûrs et efficaces, ce qui est contre-productif.

Références et sources

* Peter Doshi ; Does the FDA think these data justify the first full approval of a covid-19 vaccine ? - TheBMJOpinion

* Christine Cotton : expertise des résultats des essais des quatre vaccins- France Soir

* Robert O Young ; Scanning & Transmission Electron Microscopy Reveals Graphene Oxide in CoV-19 Vaccines

* Dr Fleming ; FlemingMethod

* Sencer DJ, Millar J. Reflections on the 1976 Swine Flu Vaccination Program. Emerg Infect Dis. 2006 ;12(1):29-33.

Par Dr Bruno Bourgeon
D’après https://www.notre-planete.info

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